A peine la mort du président Lansana Conté connue, mardi 23 décembre, une tentative de coup d'Etat était en cours en Guinée-Conakry. Les autorités ont en effet annoncé aux premières heures de la matinée le décès du général Lansana Conté, lundi dans la soirée, à l'âge de 74 ans, "des suites d'une longue maladie". Peu après, des militaires ont annoncé, à la radio d'Etat, "la dissolution du gouvernement, des institutions républicaines et de la Constitution". "A compter d'aujourd'hui, la Constitution est suspendue, ainsi que toute activité politique et syndicale", a déclaré un capitaine de l'armée, Moussa Dadis Camara, sur les ondes de Radio Conakry, précisant qu'un "conseil consultatif" allait bientôt être mis en place, "composé de civils et militaires".A peine la mort du président Lansana Conté connue, mardi 23 décembre, une tentative de coup d'Etat était en cours en Guinée-Conakry. Les autorités ont en effet annoncé aux premières heures de la matinée le décès du général Lansana Conté, lundi dans la soirée, à l'âge de 74 ans, "des suites d'une longue maladie". Peu après, des militaires ont annoncé, à la radio d'Etat, "la dissolution du gouvernement, des institutions républicaines et de la Constitution". "A compter d'aujourd'hui, la Constitution est suspendue, ainsi que toute activité politique et syndicale", a déclaré un capitaine de l'armée, Moussa Dadis Camara, sur les ondes de Radio Conakry, précisant qu'un "conseil consultatif" allait bientôt être mis en place, "composé de civils et militaires".

Près de 2.000 personnes se sont rassemblées devant la mosquée de la banlieue lyonnaise, visée samedi par un incendie criminel. La communauté musulmane dénonce une "montée de l'islamophobie".
La Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) du Pr Abdoulaye Bathily a décidé de changer d’approche politique. Elle s’est peut-être rendu compte que son discours n’accroche pas et n’influe pas toujours sur le choix des électeurs. C’est pourquoi le 6ème congrès du parti qui se tient les 20 et 21 décembre à Dakar va soulever la question de changement de direction, en posant les bases d’un parti de masse proche des préoccupations des populations et qui leur parle dans un langage clair et accessible. Tout en gagnant le pari de ne pas être trivial.
Quatre mois après le coup d'Etat militaire qui a renversé, sans effusion de sang, le premier président démocratiquement élu de l'histoire de la Mauritanie, Sidi Ould Abdallahi, aucune sortie de crise ne paraît en vue à Nouakchott. Depuis le 6 août, deux hommes revendiquent la présidence de ce pays de 3 millions d'habitants, dont la moitié vit en dessous du seuil de pauvreté, et dont l'espérance de vie ne dépasse pas les 53 ans. L'un s'appelle le général Mohammed Ould Abdel Aziz. Jusqu'à son coup de force, il était le chef d'état-major particulier du président de la République. Il dirige aujourd'hui une junte, le Haut Conseil d'Etat (HCE), formée de trois généraux et neufs colonels.
Sénégal cherté de la vie et dérives du pouvoir : La CSA rejoint le front.