
Secrétaire d’Etat au droit de l’Homme dans le gouvernement français de Sarkozy, Rama Yade est une léboue bien loin de ses racines sénégalaises. Sa petite taille contraste avec l’énormité de ses ambitions. Des ambitions qu’elle a affichées depuis son enfance. Et pour se donner les moyens de les réaliser, elle a tôt compris la nécessité de cultiver l’excellence. D’où les bons résultats qu’elle a toujours obtenus durant tout son cursus scolaire. Pour le dire, il n’y a pas plus placé que son père, Djibril Yade. Joint au téléphone, hier, il se rappelle : «Elle a toujours été première de sa classe. Quand elle était à l’école, elle ne m’a jamais présenté une copine.» De ce témoignage, M. Yade veut faire remarquer que sa fille n’avait aucune autre fréquentation que l’école et aucune autre préoccupation que ses études. Un choix payant avec sa nomination dans un gouvernement français ? M. Yade, même s’il défend ne pouvoir parler de sa fille, ne veut pas verser dans la glorification : «C’est le destin.» Ce destin de Rama Yade commence à se réaliser depuis sa naissance, à Dakar, un 13 décembre 1976. D’un père qui a servi Mamadou Dia et Léopold Sédar Senghor en qualité de secrétaire particulier, elle bénéficie d’une enfance heureuse.

Le Secrétariat Permanent (Sep) de la Ligue démocratique (Ld) du Pr Abdoulaye Bathily déclare, dans un communiqué de presse, que les résultats de l’audit indiquent clairement que le fichier électoral actuel ne peut garantir la tenue d’élections libres et transparentes. « C’est pourquoi, le Secrétariat Permanent de la LD renouvelle son appel à tous les Sénégalais épris de paix, de justice et de démocratie à se mobiliser pour exiger la tenue d’élections libres et transparentes le 22 Mars 2009 », renseigne le communiqué.
Un total de 13.000 migrants clandestins vers l'Europe de différentes nationalités, notamment d'Afrique subsaharienne, ont été rapatriés vers leurs pays d'origine, à partir de la Mauritanie où ils ont transité, rapporte le quotidien gouvernemental Horizons dans sa livraison de ce lundi.
Le préfet de Bakel (Tambacounda, Est) a attiré l’attention du CNRA sur deux radios communautaires qui pourraient poser problème dans le cadre de la campagne électorale des locales, l’une du fait de l’appartenance politique marquée de sa direction, et l’autre parce qu’émettant à partir du Mali voisin.