J’ai eu à réfléchir beaucoup à propos de la situation socioéconomique de la région de Guidimakha. Les conclusions par lesquelles j’ai abouties, réalités du terrain à l’appui, obligent bien à se poser un certain nombre de questions et dont les plus patentes, à bien d’avis avertis, semblent être les suivantes : A quoi servent réellement nos cadres ?Oui à quoi peuvent réellement servir nos hauts cadres, eux qui ont les entrées et les sorties faciles des lieux nettement surveillés et d’où les vrais problèmes des citoyens des coins reculés du pays ont du mal à parvenir loyalement, eux à qui les hommes les plus puissants de notre pays tendent souvent l’oreille ? Quel a été le service honorable rendu à leur région en plus du fait qu’en période d’élections ils ont toujours semé la zizanie entre les populations ?
Oui comment une région qui pouvait devenir un des poumons de l’économie mauritanienne reste encore socio-économiquement des plus répugnantes ?A chacun son point de vue. Mais de notre côté, la réalité que vit la région depuis toutes ces décennies départage ses principaux problèmes en tant que conséquences de marginalisation politique, d’inconvenances climatiques d’effets d’une urgence fatale et d’injustice quasiment institutionnalisée.

Quelque 55 facilitateurs de l’ONG TOSTAN venus de Bakel et Matam ont démarré, mercredi avec leurs collègues trouvés à Tambacounda, une formation en renforcement de capacité en matière de sensibilisation à l’hygiène et à la santé, dénommée Kobi 2.
PETITION INTERNATIONALE POUR LA RESTITUTION DE LA TETE ET DES BIENS PERSONNELS DE MAMADOU LAMINE DRAME.