Oui je te l'ai souvent dit, mais aussi écrit dans un article dont tu as la copie, que: "Dans la société soninkée, on épouse pas forcément la femme ou l'homme qu'on aime, mais celui ou celle qu'on doit épouser"
Car le mariage en milieu soninké fait appel à toute une myriade de considérations sociales, statutaires, parentales, etc. L'endogamie, le fait de se marier dans sa société, et l'isogamie, le fait d'épouser quelqu'un d'un même standing social et professionnel, sont les maîtres mots des unions soninkées. En plus de cela, la rigueur parentale n'est pas absente : L'on doit se marier avec telle cousine ou tel cousin et non pas avec telle ou tel pour telle ou telle autre raison sont au menu. Ce n'est pas facile. Du coup à la base, nos choix sont orientés pour ne pas devoir affronter les problèmes. En contexte migratoire, ce sont généralement ces considérations qui ne sont pas souvent maîtrisées, d'où tous ces problèmes.


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ce n'est pas la leurs. en plus le mariage est l'une des phases les plus importante c'est à dire foyer, enfants, aménagements et tout le tralala.
maintenant. Quand on n'accepte pas le mari qui nous on chosit et bah tout de suite ils disent qu'on a sali leurs nom ce n'est pas notre faute c'est eux. Il faut demander l'avis de sa fille avant de dire oui au demandeur sinon cela risquera d'avoir des histoires et qui sait quand finira ces histoires.



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