slm
Frère Bathily, si tu devez donner ta fille à un zaira musulman ou un soninké qui ne prie pas qui se dit musulman "car son père va à la mecque tous les ans" mais que lui même est non pratiquant,
Quel sera ton choix ?
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Salam, n'oubliez pas que le 1er critère et le plus important pour choisir son mari pour une femme est la piété. La couleur de peau ou l'origine ne doit pas être un critère qui passe avant celui de la piété.
Salam mon frere
Moi je ne donnerai pas la main de ma fille à un non musulman mais je ne prefere pas aussi qu'elle se marit à des milliers de kilometres de moi.
c'est surtout pour moi une question de protection et d'affectivité meme si je sais que je serai obligé de respecter son choix si toute fois elle choisit un homme venant d'un pays lointain.
Salam
Moi choix serait le zarois musulman biensur;si j'ai cité ces pays c'est par xenophobie mais surtout par leur eloignement de mon terroir.
Moi meme mon arriere grand-mere et beninoise;je n'ai rien contre les etrangers mais c'est surtout l'idée de me separer avec ma soeur ou ma fille qui me fait peur
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aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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Ben dis donc ça se voit qu'il y'en a qui bosse pas! 03h56 encore sur Soninkara.com à donner un petit cours, au demeurant très instructif, sur le racisme.
Plus sérieusement, on ne s'en rend pas compte mais nos petits comportements, nos petits préjugés ( tout le monde en a ) à l'endroit des uns et des autres, sont le commencement du racisme. Il faut faire gaffe.
Bonjour Fodyé,
Selon l'épopée mandingue ....les KEITA "semblent" d'origine Malinké....
Qd on écoute les récits des griots idem ...ils font des "djata"(déscendants de Soundjata), les fondateurs de l'empire mandingue ......enfin si tu as d'autres informations à ce sujet, ça m'interesse !
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Moi personellement je suis pour le mariage mixte.
En lisant vos posts beaucoup de propos rasiste, j'ai pu contaster que même au sain de chaque communauté on trouve du racisme, de la discrimination, des préjugés et des propos blessants.
Et ceci perisiste encore aujourd'hui entre noir, arabe et blanc, dans nos mosquées, dans nos cités, entres les villages.........
Il appartient a chacun d’entre nous de nous rappeler plus souvent qu’avant d’être arabe, français ou africain, nous sommes des musulmans, des serviteurs de Dieu et des disciples du Prophète Muhammad (psl) et qu’un musulman chinois peut très bien être meilleur qu’un musulman arabe, le Coran est clair : « Le plus près de Dieu c’est le plus pieux », la considération de couleur ou de race est totalement exclue de la pensée musulmane.
Voici un article que vous trouverez surement très interressant;
[Je vous met en même temps quelques preuves de la SunnaCitation:
B]L’Islam et le racisme[/B]
Que les Prières et les Salutations d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons !
La Législation musulmane prône l’égalité entre ses adeptes dans la plupart des domaines. Il ne sert à rien de mettre en avant sa lignée pour la personne qui n’est pas pieuse car le critère de distinction entre les hommes est basée sur la piété comme le formule le Verset suivant :
"Ô vous les hommes ! Nous vous avons créé à partir d’un mâle et d’une femelle. Nous vous avons partagé en peuples et en tribus afin que vous vous connaissiez. Le plus honorable d’entre vous auprès d’Allah, c’est le plus pieux."1
Abû Dhar radhia relate qu’il dénigra la mère d’un homme lors d’un échange de propos. Vexé, l’homme alla se plaindre au Prophète et lorsque ce dernier eut l’occasion de rencontrer le coupable, il le blâma en ces termes :
« Abû Dhar ! Tu es un homme qui a des restes de l’ère païenne. »2
Certaines versions précisent que l’homme en question était Bilâl l’abyssin et qu’Abû Dhar lui lança :
« Hé fils d’une noire ! »3
Dans un autre Hadith, le Prophète soutint à Abû Dhar :
« Sache qu’un blanc ne peut être mieux qu’un noir si ce n’est par la piété. »4
Il faut savoir que Bilal , le Muezzin du Prophète fut un esclave affranchi par Abû Bakr. Pourtant, ‘Omar le deuxième Khalife se plaisait à dire :
« Abû Bakr notre maître a affranchi Bilâl notre maitre. »5
certaines annales rapportent également que le Prophète maria Bilâl a une fille des Banû Bukaïr.6
Selon Abû Nadhra, le Messager d’Allah déclara lors du sermon au cours du Pèlerinage de l’Adieu à Mina (Aïyâm e-Tashrîq) :
« Ô gens ! Vous avez un seul Dieu et vous venez d’un seul père ! Il n’y a pas de différence entre un arabe et un non arabe ni entre un blanc et un noir si ce n’est par la piété. »[b]7
Selon Abû Huraïra , le Messager d’Allah a dit :
[b]« Allah vous a abrogé la fierté de l’ère païenne et l’honneur des ancêtres. Il existe désormais deux catégories d’hommes : un croyant pieux et un pervers malheureux. Vous êtes les fils d’Adam et Adam est fait de terre. »
Toujours selon Abû Huraïra, on demanda au Messager d’Allah :
« Quel est le plus honorable des hommes ?
Le plus pieux d’entre eux répondit-il.
Ce n’est pas sur cela que nous t’interrogeons.
C’est Yûsuf, qui est un prophète d’Allah, fils d’un prophète d’Allah, qui lui-même est le fils d’un prophète d’Allah.
Ce n’est pas sur cela que nous t’interrogeons.
Vous m’interrogez alors sur les minerais arabes ? [Les hommes sont comme les minerais d’or et d’argent,] les meilleurs d’entre vous à l’époque païenne sont les meilleurs d’entre vous dans l’Islam s’ils apprennent leur religion. »9
Le Hadith précédent nous informe qu’il existe une hiérarchie entre les hommes. Dans un autre Propos prophétique, Allah nous apprend qu’il élit certains hommes selon une sagesse infinie qu’Il est le Seul à pénétrer.10
C’est pourquoi, les arabes dont le sceau des Prophètes est issu, étaient prédisposés à recevoir le dernier message envoyé à l’humanité, bien que cette particularité ne leur offre aucune prérogative en dehors de celles que nous allons évoquées.11
Or, il incombe ici de développer cette question plus en détail. Nous disons donc :
• Selon le Hadith, quiconque n’est pas empressé à faire des bonnes œuvres ne doit pas mettre en avant sa lignée.12
C’est pourquoi Allah ne fait jamais les éloges d’une personne en fonction de sa lignée ou de son affiliation à un prophète. Néanmoins, les hommes se distinguent dans le Coran par leur foi et leurs bonnes œuvres.13
• L’Islam interdit formellement de se vanter de sa lignée même si celle-ci est effectivement plus noble qu’une autre. En outre, il préconise la modestie.14
• Il incombe aux musulmans d’être comme un seul corps et de ne pas se laisser affaiblir par les divisions qui est le propre du paganisme.15
• Il est tout-à-fait légitime de s’intéresser à son arbre généalogique surtout dans la mesure où cela permet de rendre certains droits liés à l’héritage, les liens de sang, le prix du sang, le mariage consanguin, etc.16
• Des individus comme Abû Lahab, l’oncle du Prophète jouissent de la meilleure lignée arabe ; cela n’empêche pas au Coran de les condamner.17
• De nombreux convertis non arabes dépassent en méritent la plupart des arabes musulmans comme ce fut le cas pour leur voisins les perses qui engendrèrent l’élite des savants musulmans avec à leur tête Salmân el Fârisî. Nous pouvons compter dès la deuxième époque dans le domaine du savoir, des personnages clefs descendants de l’empire sassanide comme el Hasan el Basrî, ibn Sirîn, ‘Ikrima ; etc...18
• l’Islam ne fait aucune discrimination raciale comme le souligne ibn Taïmiya en disant : [b]« Si tu t’imprègne de ce qu’était réellement la Tradition prophétique, tu te rendras compte que le Messager n’a jamais fait de distinction entre un arabe et un non arabe (…) il n’a jamais privilégié les arabes dans la religion, ni en ce qui concerne le tribut, ni en ce qui concerne la captivité. Il ne les jamais favorisé dans les traités de paix, il n’a jamais décrété qu’un non arabe n’était pas du même rang qu’un arabe au niveau du mariage, et il ne leur a jamais permis de jouir d’une chose indépendamment des autres. Il fondait cependant ses jugements sur les hommes en fonction des noms que le Coran leur donne comme : croyant/mécréant, vertueux /pervers. »19
• Le message de Mohammed s’adresse à l’humanité entière. C’est pourquoi, il n’offre aucun statut particulier (dans l’ensemble) aux arabes pourtant considérés par la majorité des savants comme le meilleur des peuples. L’Islam est la religion de la justice, principe par lequel sont maintenus les cieux et la terre. Cela ne consiste pas à mettre au même niveau des choses qui sont complètement différentes.20
Les deux seules statuts particuliers aux arabes que l’on peut recenser concernent Quraïsh qui représente l’élite des tribus arabes et le clan des Banû Hâshim. Le Khalifat est en effet réservé à la descendance Quraïshite et les Banû Hâshim ne doivent pas recevoir l’Aumône (la Zakat) ; les seuls dons qu’ils peuvent recevoir proviennent uniquement du cinquième des butins de guerres.21
• Avec l’expansion des frontières musulmanes, la notion d’arabe a énormément évoluée. Avant l’Islam, les tribus arabes 22 étaient confinées dans la péninsule arabique qui s’étend du golf persique à la mer rouge d’est en ouest et de l’extrémité du Yémen au sud aux frontières du Shâm au nord. Par la suite, les frontières se sont étendues sur les anciennes terres byzantines, sassanides, berbères, etc. elles englobèrent les côtes du Moyen-Orient actuel et l’Arménie au nord et jusqu’aux extrémités de l’orient et de l’occident. Elles se divisèrent très vite en deux gros ensembles :
-Des régions où la langue arabe –qui perdait de sa pureté au contact des autres civilisations – fut dominante à tel point que la plupart de ses habitants ne connaissaient quasiment pas d’autres langues (Iraq, Shâm, Égypte, Andalousie, etc. et probablement les régions perses et du Khurasân au début).
-Des régions où régnait la langue locale comme chez les turcs (Turkménistan actuel), au Khurasân, en Arménie, et en Azerbaïdjan.
Ainsi, le monde musulman se divisa en trois catégories : il y avait les arabes d’origine, les arabes d’adoptions, et les non arabes. Les arabes d’origines se divisaient eux-mêmes en trois catégories : ceux qui ne délaissèrent ni leur langue ni leur terre natale (ou qui délaissèrent l’une des deux) ; des grandes lignées arabes qui délaissèrent leur langue et leur terre natale ; et des arabes dont on ne connaît pas vraiment l’origine comme dans la plupart des cas aujourd’hui. Les arabophones se divisaient également en trois catégories : il y a avait ceux qui parlaient couramment l’arabe et sans accent, ceux qui parlait couramment l’arabe avec un accent car elle était pour eux une deuxième langue comme ce fut le cas pour la plupart des savants, et ceux qui ne parlaient pas l’arabe couramment. Ainsi, il suffit désormais de parler arabe ou/et d’être né dans un pays arabe pour prétendre être un arabe selon une certaine tendance (la traduction de cette dernière phrase est très approximative).23 La langue arabe, qui est la langue du Coran, est quoi qu’il en soit, capitale pour tous les musulmans.24
L’Islam, la religion universelle par excellence ne connaît ni frontière ni nationalité. Or, force est de constater qu’à notre époque, la lumière de la Révélation s’est estompée dans les cœurs de bon nombre de ses adeptes. Des réflexes de l’ère païenne refont surface. De nouveaux fléaux polluent les relations entre les musulmans. Les symptômes se manifestent à travers la xénophobie ou dans une moindre mesure le nationalisme. Sans entrer dans des détails géopolitiques, le nationalisme arabe dont le parti Bass est l’une des manifestations les plus significatives, fait rage. Arme de choix contre l’Empire ottoman en déclin, le mouvement vu le jour à la fin du 19ème siècle. Il fallait monter les arabes contre les turcs et diviser les rangs des musulmans. L’idée ainsi concoctée par les occidentaux, fut emmenée dans les valises des évangélistes à une époque où la propagande battait à son plein en terre syrienne. Par la suite, le mouvement prit du terrain en Iraq et au Liban ; pays que la Syrie rallia à sa cause. Le premier colloque fut tenu à Paris en 1910 de l’ère chrétienne.25 Zaki Arsouzi (1898-1968) et Michel Aflaq (1910-1989) sont les leaders historiques du parti Baas. Il est l’œuvre de minorités (Aflaq est un descendant de la grande bourgeoisie chrétienne de Damas, Arsouzi était alaouite) qui ont toujours été en marge de la masse sunnite et qui n’avaient jamais accédé au pouvoir. En Irak, le parti Baas a recruté la majorité de ses adeptes parmi les arabes chrétiens et les sunnites de la région de Takrit, au nord de Bagdad. En arabe, le terme Baas a deux sens :
-Résurrection ou renaissance, selon le contexte. Le programme du Baas, établi lors de son premier congrès en 1947, fut de définir la nation arabe, du Taurus au Hedjaz, jusqu’au Maroc, et de faire son unité sur une base culturelle et linguistique, non confessionnelle, voire laïque, à la manière dont la Prusse avait fait l’unité allemande. À cet égard, la filiation fichtéenne est très nette : les fondateurs du Baas connaissaient les Discours à la nation allemande de Fichte. Ils firent le choix du socialisme ; pour Aflaq (le maitre à penser de Saddam Hussain26) et Salah al-Din Bitar, « le socialisme représentait le moyen technique d’organiser la société arabe ».27
Bref, le parti Baas a ses limites, ses heures de gloires sont derrière lui. Comme le dit si bien ‘Omar ibn el Khattâb : « Nous étions le peuple le plus vil et Allah nous a donné la gloire avec l’Islam. Mais si nous cherchons la gloire avec autre chose que l’Islam, Il va nous ramenez comme nous étions. »28 Si l’Histoire donne des leçons, celles-ci furent particulièrement révélatrices en 2003.
Que les Prières et les Salutations d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons !
Par Karim Zentici qu'Allah le protege!
Notes:
1-Les appartements ; 13 voir : Fath el Bârî d’ibn Hajar el ‘Asqarânî (10/468).
2-Rapporté par el Bukharî [voir : Fath el Bârî (1/84 et 10/465)] et Muslim (1661).
3-Voir : Fath el Bârî (1/86).
4-Rapporté par Ahmed dans el Musnad (5/158).
5-Rapporté par el Bukhârî (3754).
6-Rapporté par Abû Dâwûd dans el Marâsîl (229).
7-Rapporté par Ahmed dans el Musnad [voir : el Fath e-Rabbânî (12/226)].
8-Rapporté par Abû Dâwûd dans son recueil e-Sunan (5/339-340) et e-Tirmidhî (5/734-735).
9-Rapporté par el Bukharî [voir : Fath el Bârî (6/525)] et Muslim (2378).
10-Voici le Hadith en question : « Allah a élu Kuraïch parmi la tribu de Kinâna (Kanaân), comme il a élu Benû Hâchim parmi la tribu de Kuraïch, et Il m’a élu parmi la tribu de Benû Hâchim.Pour plus de détails sur le sujet voir : Zâd el Ma’âd d’ibn el Qaïyam el Jawziya (1/42-46).
11Voir notamment : Manhâj e-Sunna d’ibn Taïmiya (8/215-216).
12-Rapporté par Muslim (2699).
13-Voir : Majmû’ el Fatâwa d’ibn Taïmiya (35/230).
14-Il existe de nombreux Hadith sur le sujet. Voir notamment : el Ahâdith e-Nabawiya fî Dham el ‘Unsuriya el Jâhiliya de Sheïkh ‘Abd e-Salâm ibn Barjas.
15-Iqtidhâ e-Sirât el Mustaqîm (1/422).
17Voir : Fath el Bârî (6/527).Voir : Majmû’ el Fatâwa (35/231).
18-Voir : Iqtidhâ e-Sirât el Mustaqîm (1/414).
19-Qâ’ida Mukhtasara fi Qitâl el Kuffâr (179, 183).
20-Comme le fait de mettre sur le même pied d’égalité l’homme et la femme !Si les récompenses leur sont équitablement réparties, l’Islam tient compte notamment des particularités propres à chacun ; il n’existe donc pas une égalité absolue à tous les niveaux (voir : les devoirs et les droits des hommes et des femmes en Islam de Sheïkh Rabî’ el Madkhalî)
21-Voir : Majmû’ el Fatâwa (19/18-30).
22-Elles se distinguaient pas 3 choses : elles parlaient arabe, ses membres étaient d’origine arabe et elles vivaient dans la péninsule arabique.
22-Voir : Iqtidhâ e-Sirât el Mustaqîm (1/454).
23-Voir : Iqtidhâ e-Sirât el Mustaqîm (1/454-461).
24-Idem. (1/449-450).
25-Voir : Naqd el Qawmiya el ‘Arabiya de Sheïkh ibn Bâz écrit bien avant la première guerre d’Iraq.
26-Voir sur le sujet le Rad de Sheïkh Rabî’ el Madkhalî à de Saddam Hussain.
27-Voir : ENCARTA, Naqd el Qawmiya el ‘Arabiya.
28-Voir : Silsilat el Ahadith e-Sahîha de Sheïkh el Albânî (1/50).
PREUVE DANS LA SUNNA
Selon Abû Nadhra, le Messager d’Allah déclara lors du sermon au cours du Pèlerinage de l’Adieu à Mina (Aïyâm e-Tashrîq) :
« Ô gens ! Vous avez un seul Dieu et vous venez d’un seul père ! Il n’y a pas de différence entre un arabe et un non arabe ni entre un blanc et un noir si ce n’est par la piété. »
Selon Abû Huraïra , le Messager d’Allah a dit :
« Allah vous a abrogé la fierté de l’ère païenne et l’honneur des ancêtres. Il existe désormais deux catégories d’hommes : un croyant pieux et un pervers malheureux. Vous êtes les fils d’Adam et Adam est fait de terre. "
Dans un autre Hadith, le Prophète soutint à Abû Dhar :
«Sache qu’un blanc ne peut être mieux qu’un noir si ce n’est par la piété.»[5]
Il faut savoir que Bilal , le Muezzin du Prophète fut un esclave affranchi par Abû Bakr. Pourtant, ‘Omar le deuxième Khalife se plaisait à dire :
« Abû Bakr notre maître a affranchi Bilâl notre maitre. »[6]
Certaines annales rapportent également que le Prophète maria Bilâl à une fille des Banû Bukaïr(tribu arabe)[7]
Je vois déja quelques sourires sur les visages de certains.;D
Salam mon frere
S'il te plait n'essais pas de me coller une etiquette;tu sais tres bien que que j'ai omis la negation par erreur.
Si j'etais xenophone;je le crierai haut et fort ceci etant dit je crois avoir dit clairement que c'est pour des raisons personnelles.
Je ne suis pas obligé d'etre pour le mariage mixte;je n'ai pas dit que je suis contre.
j'ai dit que je ne suis pas pour;ça veut dire que si j'ai le choix;je choisirai une femme dans ma communauté.
Voila
Petit frère, pour être plus précis, on va dire que tu ne serais pas prêt à accorder la main de ta fille à un zairois même musulman et j'avoue que je suis du même avis .......mais, nos enfants vont ils nous laisser le choix ?
Prions pour qu'ils fassent de bonnes rencontres, c'est tout !!!
Oui, mais, ce que vous oubliez, c'est que l'empire du Mali est venu après la dislocation de l'empire du Wagadu qui était lui soninké. Beaucoup d'acteurs de l'histoire de l'empire du Mali ont des patronymes Soninké : Keita, touré, kanté (Soumangourou Kanté).
Après l'empire du Mali, ce fut l'empire Songhaï avec Askia Mohamed qui était lui-même un descendant de Soninké.
Beaucoup de Touré vous diront aujourd'hui qu'ils sont bambara. Or tout le monde sait que les Touré sont forcément, à l'origine des Soninké.
Merci grande soeur;D
C'est vrai ce que tu dis;moi je respecterai le choix de ma fille tant que son choix reste dans les limites autorisées par ma religion mais je vais la faire savoir egalement mon avis;elle en fera son appreciation personnelle.Si toute ça ce trouvais que je suis contre son choix et qu'elle persiste je vais la laisser vivre sa vie et demain elle ne viendra pas dire que je ne l'ai pas averti;D
fffffffffffffffffffffffffffffffffff
uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
Hé Antoine !!! ce n'est pas du mepris mais c'est un mode de vie qui est tellement éloigné du notre qu'il fait peur ......
Pour être sincère, je me sents bcp plus proche d'un senegalais, d'un mauritanien ou d'un guinéen que d'un zairois....Mais, je ne dis pas que ts les zairois st mauvais ni que ts les maliens st bons dè ;D
ssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss sssssss
Keita chez les maliens (bambara) c'est tout simplement Koïta chez les Soninké (ou Makalou) qui existait chez les Soninké bien avant l'empire du Mali.
Ah bon, donc, quand on est forgeron, on ne fait partie d'aucune ethnie ?
Je te conseille de lire cet ouvrage de référence sur l'histoire des Soninké et de l'empire du Wagadu : L'Empire du Ghana: Le Wagadou et les Traditions de Yéréré , notamment dans la partie Emigration et Dispersion.
(Egalement celui-ci : - La société Soninké (Dyahunu, Mali) de Eric Pollet et Grace Winter).
Il faut savoir qu'en Afrique, le patronyme a toujours une origine. Et c'est cette origine qui détermine l'origine ethnique du patronyme. Après, avec l'émigration, les dispersions, le patronyme peut changer d'ethnie, de langue. Mais, il n'en demeure pas moins que la source et l'origine resteront toujours les mêmes.
Touré veut dire en Soninké, éléphant, il faut savoir aussi que les Cissé n'étaient pas les seuls régnants de l'empire du Wagadu. Il y avait aussi des Touré, des Bérété, des Doucouré, etc. Je parle toujours d'une époque qui était à des siècles avant l'empire du Mande. L'empire du Mande s'est fondé sur les vestiges de celui du Wagadu. Donc, à fortiori, c'est normal que certains patronymes se revendiquent bambaras, mais l'origine, elle, ne change pas.
A te lire, on a l'impression que l'histoire de cette zone de l'Afrique commence seulement avec l'empire du Mandé.
D'abord, pour les Cissé, comme tu l'as bien écrit, les Cissé, étaient déjà dans l'empire du Wagadu, bien avant même l'islamisation des Soninké. Donc, le titre Cissé donné aux érudits musulmans ne peut venir qu'après l'islamisation. C'est après la dislocation de l'empire du Wagadu que, les Cissé, les Bérété, les Touré, les Diané, (patronymes, tous Soninké) sont devenus les Mande Moody, sous l'empire du Mande de Soundjata Keita.
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Au Mali, les KEITA ne sont pas bambaras. Ce sont des Malinkés.
Les malinkés KEITA existent ds d'autres coins d'Afrique de l'ouest : tu as des Keita malinkés en Guinée et même au Sénégal .....
Les Sénégalais ont tendance à considérer ts les maliens comme des bambaras.
Tous les Sénégalais ne st pas wolofs, ts les maliens ne st pas bambaras n'ont plus !!!;D(je me fonde sur ton expression"chez les maliens(bambaras)" alors qu'à ma connaissance, il n'y a pas de KEITA bambara ou alors très peu
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[QUOTE=rokia;77502]Au Mali, les KEITA ne sont pas bambaras. Ce sont des Malinkés.
Les malinkés KEITA existent ds d'autres coins d'Afrique de l'ouest : tu as des Keita malinkés en Guinée et même au Sénégal .....
Les Sénégalais ont tendance à considérer ts les maliens comme des bambaras.
Tous les Sénégalais ne st pas wolofs, ts les maliens ne st pas bambaras n'ont plus !!!;D(je me fonde sur ton expression"chez les maliens(bambaras)" alors qu'à ma connaissance, il n'y a pas de KEITA bambara ou alors très peu[/QUOTE]
C'est aussi ce que je pense, les Keita sont pour la majorité d'origine malinké.
....................Mais sans vouloir vous offenser, je crois pas que ce soit le bon endroit pour discuter de l'origine des Keita, vous ne croyez pas?
SALAM
Mon frere j n sui vraimen pa d acor k tu dize k le mariage d un sonike nee et grandi en france avec une francaise blanche n est pa un mariage mixte.
Meme si c sonike et nee et grandi en france il ya d difference entre lui et celle.
Ou tu pense k si on grandi et nee en france en etan sonike on ai francais.
je suis d'accord , malheureusement il y mauvaise compréhension de l'islam au point de croire que le musulman ne peut avoir de préference endogame pour sa descendance .
il n'y a aucun texte qui l'interdit ni le rend détestable !
Et cette attitude est tenace chez les pro-métissages avec les européens de "souche" .
Allons savoir pourquoi .... .
la menace de racisme pour celui qui n'est pas attiré vers la mixité est un discours anesthésiant à l'encontre des noirs pour des soucis de politique assimilationiste , nos complexes de nègres aidant , notre hantise du cheveux crépus nous ouvre formidablement l'esprit .
la même ouverture n'est pas présente lorsqu'il s'agit d'un congolais !!! étrange !
PS : ce hadith mentionne l'égalité des races .
ce que nous savons .
il ne faut pas déplacer le "sujet" .
[QUOTE=Antoine;77439]Salam,
Les cultures existent , les nations existent , la diversité existe et tant mieux , donc si cette diversité est géographiquement , voir physionomiquement distinctive , il n'y a pas de mal à le souligner : un suedois a une particularité physique différente du soninké , le dire n'est pas du racisme biologique.Citation:
L'imprégnation de cette idéologie a été tellement profonde que même les mouvements de résistance au racisme européen se sont déployés à l'intérieur de cette vision du monde : négritude, black panthers, afrocentrisme, etc... Ces mouvements de résistance ne font souvent que retourner le préjugé raciste européen.
arretons ce chantage au racisme désuet .
Le noir existe, le blanc, le jaune existe et parce qu'ils prennent conscience de leur différence culturelle et non colorifique , qu'ils doivent coexister en parfaite harmonie , sans idéologie de supériorité .
Coexister en paix ne veut pas dire métisser !
Il faut que l'on arrete de dire aux africains que leur salut se trouve dans le métissage !