Je sais que le fait d'être à l'heure represente une goutte d'eau dans l'océan, mais c'était juste de l'autodérision 8)
Je sais que le fait d'être à l'heure represente une goutte d'eau dans l'océan, mais c'était juste de l'autodérision 8)
Vous avez raison, c'est clair !!!
Dès le moment où l'on a comme projet de créer une association quelque soit le motif et le but, il faut être trés motivé, il faut savoir où l'on va, pourquoi et comment, savoir se remettre en question, être ponctuel, organisé, savoir travailler en groupe (l'esprit d'équipe) et collaborer, communiquer , je pense aussi que lorsqu'il y a trop de moonde il peut y avoir des problème de gestion, certains vont pas ou peu s'investir et vont se reposer sur les autres, ...
il ya aussi le manque de partenariats entres les associations qui ont le même objectifs.
cela permettrait d'eviter de commettre les memes erreurs, donc d'avancer plus rapidement.
on dirait qu'il ya conccurence.
Bonjour,
Il est vrai qu'il y a un vrai probléme de concurrence entre les associations soninké notamment toujours en recherche de leadership et de recherche de gloire personnel entre les individus, c'est un des grands maux qui nuisent malheureusement énormément à notre épanouissement.
Tchooooo
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
Salam
Fatim tu as bien raison entre les associations on dirait qu’il y’a de la concurrence et ceci et très dommage car si aujourd’hui si on se rassemble, nous pouvons faire évoluer beaucoup de chose dans nos villages.
Je pensais que nous enfant de France nous étions différents, et nous étions solidaire mais au contraire on n’est pire.
En France nous avons la chance d’avoir beaucoup d’aide pour crée nos assoc et de subvention pour développer nos projet si nous travaillons en partenariat sa nous évitera de faire la mm chose comme la si bien dit Fatim et au contraire on évoluera plus vite et nos village avancerons d’un très grand pas.
Au lieu qu’on s’aide entre nous, on rabaisse les autre association ou même on se vole les idées comment peu t-on avancer comme sa ?
TANT QUE NOUS NE SERONS PAS SOLIDAIRE ENTRE NOUS ON N’AVANCERA JAMAIS![]()
les association c bien mais le probléme y a pas de suite
Bonsoir
Voici quelques passages qui peuvent en partie expliquer les problèmes structurels que rencontrent les associations soninkées, qu'elles soient ici ou au pays.
Cheikhna Mouhamed WAGUE dit :
Les conflits socio-identitaires n’épargnent pas non plus le volet culturel. A tire d’exemple, en Août 1996, j’ai assisté, dans le cadre d’une observation participante, à une assemblée des jeunes soninkés de Kaédi (Mauritanie) réunis pour l’élection du président de leur association culturelle. Plusieurs candidats étaient en lice, mais celui d’origine servile a été rejeté par les jeunes hooro (hooro-n-lenmu), au motif que son statut ne lui donnait pas le droit de diriger. Et, la mésintelligence s’aggravant, chaque groupe a décidé d’évoluer de nos jours dans sa propre structure. Cet état d’esprit incline à dire que la jeune génération n’est pas prête à changer les anciennes règles du jeu identitaire et politique, que les appellations hoore, ňaxamalo et kome sont bien vivantes, et la vigueur des revendications intacte. Les pratiques ont certes évolué, mais les mentalités peinent à s’inscrire dans une logique de changement. [1]
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[1] C.-M, WAGUE, « Quand les identités sociales s’affrontent la coexistence devient difficile au Fouta Toro. Les Soninkés face aux mutations du XX e siècle », Hypothèses 2006, Travaux de l’Ecole Doctorale d’Histoire de Paris I, Paris, Publications de la Sorbonne, 2007, p.225.
Mahamet TIMERA dit:
L’appartenance nationale a de plus en plus tendance à devenir un critère pertinent au sein de l’immigration et son rôle dans la formation des associations n’est pas toujours absent. Il semble que, même entre Soninké, l’origine nationale détermine un certain degré ou une certaine distanciation. La référence fréquente à la nationalité et non à l’ethnie seule pour définir et désigner des voisins, le sentiment de supériorité des uns vis-à-vis des autres, des Soninkés du Sénégal notamment vis-à-vis de leurs « frères » du Mali ou de la Mauritanie témoignent de la réalité du fait national comme critère pertinent. En fait, ce qui est surtout déterminant dans les rapports entre ces différentes communautés soninké, c’est souvent la profondeur de l’impact colonial et du contact avec le colonisateur qui se traduit par une moindre résistance à l’acculturation dans l’espace urbain en France. Ainsi, les plus avertis des normes de la vie urbaine participent à la stigmatisation de leurs compatriotes et adoptent parfois de stratégies de distinction ou de distanciation[1]
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1] M. TIMERA, Les Soninké en France. D'une histoire à l'autre, Paris, Karthala, 1996, p. 135.
Dernière modification par maryama 05/06/2007 à 23h09
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/