Coin des hayiranko, gajaaganko et autres cousins à plaisanteries !

[Bawague]

Mdr, celle-là, elle est belle !

rire ....eskèy ku hayranko toujours comme ca

[sumaarenkunda]

TOUT LE3 CRITIQUE QUI ETE FAIT, je trouve que ya pas de verité dedans ,les bathily ce eu dit de mansonge au hayiranko sinon le hayiranko ce de marabout8)

[kabalanke]

les hayrankos ne sont pas seulement des marabouts mais c des rois de gaj.

[Lassana Bathily]

TOUT LE3 CRITIQUE QUI ETE FAIT, je trouve que ya pas de verité dedans ,les bathily ce eu dit de mansonge au hayiranko sinon le hayiranko ce de marabout8)

kabalankeles hayrankos ne sont pas seulement des marabouts mais c des rois de gaj.

Oui c'est ça
un marabout hayeranké a dit qu'il n'est pas interdit de passer la nuit avec une femme qu'on n'a pas marié;d'apres lui il n'y a de fornication que quand la priere du fadjr( du matin) la trouve chez toi
c'est la charia à la hairanké

[kabalanke]

vs les gaj votre point fort c les femmes vous ne pouvez pas discutez sans parlé de femme.vous etes des champions en feminologie ........rire

[Lassana Bathily]

vs les gaj votre point fort c les femmes vous ne pouvez pas discutez sans parlé de femme.vous etes des champions en feminologie ........rire

Nous ne faisons que relater vos faits et actes

[Lassana Bathily]

un gaajaganké et son ami hayranké se rencontrent à l'hopital
gaajaganké: bonjour hayeranké
hayeranké: bonjour gaajaganké
hayeranké: qu'est s'est passé? t'as des traces de sang sur ton doigt
gaajaganké: oui c'est normal;je viens de faire une prise de sang
hayeranké: tu veus dire qu'on a coupé le bout de ton doigt
gaajaganké: oui c'est exactement ça

Le hayranké commence à pleurer
gaajaganké: éh yougo mané xa ni ( mon pote qu'est ce qui se passe;au point que tu fondes en larmes)

hayeranké: c'est que je dois faire une prise d'urine

[makalou]

un gaajaganké et son ami hayranké se rencontrent à l'hopital
gaajaganké: bonjour hayeranké
hayeranké: bonjour gaajaganké
hayeranké: qu'est s'est passé? t'as des traces de sang sur ton doigt
gaajaganké: oui c'est normal;je viens de faire une prise de sang
hayeranké: tu veus dire qu'on a coupé le bout de ton doigt
gaajaganké: oui c'est exactement ça

Le hayranké commence à pleurer
gaajaganké: éh yougo mané xa ni ( mon pote qu'est ce qui se passe;au point que tu fondes en larmes)

hayeranké: c'est que je dois faire une prise d'urine

Salam

Ah Ah le pauvre... ce jeune Hayranké est vraiment grave quoi.

[Djizeuss]

C'est un fermier Hairanké qui se retrouve à l'hôpital avec une jambe cassée. L'interne de garde lui demande: " Comment est-ce arrivé? " Le Hairanké commence: " Eh bien, c'était il y a 25 ans... " L'interne l'interrompt: " Ne me racontez pas votre vie: Dites-moi simplement comment vous vous êtes cassé la jambe ce matin! " Le Haîranké répond: " Comme je vous le disais, il y a 25 ans, je travaillais comme journalier dans une ferme de la région. C'était ma première nuit sur place, et juste après que je sois couché, la fille du fermier (une superbe créature) est entrée dans ma chambre. Elle m'a demandé si je n'avais besoin de rien. je lui ai répondu " Non non, tout va bien ". Puis elle a encore demandé " Vous êtes vraiment sûr qu'il n'y a rien que je puisse faire pour vous? ", et là je lui ai répondu " Non , non, je vous remercie " L'interne reprend la parole et demande: " Mais je ne vois pas très bien ce que cette histoire a à voir avec votre jambe? " Et le fermier répond: " Bien, c'est que ce matin, alors que je réparais mon toit, j'ai finalement compris ce qu'elle avait voulu dire... et je suis tombé par terre! "

krkrkrkrkrkrkrkr elle est vraiment pas mal celle ci

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Je compte sur toi pour me donner un coup de main car sa ne va pas être facile mais je tiendrai le coup face à ses Haîrankos

Moi faire une alliance avec les diango woylé, tu penses que je suis fou ou quoi.

Je te raconte une histoire :

Il y avait un diango woylé, sa femme et son fils (nourrisson) qui devaient traverser un marigot. Le seul hic, c'est que il n'y avait pas de pirogue, il fallait sauter à un moment parce qu'il y avait un gué (jibe en soninké). Et ni l'homme, ni la femme ne peuvent sauter avec l'enfant. L'enfant non plus ne peut pas sauter, vu qu'il est nourrisson. Le père de famille, ce grand diango woylé, haut de ses deux mètres, déjà sur l'autre rive, n'a rien trouvé comme mot pour sa femme que de lui dire d'abandonner son fils, parce que, dit-il : " ce qui donne l'enfant est dans son pantalon et qu'il est prêt à la récompenser dans les 9 mois à venir pour l'abandon de son fils."

Tu penses que moi fuutanke que je suis, je peux faire alliance avec des gens qui se résignent à des solutions pareilles. Non du tout.