• Portail Soninkara.com
  • Forums Soninkara.com
  • Radio Soninkara.com
  • Centre Multimédia
  • Blogs
  • Galeries
  • Nous Contacter
  • Plan du site
soninkara

Rejoignez nous sur 1400684181 facebook square1400684195 twitter square1400684205 google square1400684219 youtube square color

  • Connexion
Close
Login to Your Account
S'inscrire
  • Accueil
  • Forum
  • Discussions Générales
  • Sport
  • Mondial 2010: Feuilleton avec l'équipe de France

Affichage des résultats 1 à 10 sur 56

Discussion: Mondial 2010: Feuilleton avec l'équipe de France

  • LinkBack
    • LinkBack URL LinkBack URL
    • À propos de LinkBacks À propos de LinkBacks
    •  
    • Favoris & Partage
    • Digg ce sujet!
    • Ajouter la discussion vers del.icio.us
    • Signet dans Technorati
    • Tweeter ce sujet
  • Outils de la discussion
    • Afficher une version imprimable
    • Envoyer un lien vers cette page par email…
    • S'abonner à cette discussion…
  • Display
    • Choisir le mode linéaire
    • Choisir le mode arborescent

Hybrid View

  1. 07/08/2010, 23h31 #1
    Fodyé Cissé
    Fodyé Cissé est déconnecté
    Fodyé Bine Khoudjédji Avatar de Fodyé Cissé
    Date d'inscription
    juin 2006
    Localisation
    Stains
    Messages
    7 149
    Envoyer un message via MSN à Fodyé Cissé Envoyer un message via Skype™ à Fodyé Cissé

    Par défaut

    Citation Posté par aichou Voir le message
    PARIS (AP) — "Aucun joueur" de l'équipe de France n'a confirmé les insultes proférées par Nicolas Anelka à l'encontre du sélectionneur Raymond Domenech, a déclaré vendredi sur RTL le député Patrick Braouezec, membre de la commission d'information chargée d'établir "les faits et les responsabilités" lors de la grève des Bleus à Knysna pendant le Mondial sud-africain.

    Le conseil fédéral de la Fédération française de football doit étudier ce vendredi les propositions de la commission et statuer sur les éventuelles suites à donner. Nicolas Anelka avait été exclu du groupe des Bleus suite à ses propos à la mi-temps du match France-Mexique et les joueurs, en réaction, avaient décidé de ne pas s'entraîner le 20 juin.

    "On a beaucoup d'éléments pour comprendre ce qui s'est passé (...) On a pu rencontrer ou entendre au téléphone 18 des 23 joueurs", a expliqué Patrick Braouezec.

    Selon le député GDR (Gauche démocrate et républicaine) de Seine-Saint-Denis, "l'ensemble des joueurs entendus (...) ont tous été assez unanimes, même si certains ont un peu plus suivi que d'autres, sans doute. Mais il n'y a eu à aucun moment des pressions, à aucun moment des caïds" ou des meneurs, a-t-il dit.

    Dans cette affaire, estime-t-il, "les médias et notamment une certaine presse ont joué un rôle très négatif".

    "Aucun joueur que nous avons auditionné, même parmi ceux qui étaient les plus près d'Anelka à ce moment, n'ont confirmé qu'il avait dit ces paroles là. L'Equipe n'a sans doute pas complètement inventé, mais il y a quand même des propos qui auraient au moins mérité confirmation et vérification avant (...) Il y a eu un moment très tendu, personne ne le nie, c'est souvent le cas dans les vestiaires", a ajouté M. Braouezec.

    Nicolas Anelka ne nie pas l'altercation avec le sélectionneur mais conteste les propos que lui avait attribués L'Equipe en "une" le 19 juin et a assigné en justice le quotidien sportif pour diffamation. L'Equipe, qui a évoqué une première audience à l'automne, a précisé qu'il se défendrait en "faisant citer les différents témoins de la scène".

    La commission d'information est composée de Patrick Braouezec, de Laurent Davenas, avocat général près la Cour de Cassation et Jacques Riolacci, ancien président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. AP

    Patrick Braouzec: "aucun joueur" n'a confirmé les insultes de Nicolas Anelka - Société - Nouvelobs.com
    Qu'ils arrêtent leur hypocrisie et qu'ils nous disent simplement qui a vendu la mèche.
    • Partager
      • Partager ce post sur
      • Digg
      • Del.icio.us
      • Technorati
      • Twitter
    Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !

    http://www.waounde.com

    Réponse avec citation Réponse avec citation

  2. 09/08/2010, 10h47 #2
    Hadiya WAGUE
    Hadiya WAGUE est déconnecté
    Senior Member Avatar de Hadiya WAGUE
    Date d'inscription
    juin 2006
    Messages
    1 717

    Par défaut

    Voici l'interview de Evra.

    INTERVIEW - Le capitaine des Bleus lors du Mondial sort du silence en exclusivité pour Le Figaro.

    Depuis des semaines, il se taisait, encaissait les attaques, en particulier celles de Lilian Thuram. Aujourd'hui, Patrice Evra, capitaine des Bleus lors d'une Coupe du monde de triste mémoire, a décidé de répondre.

    LE FIGARO. - Avec Abidal, Ribéry, Toulalan et Anelka, vous avez été déféré devant la commission de discipline de la FFF. Comprenez-vous la décision du conseil fédéral ?

    Patrice EVRA.- Je suis surpris, parce que j'avais l'impression que tout le monde voulait tourner la page du Mondial… Il faut penser au futur. Pourquoi nous sanctionner plus que d'autres ? On l'a déjà été. La sanction de ne pas sélectionner les 23 mondialistes pour le match en Norvège est cohérente. Elle montrait qu'il n'y avait pas cinq ou six meneurs, comme cela avait été écrit.


    Certains jugent sans doute que vous avez failli dans votre rôle de capitaine…

    Les joueurs et le staff connaissent la vérité. J'ai été honnête jusqu'au bout avec tout le monde. J'ai tout donné pour remplir mon rôle de capitaine. Certains m'ont chargé sans savoir ce qui s'était passé. J'ai mis tout mon cœur, voilà le résultat ! Domenech m'a même demandé pardon de m'avoir confié le brassard…


    L'attitude des internationaux en Afrique du Sud a choqué en France… Regrettez-vous la fronde du bus ?

    Je comprends la déception du public. Je fais mes excuses au public pour le mal que nous avons fait avec l'histoire du bus. À l'issue de notre dernier match contre l'Afrique du Sud, les joueurs ont refusé d'eux-mêmes leur prime (300.000 €). On ne la méritait pas… Il aurait fallu trouver un autre moyen pour signifier notre désapprobation contre l'exclusion injuste de Nicolas Anelka, qui n'était pas le problème majeur mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase… On ne peut malheureusement pas revenir en arrière. Dans notre bunker de Knysna, on vivait dans une bulle. On n'était plus dans la réalité. On a pris conscience de la fracture avec le public en recevant des appels de nos proches. Ce qui s'est passé en Afrique du Sud est vraiment grave. La seule chose qui pourra refermer la cicatrice, c'est qu'avec la nouvelle équipe la France se remette à gagner.


    Comment en êtes-vous arrivés à cette extrémité ?

    Le Mondial a été un véritable cauchemar. On a oublié l'essentiel, plus parlé de problèmes quotidiens que de foot. Mais il n'y avait plus de dialogue avec le coach. Il n'y avait aucune structure collective, ni de projet. Avant le match de préparation contre le Costa Rica, quelques joueurs lui ont demandé de s'impliquer plus, de nous donner plus de consignes. Il s'est senti agressé. Il a refusé l'échange. On a fait tous les matchs de préparation avec un système avant d'en changer pour celui d'ouverture du Mondial contre l'Uruguay. Ce n'était pas cohérent.


    Que s'est-il passé dans le vestiaire à la mi-temps de France-Mexique ?

    Pendant dix minutes, le coach n'a pas parlé puis, d'un coup, il a dit à Anelka : «Putain, je te dis de rester en pointe mais tu décroches ! » Nico lui a répondu. Il y a eu un échange de mots. Mais pas ceux retranscrits en une de L'Équipe. Je me suis alors levé pour calmer les esprits.


    Pourquoi avez-vous estimé son exclusion injuste ?

    Après la parution de L'Équipe, le président de la Fédération et le coach m'ont convoqué pour me dire qu'ils étaient dans l'obligation de l'exclure. Je leur ai répondu que ce n'étaient pas ses mots. Tous les joueurs le savaient. Boghossian (l'adjoint de Domenech) a suggéré qu'avec d'autres cadres - Ribéry, Toulalan, Gallas, Henry, Abidal, Govou - on lui demande de présenter des excuses publiques. Nico a accepté de le faire devant le staff et les joueurs mais pas dans les médias puisqu'il souhaitait porter plainte contre L'Équipe.


    Est-il exact qu'il a voulu quitter le groupe dès le stage en Tunisie ?

    Il se sentait frustré de ne pas pouvoir apporter plus en raison de son positionnement. Il a voulu partir. Je lui dis qu'on avait besoin de lui. Il est resté sans être convaincu…


    Comment l'idée du boycott de l'entraînement a-t-elle germé ?

    Avant de partir, Anelka a fait un discours fataliste. Les joueurs l'ont applaudi et certains ont lancé l'idée de faire quelque chose pour montrer le mal-être du groupe. D'où l'idée du boycott de l'entraînement. Je leur ai demandé s'ils en étaient sûrs. Tout le monde a approuvé. Personne n'a réalisé l'impact que cela pouvait avoir…


    Racontez-nous l'épisode du bus…

    Tout était prévu la veille. Le coach sentait que quelque chose se tramait. Je lui ai dit qu'il y aurait des conséquences. Domenech a souri. Un joueur venait de lui dire qu'il était dégoûté du football. L'attaché de presse devait transmettre le communiqué aux journalistes. Le coach a tenté de nous en dissuader. J'ai demandé alors plusieurs fois à mes coéquipiers s'ils voulaient descendre du bus. Personne n'a répondu. Domenech voulait qu'on lise le communiqué. Je me suis levé pour le faire. Je serais allé au feu pour mes partenaires. Mais Domenech a alors décidé de le lire lui-même…


    Peut-on parler de fracture entre les joueurs et Raymond Domenech ?

    Quand Claude Onesta et Stéphane Diagana sont venus à Tignes, certains joueurs m'ont dit : «Il fait venir des champions, mais lui n'a rien gagné... » Je recevais des plaintes après chaque entraînement. Les joueurs lui reprochaient son manque de travail tactique et le décalage avec les exercices auxquels ils sont habitués en club. J'ai essayé de faire passer le message à ses adjoints. Sans résultat. Le groupe l'a alors peu à peu lâché. Personne, ainsi, n'a compris qu'il décide de ne pas titulariser Florent Malouda contre l'Uruguay suite à un tacle appuyé à l'entraînement. Quant à Thierry Henry, il s'est aussi senti abandonné. «Titi» me disait : «Regarde, plus personne ne me calcule. » Il était en pleine forme à l'entraînement, mais on ne le faisait pas jouer. Il a fini par rendre les armes. Domenech a également décidé tout seul de couper la tête de Gourcuff avant le match contre le Mexique. Je n'ai cessé de répéter à mes partenaires qu'il fallait continuer de bosser. Mais, à un moment, ce discours ne passe plus.


    Pourquoi ne pas avoir remis publiquement Domenech en cause ?

    Je ne fais pas reposer la responsabilité de l'échec sur l'entraîneur. J'explique seulement ce qui s'est passé. Que le coach soit bon ou mauvais, c'est aux joueurs de prendre en main leur destin. C'est tout le sens de la réunion que nous avions organisé entre nous à Tignes. Les joueurs, moi le premier, nous aurions dû donner plus. Les premiers responsables sont toujours sur le terrain. Cela a été mon message durant toute la compétition. Mais nos prestations n'ont pas été à la hauteur.


    Le désastre n'était-il pas prévisible, au regard de votre parcours en qualifications ?

    Je ne vivais pas dans l'illusion, mais dans la confiance des qualités des joueurs. Certains joueurs me disaient qu'on allait dans le mur, mais je voulais y croire. Même si, au fond de moi, je pensais que quelque chose n'allait pas après la défaite contre la Chine. Mais je tenais à la santé du groupe. Mon rôle était d'entretenir la flamme.


    Pourquoi n'avez-vous pas disputé le dernier match contre l'Afrique du Sud ?

    Domenech a estimé que je n'étais pas dans les dispositions psychiques de le jouer. Je me suis senti trahi. Jusqu'alors, je n'avais jamais eu de problème avec lui. Il m'a fait passer pour un capitaine qui refusait de prendre ses responsabilités. Ce match, j'avais pourtant envie de le gagner. Je pensais même qu'on pouvait se qualifier. Le coach m'a également empêché de participer à la conférence de presse d'avant-match. Mes coéquipiers m'avaient pourtant demandé d'y transmettre un message d'excuses auprès des Français.


    Espérez-vous retrouver les Bleus ?

    Je ne vois pas mon avenir sans l'équipe de France. C'est mon pays et j'y tiens. La Marseillaise me fait vibrer. J'ai toujours envie de mouiller le maillot bleu. Je considérais chaque nouvelle sélection comme une chance à saisir. La seule façon de rebondir, ce sont les résultats.


    Êtes-vous entré en contact avec Laurent Blanc ?

    Non. Je pense qu'il a d'autres choses à faire en ce moment que de parler de mon cas personnel…
    • Partager
      • Partager ce post sur
      • Digg
      • Del.icio.us
      • Technorati
      • Twitter
    Les valeurs qui font de moi ce que je suis sont tirées des valeurs du Sooninkaaxu. Ces valeurs sont mes repères…

    Nul bien sans peine !!!
    Réponse avec citation Réponse avec citation

« Discussion précédente | Discussion suivante »

Discussions similaires

  1. Miss Mali France 2010
    By chad in forum Evenements
    Réponses: 0
    Dernier message: 11/10/2009, 15h59
  2. Eliminatoires combinées CAN/Mondial 2010: Résultats et Pronostics
    By Fodyé Cissé in forum Sport
    Réponses: 16
    Dernier message: 12/06/2008, 22h04
  3. Les nations africaines sur la route du Mondial 2010
    By Salem in forum Sport
    Réponses: 0
    Dernier message: 29/05/2008, 16h59
  4. Mondial 2006, quelle équipe africaine représente le mieux l'Afrique?
    By Fodyé Cissé in forum Sport
    Réponses: 23
    Dernier message: 13/02/2008, 16h58

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas soumettre de nouveaux sujets
  • Vous ne pouvez pas soumettre ded réponses
  • Vous ne pouvez pas soumettre de pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •  
  • BB code is oui
  • Les smileys sont activés : oui
  • La balise [IMG] est activée : oui
  • [VIDEO] le code est oui
  • Le code HTML peut être employé : non
  • Trackbacks are oui
  • Pingbacks are oui
  • Refbacks are oui

Forum Rules

A propos de nous
Soninkara.com est un site qui est fait entièrement par des bénévoles. Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés soucieuses de l'interêt de promouvoir la culture Soninké de nous aider à alimenter ce site. Ce site entend constituer, sur Internet, une grande banque de données contenant autant d'informations que possible sur tout ce qui concerne l'histoire, la langue, la société, la culture et les traditions Soninké, et on peut dire qu'il (le site) est sur la bonne voie. Mais, c'est si chacun apporte sa pierre à l'édifice que nous arriverons à cet objectif le plus rapidement possible. Aussi, nous sollicitons toute personne detenant des documents ou images ayant trait à la culture Soninké et desirant les voir publiés sur ce site de nous contacter soit par leformulaire de contact : ou soit directement par email sur webmaster@soninkara.com . Il en va de même pour toute personne pouvant nous orienter vers des gens susceptibles de nous aider à enrichir ce site.
Rejoignez nous
SONINKARA
Déclaration à la CNIL n°: 818358
  • Nous contacter |
  • Soninkara |
  • Archives |
  • Haut de page
Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 20h54.
Soninkara.com © Tous Droits Réservés!


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71