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  • Mondial 2010: Feuilleton avec l'équipe de France

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Discussion: Mondial 2010: Feuilleton avec l'équipe de France

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  1. 15/07/2010, 15h57 #51
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Le déballage continue. Anelka sort de sa torpeur!

    Nicolas Anelka dit sa conviction que les Bleus auraient explosé, quoiqu'il arrive en Afrique du Sud. "Si ce n'était pas par moi que tout s'était précipité, cela serait arrivé par quelqu'un d'autre". Il se confie ce jeudi à France Soir.
    Plus d'infos
    • Banni aux yeux de la FFF
    • Anelka, "c'est fini"
    • Anelka fait le tour du monde
    • Anelka en bonne compagnie...
    • Les insultes initiales
    Pour toujours, il sera l'homme du scandale. Celui dont les mots, placardés à la une de L'Equipe, ont définitivement sapé l'autorité du sélectionneur de l'équipe de France en Afrique du Sud. Celui dont l'exclusion a entraîné la rébellion du groupe, l'improbable grève du bus de Knysna, une crise dont on ne voit pas encore le bout à la tête de la FFF. Nicolas Anelka, trois semaines après cette comédie, prend pour la première fois la parole ce jeudi dans France Soir. Il y délivre un message simple : les Bleus auraient fini par se dissoudre quoi qu'il arrive, même s'il n'avait pas insulté Domenech à la mi-temps de France - Mexique (0-2).
    "Si ce n'était pas par moi que tout s'était précipité, cela serait arrivé par quelqu'un d'autre. Cela devait exploser". Concernant la grève du 20 juin, l'attaquant de Chelsea est formel : "Tout le monde, je dis bien tout le monde, était solidaire". Anelka confirme le point de vue, longtemps contesté, d'un groupe uni dans sa médiocre rébellion. "S'il y avait des joueurs qui voulaient s'entraîner, qu'ils parlent maintenant. Mais je suis certain à 100% que personne ne le fera". Evra, Henry, Abidal, Gallas et Toulalan ont tenu des propos d'une teneur comparable. Malouda a été un rien plus ambigu. Seul Ruffier, le... quatrième gardien, a contesté cette vision. C'est d'ailleurs l'entretien avec Toulalan paru dimanche dans le JDD qui a incité Anelka à sortir de son silence. "Il faut une forme de courage et de gros mental à Jérémy pour assumer cela. Je suis fier d'avoir joué avec lui et avec toute l'équipe de France." Anelka, actuellement en vacances à Bali.
    Dans les propos qu'il accorde à France Soir, Nicolas Anelka égratigne l'ancien international Bixente Lizarazu. C'est même la plus longue partie de l'article. Reconverti comme consultant et très critique à l'égard des Bleus, le Basque défend depuis plusieurs semaines la thèse des leaders et des suiveurs. "Lorsqu'on a été joueur, il faut une forme de respect. Lizarazu, c'est qui ? (...) C'est juste un ancien joueur en manque de reconnaissance". Sur son partenaire dans la conquête de l'Euro 2000, Anelka dit ceci : "Tout ce qu'il a trouvé comme reconversion, c'est le torpillage. A-t-il oublié qu'il était à la Coupe du monde 2002? (...) Je n'avais pas été dans la liste mais je m'étais abstenu de commenter". Les consignes de Raymond Domenech en revanche...
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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  2. 05/08/2010, 12h56 #52
    Hadiya WAGUE
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    Rebondissement dans l'affaire de bleus.

    Anelka porte plainte contre l'Equipe

    Exclu de l'équipe de France en plein Mondial après la publication de ses propos à l'égard de Raymond Domenech, Nicolas Anelka ne veut pas en rester là : il conteste avoir employé les mots rapportés par le quotidien sportif et a assigné le journal en diffamation.

    Anelka «conteste la citation mise en une de notre journal qu'il a d'ailleurs assigné en justice, s'estimant diffamé», écrit L'Equipe en page 2 dans un article reprenant les explications de l'attaquant des Bleus publiées dans l'édition du jour de France Soir.

    «L'Equipe maintient sa version et réserve ses explications au tribunal», écrit encore le journal.

    Deux jours après la défaite (0-2) contre le Mexique lors du 2e match du Groupe A au Mondial-2010, L'Equipe avait barré sa manchette des présumées insultes extrêmement violentes qu'aurait proférées Anelka contre Domenech, provoquant l'exclusion immédiate de l'attaquant de l'équipe de France

    Source :leparisien
    .


    Anelka en remet une couche

    Dans un entretien accordé à France-Soir, Nicolas Anelka revient sur la dernière Coupe du Monde, ses performances, ses relations avec Domenech et les insultes qu'il aurait proférées. Sans surprise, l'ancien sélectionneur des Bleus est sévèrement attaqué…

    Une confidence édifiante
    Le timing est parfaitement (bien ou mal ?) choisi. Alors que Laurent Blanc doit communiquer ce jeudi matin sa première liste en tant que sélectionneur de l'équipe de France pour le match amical en Norvège le 11 août, Nicolas Anelka revient sur la dernière Coupe du Monde dans les colonnes de France-Soir. Interrogé par Arnaud Ramsay, proche de Nicolas Anelka et qui a co-écrit avec l'attaquant de Chelsea Anelka vu par Nicolas Anelka, ce dernier s'attaque, évidemment, à Raymond Domenech, responsable selon lui du fiasco des Bleus en Afrique du Sud. Et comme ses coéquipiers avant lui, l'ancien attaquant du Paris-SG tient des propos parfois surréalistes. Ainsi apprend-t-on qu'Anelka voulait quitter l'équipe de France dès le stage en Tunisie, soit près de deux semaines avant le premier match de la Coupe du Monde ! «J'avais décidé de quitter l'équipe de France après le match en Tunisie (le 30 mai), lors de la préparation. J'étais déjà dégoûté de jouer de cette façon. Mais trois joueurs cadres m'ont demandé de rester pour le groupe. Je suis finalement resté. Je n'aurais pas dû…», déclare-t-il. Un aveu tout de même sidérant quand on sait ce qu'est censé représenter l'équipe de France pour un joueur français…

    Une erreur de casting
    L'attaquant de Chelsea, qui conteste une fois encore avoir tenu les propos publiés en Une de L'Equipe deux jours après France-Mexique («Va te faire enc…, sale fils de p… !»), fait ensuite preuve de plus de lucidité quand il évoque ses prestations lors de la préparation de la Coupe du Monde et lors de la compétition elle-même. Non sans égratigner Raymond Domenech au passage. «Pendant la préparation, mes matches ont été médiocres, pour ne pas dire catastrophiques. Comme durant le Mondial, ce n'était pas moi (…) Mon plus gros regret est là : ne pas avoir pu évoluer à mon poste (…) Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting et je suis le premier à le reconnaître», explique l'attaquant de Chelsea avant d'avouer n'avoir «servi à rien durant ce Mondial.» «Domenech a réussi à me dégoûter du football alors que je disputais ma première et dernière Coupe du Monde», affirme-t-il. Si l'on ne peut pas foncièrement lui donner tort quant à son utilisation en pointe - un poste qui ne lui convient pas à l'évidence -, son manque de reconnaissance envers un sélectionneur qui l'a relancé en équipe de France (à l'automne 2005) et en a fait un titulaire à part entière durant les deux dernières années est assez édifiant.

    Pourquoi maintenant ?
    Et comme pour toutes les déclarations faites jusque-là par les joueurs présents en Afrique du Sud au mois de juin, on se demande encore, à la lecture des propos de Nicolas Anelka, pourquoi les joueurs, visiblement tous mécontents du système de jeu et de la tactique et tous conscients qu'ils allaient dans le mur, n'ont pas décidé de se prendre en mains et de jouer comme eux le souhaitaient. Après tout, que risquaient-ils vraiment ? Raymond Domenech vivait ces dernières semaines sur le banc de l'équipe de France et il n'allait pas renvoyer chez eux 11 joueurs qui lui auraient désobéi. Car après-coup, toutes les explications des uns et des autres semblent n'être que des excuses avancées pour se dédouaner de sa propre responsabilité.


    Source : lefigaro.fr
    Nicolas Anelka a attribué, dans un entretien à France-Soir, la responsabilité du fiasco des Bleus au Mondial à Raymond Domenech et au journal l'Equipe qui avait rapporté des insultes contre l'entraîneur, qui lui avaient valu d'être exclu de l'équipe de France.

    Alors que Laurent Blanc doit communiquer ce jeudi (11h30) sa liste de joueurs convoqués pour le match amical France-Norvège, Nicolas Anelka a, pour sa part, remis les pieds dans le plat. L'attaquant de Chelsea est revenu sur ce qui s'est passé en Afrique du Sud. Encore. Dans un entretien à France-Soir, il a attribué la responsabilité de la débâcle tricolore à Raymond Domenech et au quotidien L'Equipe.

    "Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting et je suis le premier à le reconnaître", a-t-il expliqué. Selon lui, Domenech ne l'a jamais utilisé comme il l'aurait dû : "Le coach savait parfaitement où et comment je voulais évoluer. Hélas, ça ne s'est jamais produit. Mon plus gros regret est là: ne pas avoir pu évoluer à mon poste" ajoute-t-il "j'étais condamné à jouer contre nature". Anelka en a profité également pour revenir sur l'incident qui l'a opposé à son sélectionneur le 17 juin, à la mi-temps du match contre le Mexique : "Quand le coach, dans les vestiaires, me dit de rester devant, c'est monté direct au cerveau. Je me suis dit qu'il le faisait exprès, qu'il cherchait un mec pour prendre les coups à sa place".

    "Tout est faux !"

    "Je marmonne dans mon coin des choses qui resteront dans le secret des vestiaires. Et qui auraient dû y rester. Mais en aucun cas ce ne sont les mots que j'ai pu lire dans L'Equipe", a-t-il rajouté. Aux yeux de l'ancien Parisien, le quotidien sportif a joué un rôle dans son exclusion immédiate de l'équipe de France et porte aussi une responsabilité dans l'élimination prématurée des Bleus. Selon le footballeur, le titre de l'Equipe "est non seulement diffamant mais également "assassin". En faisant ça le journal a détruit les chances de la France et plus accessoirement a cherché à me nuire. Ce titre a créé une guerre entre le coach et les joueurs, puis entre les joueurs et la Fédération. Cet acte est scandaleux". Et de répéter, refusant de s'excuser "pour des mots qui ne sont pas sortis de (sa) bouche" : "Le pire c'est que tout est faux !".

    Nicolas Anelka est également revenu sur les supposés différends avec le Bordelais Yohann Gourcuff. "De la pure fiction", selon lui. Dans l'entretien accordé à France-Soir, il en profite également pour rendre hommage à Patrick Evra, "un capitaine exemplaire qui a défendu ses soldats". In fine, Anelka a tenu à réagir aux "propos racistes" d'une "minorité de Français" sur les joueurs de l'équipe de France : "Quand ça se passe mal, on redevient des immigrés noirs (même quand on ne l'est pas!) ou arabe, racaille, caïd banlieusard et musulman".
    François-Xavier RALLET (avec AFP) / Eurosport
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    Nul bien sans peine !!!
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  3. 07/08/2010, 18h11 #53
    aichou
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    Par défaut Complot contre Anelka?

    PARIS (AP) — "Aucun joueur" de l'équipe de France n'a confirmé les insultes proférées par Nicolas Anelka à l'encontre du sélectionneur Raymond Domenech, a déclaré vendredi sur RTL le député Patrick Braouezec, membre de la commission d'information chargée d'établir "les faits et les responsabilités" lors de la grève des Bleus à Knysna pendant le Mondial sud-africain.

    Le conseil fédéral de la Fédération française de football doit étudier ce vendredi les propositions de la commission et statuer sur les éventuelles suites à donner. Nicolas Anelka avait été exclu du groupe des Bleus suite à ses propos à la mi-temps du match France-Mexique et les joueurs, en réaction, avaient décidé de ne pas s'entraîner le 20 juin.

    "On a beaucoup d'éléments pour comprendre ce qui s'est passé (...) On a pu rencontrer ou entendre au téléphone 18 des 23 joueurs", a expliqué Patrick Braouezec.

    Selon le député GDR (Gauche démocrate et républicaine) de Seine-Saint-Denis, "l'ensemble des joueurs entendus (...) ont tous été assez unanimes, même si certains ont un peu plus suivi que d'autres, sans doute. Mais il n'y a eu à aucun moment des pressions, à aucun moment des caïds" ou des meneurs, a-t-il dit.

    Dans cette affaire, estime-t-il, "les médias et notamment une certaine presse ont joué un rôle très négatif".

    "Aucun joueur que nous avons auditionné, même parmi ceux qui étaient les plus près d'Anelka à ce moment, n'ont confirmé qu'il avait dit ces paroles là. L'Equipe n'a sans doute pas complètement inventé, mais il y a quand même des propos qui auraient au moins mérité confirmation et vérification avant (...) Il y a eu un moment très tendu, personne ne le nie, c'est souvent le cas dans les vestiaires", a ajouté M. Braouezec.

    Nicolas Anelka ne nie pas l'altercation avec le sélectionneur mais conteste les propos que lui avait attribués L'Equipe en "une" le 19 juin et a assigné en justice le quotidien sportif pour diffamation. L'Equipe, qui a évoqué une première audience à l'automne, a précisé qu'il se défendrait en "faisant citer les différents témoins de la scène".

    La commission d'information est composée de Patrick Braouezec, de Laurent Davenas, avocat général près la Cour de Cassation et Jacques Riolacci, ancien président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. AP

    Patrick Braouzec: "aucun joueur" n'a confirmé les insultes de Nicolas Anelka - Société - Nouvelobs.com
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  4. 07/08/2010, 23h31 #54
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    PARIS (AP) — "Aucun joueur" de l'équipe de France n'a confirmé les insultes proférées par Nicolas Anelka à l'encontre du sélectionneur Raymond Domenech, a déclaré vendredi sur RTL le député Patrick Braouezec, membre de la commission d'information chargée d'établir "les faits et les responsabilités" lors de la grève des Bleus à Knysna pendant le Mondial sud-africain.

    Le conseil fédéral de la Fédération française de football doit étudier ce vendredi les propositions de la commission et statuer sur les éventuelles suites à donner. Nicolas Anelka avait été exclu du groupe des Bleus suite à ses propos à la mi-temps du match France-Mexique et les joueurs, en réaction, avaient décidé de ne pas s'entraîner le 20 juin.

    "On a beaucoup d'éléments pour comprendre ce qui s'est passé (...) On a pu rencontrer ou entendre au téléphone 18 des 23 joueurs", a expliqué Patrick Braouezec.

    Selon le député GDR (Gauche démocrate et républicaine) de Seine-Saint-Denis, "l'ensemble des joueurs entendus (...) ont tous été assez unanimes, même si certains ont un peu plus suivi que d'autres, sans doute. Mais il n'y a eu à aucun moment des pressions, à aucun moment des caïds" ou des meneurs, a-t-il dit.

    Dans cette affaire, estime-t-il, "les médias et notamment une certaine presse ont joué un rôle très négatif".

    "Aucun joueur que nous avons auditionné, même parmi ceux qui étaient les plus près d'Anelka à ce moment, n'ont confirmé qu'il avait dit ces paroles là. L'Equipe n'a sans doute pas complètement inventé, mais il y a quand même des propos qui auraient au moins mérité confirmation et vérification avant (...) Il y a eu un moment très tendu, personne ne le nie, c'est souvent le cas dans les vestiaires", a ajouté M. Braouezec.

    Nicolas Anelka ne nie pas l'altercation avec le sélectionneur mais conteste les propos que lui avait attribués L'Equipe en "une" le 19 juin et a assigné en justice le quotidien sportif pour diffamation. L'Equipe, qui a évoqué une première audience à l'automne, a précisé qu'il se défendrait en "faisant citer les différents témoins de la scène".

    La commission d'information est composée de Patrick Braouezec, de Laurent Davenas, avocat général près la Cour de Cassation et Jacques Riolacci, ancien président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. AP

    Patrick Braouzec: "aucun joueur" n'a confirmé les insultes de Nicolas Anelka - Société - Nouvelobs.com
    Qu'ils arrêtent leur hypocrisie et qu'ils nous disent simplement qui a vendu la mèche.
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  5. 09/08/2010, 10h47 #55
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    Voici l'interview de Evra.

    INTERVIEW - Le capitaine des Bleus lors du Mondial sort du silence en exclusivité pour Le Figaro.

    Depuis des semaines, il se taisait, encaissait les attaques, en particulier celles de Lilian Thuram. Aujourd'hui, Patrice Evra, capitaine des Bleus lors d'une Coupe du monde de triste mémoire, a décidé de répondre.

    LE FIGARO. - Avec Abidal, Ribéry, Toulalan et Anelka, vous avez été déféré devant la commission de discipline de la FFF. Comprenez-vous la décision du conseil fédéral ?

    Patrice EVRA.- Je suis surpris, parce que j'avais l'impression que tout le monde voulait tourner la page du Mondial… Il faut penser au futur. Pourquoi nous sanctionner plus que d'autres ? On l'a déjà été. La sanction de ne pas sélectionner les 23 mondialistes pour le match en Norvège est cohérente. Elle montrait qu'il n'y avait pas cinq ou six meneurs, comme cela avait été écrit.


    Certains jugent sans doute que vous avez failli dans votre rôle de capitaine…

    Les joueurs et le staff connaissent la vérité. J'ai été honnête jusqu'au bout avec tout le monde. J'ai tout donné pour remplir mon rôle de capitaine. Certains m'ont chargé sans savoir ce qui s'était passé. J'ai mis tout mon cœur, voilà le résultat ! Domenech m'a même demandé pardon de m'avoir confié le brassard…


    L'attitude des internationaux en Afrique du Sud a choqué en France… Regrettez-vous la fronde du bus ?

    Je comprends la déception du public. Je fais mes excuses au public pour le mal que nous avons fait avec l'histoire du bus. À l'issue de notre dernier match contre l'Afrique du Sud, les joueurs ont refusé d'eux-mêmes leur prime (300.000 €). On ne la méritait pas… Il aurait fallu trouver un autre moyen pour signifier notre désapprobation contre l'exclusion injuste de Nicolas Anelka, qui n'était pas le problème majeur mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase… On ne peut malheureusement pas revenir en arrière. Dans notre bunker de Knysna, on vivait dans une bulle. On n'était plus dans la réalité. On a pris conscience de la fracture avec le public en recevant des appels de nos proches. Ce qui s'est passé en Afrique du Sud est vraiment grave. La seule chose qui pourra refermer la cicatrice, c'est qu'avec la nouvelle équipe la France se remette à gagner.


    Comment en êtes-vous arrivés à cette extrémité ?

    Le Mondial a été un véritable cauchemar. On a oublié l'essentiel, plus parlé de problèmes quotidiens que de foot. Mais il n'y avait plus de dialogue avec le coach. Il n'y avait aucune structure collective, ni de projet. Avant le match de préparation contre le Costa Rica, quelques joueurs lui ont demandé de s'impliquer plus, de nous donner plus de consignes. Il s'est senti agressé. Il a refusé l'échange. On a fait tous les matchs de préparation avec un système avant d'en changer pour celui d'ouverture du Mondial contre l'Uruguay. Ce n'était pas cohérent.


    Que s'est-il passé dans le vestiaire à la mi-temps de France-Mexique ?

    Pendant dix minutes, le coach n'a pas parlé puis, d'un coup, il a dit à Anelka : «Putain, je te dis de rester en pointe mais tu décroches ! » Nico lui a répondu. Il y a eu un échange de mots. Mais pas ceux retranscrits en une de L'Équipe. Je me suis alors levé pour calmer les esprits.


    Pourquoi avez-vous estimé son exclusion injuste ?

    Après la parution de L'Équipe, le président de la Fédération et le coach m'ont convoqué pour me dire qu'ils étaient dans l'obligation de l'exclure. Je leur ai répondu que ce n'étaient pas ses mots. Tous les joueurs le savaient. Boghossian (l'adjoint de Domenech) a suggéré qu'avec d'autres cadres - Ribéry, Toulalan, Gallas, Henry, Abidal, Govou - on lui demande de présenter des excuses publiques. Nico a accepté de le faire devant le staff et les joueurs mais pas dans les médias puisqu'il souhaitait porter plainte contre L'Équipe.


    Est-il exact qu'il a voulu quitter le groupe dès le stage en Tunisie ?

    Il se sentait frustré de ne pas pouvoir apporter plus en raison de son positionnement. Il a voulu partir. Je lui dis qu'on avait besoin de lui. Il est resté sans être convaincu…


    Comment l'idée du boycott de l'entraînement a-t-elle germé ?

    Avant de partir, Anelka a fait un discours fataliste. Les joueurs l'ont applaudi et certains ont lancé l'idée de faire quelque chose pour montrer le mal-être du groupe. D'où l'idée du boycott de l'entraînement. Je leur ai demandé s'ils en étaient sûrs. Tout le monde a approuvé. Personne n'a réalisé l'impact que cela pouvait avoir…


    Racontez-nous l'épisode du bus…

    Tout était prévu la veille. Le coach sentait que quelque chose se tramait. Je lui ai dit qu'il y aurait des conséquences. Domenech a souri. Un joueur venait de lui dire qu'il était dégoûté du football. L'attaché de presse devait transmettre le communiqué aux journalistes. Le coach a tenté de nous en dissuader. J'ai demandé alors plusieurs fois à mes coéquipiers s'ils voulaient descendre du bus. Personne n'a répondu. Domenech voulait qu'on lise le communiqué. Je me suis levé pour le faire. Je serais allé au feu pour mes partenaires. Mais Domenech a alors décidé de le lire lui-même…


    Peut-on parler de fracture entre les joueurs et Raymond Domenech ?

    Quand Claude Onesta et Stéphane Diagana sont venus à Tignes, certains joueurs m'ont dit : «Il fait venir des champions, mais lui n'a rien gagné... » Je recevais des plaintes après chaque entraînement. Les joueurs lui reprochaient son manque de travail tactique et le décalage avec les exercices auxquels ils sont habitués en club. J'ai essayé de faire passer le message à ses adjoints. Sans résultat. Le groupe l'a alors peu à peu lâché. Personne, ainsi, n'a compris qu'il décide de ne pas titulariser Florent Malouda contre l'Uruguay suite à un tacle appuyé à l'entraînement. Quant à Thierry Henry, il s'est aussi senti abandonné. «Titi» me disait : «Regarde, plus personne ne me calcule. » Il était en pleine forme à l'entraînement, mais on ne le faisait pas jouer. Il a fini par rendre les armes. Domenech a également décidé tout seul de couper la tête de Gourcuff avant le match contre le Mexique. Je n'ai cessé de répéter à mes partenaires qu'il fallait continuer de bosser. Mais, à un moment, ce discours ne passe plus.


    Pourquoi ne pas avoir remis publiquement Domenech en cause ?

    Je ne fais pas reposer la responsabilité de l'échec sur l'entraîneur. J'explique seulement ce qui s'est passé. Que le coach soit bon ou mauvais, c'est aux joueurs de prendre en main leur destin. C'est tout le sens de la réunion que nous avions organisé entre nous à Tignes. Les joueurs, moi le premier, nous aurions dû donner plus. Les premiers responsables sont toujours sur le terrain. Cela a été mon message durant toute la compétition. Mais nos prestations n'ont pas été à la hauteur.


    Le désastre n'était-il pas prévisible, au regard de votre parcours en qualifications ?

    Je ne vivais pas dans l'illusion, mais dans la confiance des qualités des joueurs. Certains joueurs me disaient qu'on allait dans le mur, mais je voulais y croire. Même si, au fond de moi, je pensais que quelque chose n'allait pas après la défaite contre la Chine. Mais je tenais à la santé du groupe. Mon rôle était d'entretenir la flamme.


    Pourquoi n'avez-vous pas disputé le dernier match contre l'Afrique du Sud ?

    Domenech a estimé que je n'étais pas dans les dispositions psychiques de le jouer. Je me suis senti trahi. Jusqu'alors, je n'avais jamais eu de problème avec lui. Il m'a fait passer pour un capitaine qui refusait de prendre ses responsabilités. Ce match, j'avais pourtant envie de le gagner. Je pensais même qu'on pouvait se qualifier. Le coach m'a également empêché de participer à la conférence de presse d'avant-match. Mes coéquipiers m'avaient pourtant demandé d'y transmettre un message d'excuses auprès des Français.


    Espérez-vous retrouver les Bleus ?

    Je ne vois pas mon avenir sans l'équipe de France. C'est mon pays et j'y tiens. La Marseillaise me fait vibrer. J'ai toujours envie de mouiller le maillot bleu. Je considérais chaque nouvelle sélection comme une chance à saisir. La seule façon de rebondir, ce sont les résultats.


    Êtes-vous entré en contact avec Laurent Blanc ?

    Non. Je pense qu'il a d'autres choses à faire en ce moment que de parler de mon cas personnel…
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  6. 09/08/2010, 12h26 #56
    aichou
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    Domenech était une vraie catastrophe pendant le Mondial...
    On ne saura pas vraiment ce qui s'est passé, mais les joueurs étaient en piteux état psychologique pendant les matchs, donc ils sont aussi responsables de leur défaite.

    J'espère que Laurent Blanc va nous redonner de l'espoir.
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