Le Saint Coran, prose jamais églalée et source de miracles!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bonjour
Au moment où certaines personnes aux idées saugrenues, emmurées dans des tanières d'ignorance et dans des tours de mauvaise foi, se plaisent et se complaisent à s'attaquer vertement, sans raison de surcroit, au Saint Coran, je vous exhorte à lire ce trés beau texte, écrit avec une plume alerte et fleurie, sur la Prose Sacrée. Il est de Oumar Diagana, à Tunis.



Salut mes chers
En ce mois de Ramadan, je vous fais lire cet article que j'ai écrit sur le Coran et dédié à mes défunts pères. Il a été publié la semaine dernière dans le journal qui m'emploie, à savoir Tunis Hebdo que vous trouverez en ligne à l'adresse suivante: tunishebdo@tunishebdo.com.tn
Il suffit d'inscrire mon nom et le titre de l'article dans la partie: rechercher un article, au cas où vous trouverez un pépin. Bien des choses à tous


Le Coran, cette inimitable prose !
S’il est un livre qui aura traversé l’histoire, de long en large, sans subir la moindre contamination, ni même tomber en désuétude, c’est bien le Saint Coran. Révélé quelque six cents ans après l’Evangile, le Coran, dernier-né des livres saints, demeure le soubassement de la foi de tout musulman sincère, qu’il soit sunnite, chiite ou kharijite.
En lisant le Coran, on est tout de suite séduit par ce style limpide et charmeur, cette symphonie de rythmes et de rimes qui nous embarquent au bord de l’extase. On y relève à tire-larigot des changements brusques mais aussi des parenthèses qui frisent la digression, des rappels incessants comme pour éviter la narration superfétatoire. Et tout cela, habilement distillé dans une prose poétique inégalée.

Constitué de 114 sourates et de 6219 versets, le Coran, à la différence de la Thora (Pentateuque) et de l’Evangile, apparaît comme un défi lancé au vulgum pecus. Le verset 88 de la sourate 17 est à ce propos révélateur : «Si les hommes et les dijins s’unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne produiraient rien qui Lui ressemble, même s’ils s’aidaient mutuellement».

Le galimatias des détracteurs
Jamais dans l’histoire du monothéisme, Livre Saint n’aura été l’objet de tant de vénération, de dévotion, mais aussi de critiques acerbes de la part de ses détracteurs les plus invétérés. On se rappelle les diatribes tristement célèbres de Salman Rushdi, Taslima Nasreen, Oriana Fallari et autres et les réactions extrêmement virulentes qu’elles avaient suscitées de par le monde musulman.
Le Coran qui recommande à tout musulman de croire à l’Ecriture antérieure à Lui (S 4, V 136) reprend de nombreuses données de la Bible hébraïque et des Evangiles, étant donné qu’il cite très fréquemment la Thora de Moïse, le Psautier (Zabour) de David et l’Evangile de Jésus.
En confrontant Bible et Coran, on ne peut d’ailleurs rester indifférent à la bonne parole, empreinte de miséricorde, qu’ils prêchent tous les deux. Quand bien même certains récits se ressembleraient à s’y méprendre (Exode de Moïse, la Genèse , le récit du Déluge, Sodome et Gomorrhe…), on y rencontre, en examinant de près, des versions souvent largement antagonistes. Un musulman s’égarerait vite dans Ezéchiel 23, le Deutéronome ou dans quelque apocryphe comme les Hypotyposes …
Aussi, les prophètes Noé, Abraham, Moïse, Jésus, Mohamed occupent dans le Coran un rang particulier. La naissance parthénogénétique du Christ est d’ailleurs considérée, tant par la Bible que par le Coran, comme un phénomène biologique exceptionnel.
Par ailleurs, certains détracteurs, quand ils prennent conscience de la beauté du texte coranique, essayent de l’attribuer à Mohamed tout en l’accusant d’avoir plagié ou de s’être inspiré de la Bible.
Il est difficile, pour qui connaît l’histoire des religions, de soutenir pareils amphigouris. Du vivant même de Mohamed, les fidèles se contentèrent de psalmodier certains versets sans qu’aucune explication ou interprétation véritable ne vienne s’y greffer. C’est que pour interpréter le Coran, il ne suffit pas seulement de posséder un bagage linguistique consistant, le caractère alambiqué et sibyllin de certains passages incite la mobilisation de tout un arsenal de connaissances pluridisciplinaires.

Coran et science, une dualité harmonieuse
Aujourd’hui, les avancées réalisées grâce à l’évolution de la science et de la technologie dans la compréhension de certains passages, jusqu’alors incompris ou mal interprétés, constituent, si l’on ose dire, le faîte de la confirmation de cette science coranique.
En scrutant le texte coranique sous divers angles, la multitude des phénomènes évoqués et la cohérence dans la narration troublent plus d’un néophyte. Plus qu’une encyclopédie, on y trouve de la géographie, la chimie, le droit … et jusqu’aux règles de conduite les plus élémentaires.
Attribuer donc la paternité du Coran à Mohamed, c’est prendre des vessies pour des lanternes, d’autant qu’il est humainement inconcevable qu’un bédouin, à cette époque-là, puisse détenir des connaissances rigoureusement conformes à celles que la science n’ a découvertes que récemment.
Comment aurait-il pu décrire l’évolution de l’embryon dans l’utérus et la théorie de la tectonique des plaques, avec autant de finesse, treize siècles avant que l’embryologie et la géodynamique interne n’en fassent démonstration ?
En vérité, un tel chef-d’œuvre ne pouvait être que d’origine divine. Tout lecteur attentif, sans avoir besoin d’être un foudre d’intelligence, trouvera dans le Coran, la parole infaillible de Dieu.
Par ailleurs, et cela peu de gens le savent, le Coran, au cours des vingt-trois années de sa révélation fragmentaire, n’a pas toujours été tendre à l’égard de Mohamed. Comme pour lui signifier qu’il n’était pas au-dessus de la Loi , le prophète de l’Islam recevait aussi des révélations sous forme de reproches (sourate 80 versets 1-11 ; S 66, V1-3).

Hommage des géants de la littérature
Aussi étonnant que cela puisse paraître, des géants de la littérature à l’instar de Goethe et Lamartine, fussent-ils non musulmans, n’ont pas tari d’éloges vis-à-vis du Coran qu’ils considèrent comme un miracle. Des travaux scientifiques et mathématiques, menés par des auteurs qui n’étaient aussurément pas du genre à bayer aux corneilles, en l’occurrence, Didat, Garaudy, Bucaille, Tall, Gabteni, Hamidulah … ont démontré que l’ossature du Coran est constituée autour d’un chiffre anodin : le 19.
La «Basmalah» accrochée comme un sceau au début de chaque sourate, excepté la neuvième, compte 19 lettres. Dans le Coran, Dieu est cité 2698 fois, Clément 57 fois, Miséricordieux 114 fois.
Tous ces chiffres sont des multiples de 19. Et les exemples continuent.
Pourtant un curieux verset coranique (S 74, V 30) que l’on traduit par «dix-neuf sont chargés d’y veiller» avait longtemps porté à équivoque.
Autre curiosité et non des moindres, les mots «mois» et «jour» au singulier interviennent respectivement dans le Coran 12 et 365 fois.
Comment expliquer ces ajustements méticuleux ? Au lieu d’être inondé d’humilité devant pareille merveille, c’est d’outrecuidance que l’homme se gonfle, croyant par sa science et sa technique devenu, selon l’aphorisme cartésien «maître et possesseur de la nature».
In fine, comment trouver l’attribut qui seye à un Livre qui use lui-même d’une kyrielle de substantifs pour se désigner ?
Citons Al Kitab, Al Fourqan, Al Bourhane, Al Dhikr, Attanzil, Al Bouchra, Al Houda, Al Kalam, Al Qawl …
Quatorze siècles après sa révélation, ce Coran sublime, élégamment sculpté par la gouge divine, continuera ad vitam aeternam de nous défier et de nous émerveiller.
Cet article est dédié à la mémoire de nos défunts pères Bocar Baba et Tidiane Baba Diagana.
Oumar DIAGANA - Tunis

[sourakamousso]

Machallah, Cheikhna pour ce texte.

Qu' Allah nous guide sur le droit chemin.

[maryama]

Ah oui Machallah ce texte.... pour m;oi en tt cas j en apprend chaque jour Merci Cheikhna

[coum coum]

salam cheikhna
merci pour se texte qu allah nous guide dans le droit chemin et qu il accepte nos priere et qu il pardon toutes nos fautes faite ici bas
merci cheikhna

[Diana Soumaré]

salam!

merci pour ce texte Cheikhna
qu'Allah nous guident dans le droit chemin InchAllah

Amine

[Hadiya WAGUE]

Merci Cheikhna de nous avoir permis de lire ce lumineux et véridique article de Oumar Diagana.

[Fodyé Cissé]

(...)

Hommage des géants de la littérature
Aussi étonnant que cela puisse paraître, des géants de la littérature à l’instar de Goethe et Lamartine, fussent-ils non musulmans, n’ont pas tari d’éloges vis-à-vis du Coran qu’ils considèrent comme un miracle. Des travaux scientifiques et mathématiques, menés par des auteurs qui n’étaient aussurément pas du genre à bayer aux corneilles, en l’occurrence, Didat, Garaudy, Bucaille, Tall, Gabteni, Hamidulah … ont démontré que l’ossature du Coran est constituée autour d’un chiffre anodin : le 19.
La «Basmalah» accrochée comme un sceau au début de chaque sourate, excepté la neuvième, compte 19 lettres. Dans le Coran, Dieu est cité 2698 fois, Clément 57 fois, Miséricordieux 114 fois.
Tous ces chiffres sont des multiples de 19. Et les exemples continuent.
Pourtant un curieux verset coranique (S 74, V 30) que l’on traduit par «dix-neuf sont chargés d’y veiller» avait longtemps porté à équivoque.
Autre curiosité et non des moindres, les mots «mois» et «jour» au singulier interviennent respectivement dans le Coran 12 et 365 fois.
Comment expliquer ces ajustements méticuleux ? Au lieu d’être inondé d’humilité devant pareille merveille, c’est d’outrecuidance que l’homme se gonfle, croyant par sa science et sa technique devenu, selon l’aphorisme cartésien «maître et possesseur de la nature».
In fine, comment trouver l’attribut qui seye à un Livre qui use lui-même d’une kyrielle de substantifs pour se désigner ?
Citons Al Kitab, Al Fourqan, Al Bourhane, Al Dhikr, Attanzil, Al Bouchra, Al Houda, Al Kalam, Al Qawl …
Quatorze siècles après sa révélation, ce Coran sublime, élégamment sculpté par la gouge divine, continuera ad vitam aeternam de nous défier et de nous émerveiller.
Cet article est dédié à la mémoire de nos défunts pères Bocar Baba et Tidiane Baba Diagana.
Oumar DIAGANA - Tunis

A propos de la théorie sur le chiffre 19 qui est un nombre premier, je vous invite à lire l'excellent livre de Ahmet Deedat qui est presque entièrement consacré à cette démonstration. C'est un livre qui est actuellement en rupture de stock Moi-même, je l'avais lu par le biais d'un ami et je cherche toujours à m'en acheter. Donc, si vous trouvez un libraire qui le vend, faites-moi signe.

http://www.iqrashop.com/product_info...roducts_id=167

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bonjour Fodyé!

Je n'ai jamais vu cet ouvrage, mais j'ai eu vent de son existence. Je me renseignerai auprés des librairies arabes que je fréquente souvent. On se tient au courant. Bien à toi.

[abdoul gandega]

Salam WAGUE

Je n'ai jamais vu cet ouvrage, mais j'ai eu vent de son existence. Je me renseignerai auprés des librairies arabes que je fréquente souvent. On se tient au courant. Bien à toi.

moi aussi, ce livre m'interesse meme si vous trouvez des dvd de Ahmed deedat concernant les debats; fait moi signe.
Merci d'avance.
wa salam

[fama]

merci a toi cheikhna mouhamed wague k'allah t'accorde une place au paradis inchaallah car tu nous en apprend tous les jour sur la religion et dieu seul sais le bien que sa nous apporte