Salam et bonjour.

Le costus est une autre plante importante et bénéfique bienfait D'Allah Ta'ala.




Les miracles de la Sunna prophétique
dans la curation par le Costus maritime



Par le Dr. Mohamed Nizar Ed-dakar


Selon Anas, qu'Allah soit satisfait de lui, le Prophète Mohamed (saw) a dit: "Ne torturez pas vos enfants avec El-Ghamz et ayez recours au costus". Rapporté par El-Boukhari. Et d'après Djâber, qu'Allah soit satisfait de lui, le Prophète Mohamed (saw) a dit: "N'importe quelle femme dont l'enfant souffre de Oudhra ou d'un mal de tête, n'a qu'à prendre un costus, le gratter avec de l'eau puis le lui fait priser". Raconté par Ahmed et As'hâb El-Sounane.

Et, selon Abdou Allah Ibn Abbas, qu'Allah soit satisfait de lui, le Messager de Dieu (saw) a dit: "Le prophète qu'Allah le bénisse et le salue a saigné et s'est instillé". (Rapporté par El-Boukhari et Mouslem. (La traduction du Hadith)

Aussi, selon Ibn Abbas, le Prophète (saw) a dit: "Certes, le mieux est que vous vous remédiez avec Al-Sou'oût". ( Al-Sou'oût: aspirer par le nez). Raconté par El-Thermidi.

De même, ont raconté El-Cheikhanes de Djabêr (ra) que le Prophète Mohamed (saw) s'est présenté chez A'aîcha (ra), qui recevait un gosse souffrant d'un écoulement nasal. Le Prophète (saw) a dit: "Qu'est ce que c'est ?". Alors, A'aîcha répondît: "C'est El-Oudhra". Le Prophète (saw) dit: "Malheur à vous! Ne donnez pas la mort à vos enfants. N'importe quelle femme dont l'enfant souffre d'El-Oudhra ou d'un mal de tête, n'a qu'à prendre un costus indien, le gratter puis, le lui fait priser". Ainsi, A'aîcha (ra) a exécuté et l'enfant a guéri.

De même, dans un autre récit rapporté par El-Boukhari, selon Oum Kaîs Mohssine qui raconte d'avoir entendu le Messager d'Allah (saw) dire: "Ayez recours à cet aloès indien, car il contient sept remèdes : en instillation contre El-Oudhra et guérissant la pleurésie". (L'aloès indien: El-Oud El-Hindi).
(La pleurésie: l'inflammation de la plèvre avec ou sans présence de liquide. La plèvre se divise en deux feuillets l'un qui recouvre les poumons et l'autre les sépare de la cavité thoracique. En cas de présence de liquide, ce dernier est situé entre les deux feuillets décrits). (Il veut dire par aloès indien: El-Kist).

Dans cette optique, Ibn Hidjr a dit dans le livre Fat'h El-Bâri: Al-Sou'oût est ce qui est instillé dans le nez pour se soigner. Dans son propos : "Ista'îît" (en français: priser ou bien instiller) veut dire, utilise Al-Sou'oût. Autrement dit, le malade s'allonge sur son dos et décline sa tête vers l'arrière. On lui instille dans le nez des gouttes d'eau ou d'huile contenant un antidote pour extraire ce qu'il y'a comme mal dans le pharynx par l'éternuement. El-Oudhra quant à elle, est l'atteinte du rhinopharynx : écoulement nasal, douleur de la gorge qui est rouge, inflammée et pouvant même saigner. L'ensemble des gens l'appelle "Banê't El-Oudhoun".

En médecine, cette interprétation correspond aux différentes maladies de la gorge qui s'accompagnent d'une congestion sanguine, qu'il s'agit d'une angine ou d'une pharyngite. A vrai dire, les femmes de la Médina ainsi que nos femmes d'aujourd'hui, traitaient El-Oudhra en se servant des doigts pour gratter la gorge, et d'un filé de haillon qu'elles font pénétrer dans le nez du malade et avec lequel elles transpercent le pharynx inflammé qui par la suite, éclate de sang.

Parmi les indications du Prophète (saw) dans cet usage, il a mis l'accent sur la nécessité d'éviter ce genre d'erreur dans certains traitements populaires qui ne s'appuient pas sur des bases scientifiques. Il a interdit aux femmes de faire recours à cette traumatique curation souvent nocive, en leur offrant un traitement idéal entrant dans ce cas; l'utilisation du costus. Dans son hadith: "….et youlad de la pleurésie" qui veut dire: donner à boire au malade à travers l'une des deux extrémités de la bouche. Car, c'est un procédé que nous montre le Messager d' pour faire parvenir le médicament au souffrant quand il ne peut pas s'asseoir ou, ne peut prendre seul son médicament et ou, lorsqu'il souffre d'une douleur atroce.

De même, il a été mentionné d'après Ibn Abbas que le Prophète a dit:" Le mieux est que vous vous soignez avec El-Loudoud, Al-Sou'oût, El-Hijama et la marche". Rapporté par El-Thérmidi.
NB: El-Hijama: En anglais la "cupping therapy", et en français, la "ventouse" qui veut dire en médecine: petit récipient de verre dont l'orifice est moins large que le fond et qui produit une aspiration du sang à la surface de la peau, grâce au vide créé dans son enceinte par la combustion d'un morceau de coton.

A propos d'El-Loudoud, il s'agit de donner à boire à une personne par l'une des extrémités de la bouche.

En outre, Zeid Ibn Arkam a raconté que Le Prophète a dit: "Soignez-vous de la pleurésie avec le costus maritime et l'huile". Rapporté par El-Thérmidi.

Allant dans ce sens, El-Mouaffak El-Baghdadi souligne dans son Livre "La médecine du Livre et de la Sunna " que la pleurésie inclut deux catégories : l'une dite vraie est un enflement aigu au niveau de la membrane qui tapisse ou recouvre les organes. L'autre dite non vraie; il s'agit d'une congestion ou d'importants gaz localisés entre les péritoines.
Abd El-Moûthi El-Kaâladji dit en commentant: ces signes correspondent à l'inflammation de la plèvre qui s'accompagne d'une douleur aigue et intense, accentuée par la respiration profonde ou la toux. On note également une toux sèche, une hyperthermie et une asthénie générale. Parfois, il y'a présence de liquide au niveau de la plèvre. A son tour, Le Dr. Mohamed En-Nassimi considère que la pleurésie évoquée dans les Hadiths est la douleur pleurale causée par le froid ou le rhumatisme.

Or, Mr. El-Kahhal Ibn Terkhane a déjà signalé une méthode pour traiter la douleur pleurale avec du costus: donc, il est utilisé finement moulu et mixé avec de l'huile chaud sans qu'il (l'huile) soit bouilli ou frit. Et avec lequel faut-il masser les endroits douloureux, ou le laper.
A ce titre, Ibn El-Kayîm a confirmé ce qui a été avancé par El-Kahhal Ibn Therkhane. Il a souligné que : "La curation indiquée dans le Hadith pour un mal provenu d'importants gaz, le costus en serait le remède conforme, bénéfique et tonifiant pour les organes internes".
Concernant le Hadith du Prophète Mohamed "…Car, il contient sept remèdes", El-Boukhari a dit, le narrateur a dit d'avoir entendu El-Zehri dire: il nous a élucidé deux uniquement sans les cinq. Alors que Ibn Hadjar a dit: ce qui a été dit à propos des sept remèdes, a été résumé en deux. Soit qu'il (le prophète) a cité les sept à la fois, alors que le narrateur les a résumés. Soit, il a mentionné seulement les deux remèdes sus cités, vu que les maladies correspondant existaient déjà à l'exclusion des autres.
Par ailleurs, parmi les bienfaits du costus rappelés par les médecins, cette plante à caractère curatif, active l'écoulement du sang menstruel et l'émission des urines, vermifuge (détruit les vers intestinaux), agit comme un antidote pour le poison, stimule la libido et fait disparaître les taches de rousseur etc.

D'après Anas le Prophète a dit: "Certes, les modèles avec lesquels vous vous traitez sont El-Hidjama et le costus maritime".
Rapporté par El-Boukhari et Mouslim dans leurs Sahih.
De même, dans son explication du hadith précédent, El-Mouaffak El-Baghdad a dit: "Si le Prophète a associé El-Hijama et le costus, c'est parce qu'il y'a un secret remarquable. En fait, les deux consistent en leur l'efficacité dans l'élimination des cicatrices causées par la scarification. (La traduction)
Il ajoute que " le prophète, qu'Allah le bénisse et le salue, considère le costus comme modèle à être utilisé en tant que traitement médical, vu ses nombreux bénéfices. Ainsi, cette plante est avantageuse pour l'hémiplégie (paralysie de la moitié du corps) et le poison du serpent. Elle guérit le rhume par l'inclination sur sa vapeur pour la sentir. Alors que son onction semble efficace pour les douleurs du dos".

Ibn Hidjr quant à lui, a laissé supposer que les sept méthodes suivies pour se traiter (en parlant des sept maladies citées par le prophète dans son hadith) sont: en étalement, en faisant boire, une appliquant une compresse, en instillation, en vaporisation, En Sou'oût et ou en La'doud. De ce fait, il explique que l'étalement se fait avec du costus mélangé dans du miel, de l'eau ou dans autre matière. Pour procéder à l'instillation et Al-sou'oû, il suffit de concasser le costus dans de l'huile et l'instiller dans le nez. Ibn Hidjr conclut en soulignant que sous chacun des sept modes d'utilisation émergent des bénéfices pour de différentes maladies. Donc, il ne faut pas s'étonner quand ça provient d'un révélateur qui a rassemblé tous les propos.

En résumant ce qui a été expliqué par les exégètes du Hadith, le costus décrit dans la Sunna est une plante vivant en Inde, et particulièrement en Cachemire et en Chine. Les commerçants arabes l'importaient à l'île arabe via la mer, d'où dérive son nom : Costus maritime. Il s'appelait aussi le costus indien. Et, sont utilisées les écorces de ses racines qui sont blanches ou noires.
Il en va de même que le costus maritime peut être appelé le "blanc". Alors que le "noir" est un nom destiné au costus indien, comme il a été indiqué dans la Sunna prophétique sous la nomination d'aloès indien. Bien que ceux-ci portent le même nom, mais en fait, il ne s'agit pas d'aloès indien qui s'utilise dans l'encensement. Ce sont deux plantes différentes.

Quant à Ibn-Alkayim, il a indiqué l'existence de deux types de costus: celui qui est blanc et flexible est le costus maritime, tandis que le costus indien est noir et plus chaud. Les bienfaits des deux sont nombreux : ils assèchent la pituite et agissent contre le rhume. Leur infusion extraite est bénéfique pour les poisons, l'insuffisance hépatique et la gastrite. Elle (l'infusion) arrête aussi la douleur de la pleurésie. Et pour enlever les taches de rousseur, il est mentionné de se servir de leur électuaire, mélangé dans l'eau et dans du miel.

Le Dr Ahmed Er-rachîdi a mentionné que le costus a, pas moins de 15 genres dont l'authentique est le Costus speciosus qui vit en inde. Parmi les différents types de ce dernier est le costus arabe (C. Arabicus).
Il a rappelé aussi que Avicenne (Abou Ali Al-Houssein Ibn Abdoullah Ibn Sina) a rapporté de Discorides (savant grec) que le costus englobe trois types; le premier est le costus arabe ou maritime. Le second est le costus indien, il est noir, léger, dur et moins aromatique. Quant au dernier, il est lourd ressemblant au bois de buis. Son odeur est embaumée; il s'agit du Costus El-Chami.

En sus, il rapporte du Dr. Miret son propos dans lequel il dit que si on tient compte des discours des auteurs, on attribue la racine s'appelant actuellement chez nous, le costus arabe étant blanc, fongueux et aquatique, et ayant un goût onctueux un peu proche de l'odeur du gingembre au Costus El-djamil (C. Speciosus). Et cela, convient également à ce qui est nommé le Costus sucré (C. Duleis).



L'importance d'El-kist "le costus" dans la médecine moderne


Dans sa rubrique scientifique de 1999, la revue "Time" a indiqué que le costus est une plante poussant arbitrairement et sans culture dans la région de l'Himalaya qui comporte le sommet le plus élevé au monde, celui d'Everest.

Par ailleurs, le costus est considéré comme le plus important pilier de la médecine traditionnelle du Tibet où les clergés ne la faisaient connaître qu'à leurs congénères, pour qu'elle demeure un secret entre eux-mêmes. Jusqu'à ce que vienne leur dernier leader Dalaye Lama qui établira par la suite, la faculté de médecine Tibétaine dans le but d'apprendre ce savoir à quiconque et de le préserver contre toute disparition. En fait, les clergés ont commencé à préserver ce savoir médical sous forme de mixtures pour la société suisse Padma. Et parmi lesquelles, la mixture N°28 qui contient des extraits de la plante du costus, et dont l'action est la lyse du thrombus formé (c'est un caillot de sang qui se forme dans les vaisseaux sanguins, artère ou veine) au niveau de la jambe. Etant donné qu'il n'y a pas un remède efficace pour la Thrombose dans la médecine moderne, sauf qu'on demande au patient de garder sa jambe immobile pendant des semaines jusqu'à ce que le clapet se détruit lentement, tout en évitant également le passage du thrombus dans la circulation sanguine et par conséquent, sa migration vers d'autres vaisseaux sanguins.

Par surcroît, le dictionnaire "des noms de plantes" cite deux formes de costus : le costus d'aloès indien et le costus amer maritime de la famille des Zingibéracées.

Alors que le livre"des références cataloguées des origines des espèces botaniques" dénombre parmi les plusieurs types du costus :

* Le costus arabe :utilisé en Europe dans le traitement des maladies du foie.

* Le costus touffu "Mouhaddeb" :répandu au Venezuela. Il est utilisé en matière de soigner la syphilis.

* Le costus cylindrique "El-Oustouani":En Amérique Centrale. Il est utilisé pour le traitement de certaines maladies vénériennes. Et il contribue encore à la purification du sang.

* Le costus El-Zehhad :Se trouvant au Paraguay, ce genre de costus entre dans le traitement de la fécondité.

* Le costus soyeux "El-Hariri": Utile pour le traitement de la furonculose et des frissements, le costus soyeux se trouve dans les îles Carolines en océan pacifique.

* Le costus spécifique "En-Naouyî" :Répandu en Europe, dans les îles Hawaii, en Inde et au Java et au Melayu. Il est utilisé pour porter remède à plusieurs maladies notamment : la dartre, la constipation, l'impotence, l'asthme, les bronchites, le cancer de la bouche, le choléra, la toux, l'hydropisie, la dysenterie, la diététique, l'ophtalmie, la morsure du serpent, et d'autres.

* Le costus spinal "El-Chaouki" : Il est stimulant pour l'émission des urines ainsi que celle des gaz. Il est encore utilisé pour le traitement de la congestion et du rhumatisme, …. Ce type de costus pousse en Dominicaine.

* Le costus hélicoïdal "Lawlabi" :Il se trouve au Brésil et il et utilisé pour soigner les tumeurs.



Bienfaits médicaux


D'après le guide des sources internationales des plantes bénéfiques, le costus englobe plusieurs espèces où on affirme les bienfaits médicaux de trois types :

1- Le Costus Speciosus "El-Djamil": Il porte aussi le nom du costus arabe "Costus Arabicus". Il se répand ipso facto dans le Sud Est de l'Asie, dans les montagnes d'Himalaya, et de même aux Silène en Indochine, aux Philippines et au Taiwan. Il est cultivé en Inde et en Indonésie, alors que son avantage médical est de soigner les maladies pulmonaires, la toux et l'asthme. Contenant 24% de fécule dans sa composition, la tige de ce type de costus est comestible.

2- Le costus africain "Costus Afrri":Appelé par les Anglais Ginger lily, le costus africain est répandu en Afrique équatorial. Ses racines sont utilisées pour la réparation des pâtes à papier.

En ce qui concerne ses avantages médicaux, la poudre de sa tige est utilisée pour guérir la toux. De même que la teinture (essence extraite) de ses racines est prise en tant qu'ingrédient dans une substance curative pour le traitement de l'insomnie.

Aussi, en mentionnant d'autres bénéfices du costus africain, ses feuilles bouillies sont utilement employées en forme de compresses pour soigner le rhumatisme. Tandis que ses racines bouillies également et utilisées d'une manière topique, sont efficaces pour guérir les ulcérations de la peau.

3- Le costus velu "Villiosissimus" :Parmi ses nominations, le Costus Spetimus. Il pousse abondamment en Colombie et en Amérique équatorial, notamment au Pérou et au Guyana. Médicalement, il est utilisé pour le traitement des bronchites, surtout la gastro-entérite, et le typhus.

Dans le livre "Les plantes utiles à l'Ouest de l'Afrique", J. Daliziel a seulement évoqué le costus africain tout en confirmant alors ses bénéfices en tant que remède pour la toux. Car, pour ce faire, il est utile soit de prendre l'infusion bouillie de sa tige ou de ses racines, soit d'utiliser ses fruits moulus ou de mastiquer sa tige tendre. De même, ses feuilles bouillies pourraient être appliquées en tant que matière rougissante contribuant au traitement des douleurs rhumatismales.
En outre, l'auteur indique dans le livre ci-dessus, le caractère sacré de cette matière curative à laquelle croient les habitants du Sierra Leone, la Côte d'Or et d'autres.

D'autre part, le dictionnaire Webster définit l'huile du costus"Costus Oil" qui, d'un jaune clair, est extrait des racines aromatiques de la plante en question. Celle-ci est une herbe poussant au Cachemire (près de Tibet) et s'utilise pour l'entretient de la fourrure et la production des parfums.
Contrairement aux autres, l'ouvrage intitulé "Les fleurs du monde", répartit les costus en quatre genres et en 200 espèces. Ce sont des plantes équatoriales et monocotylédones similaires à la familles des Zingibéracées mais, dont les feuilles sont dépourvues de l'odeur aromatique de ces dernières.
Le costus en est le plus grand genre. Il contient 150 espèces dont le plus connu est le costus ardent (el-nari) brésilien qui porte des fleurs jaunes orangées sur des tiges feuillies. Quant à ses feuilles, elles sont rectangulaires et disposées d'une manière hélicoïdale. Sa culture nécessite un climat chaud, une terre riche, une bonne irrigation et une protection contre les rayons solaires.

De son côté, le costus magique pousse de l'Est d'Afrique jusqu'à l'Ouest tout en formant des brassées de roses qui s'agglutinent à la terre. Ses feuilles denses contiennent au centre des fleurs jaunes ou orangées sans tiges.

En sus, le livre" les fleurs pour le monde", fait état de 150 espèces de costus qui se distinguent des Zingibéracées par la persévérance de leurs bordures et l'affleurement de l'étamine. Le costus magique est le plus important de ces espèces. Il s'agit en fait d'une plante poussant dans les lieux rocheux et bucoliques, couverts d'arbres disséminés. Il s'étend du Sénégal et au large du rivage Ouest de l'Afrique jusqu'à l'Afrique équatorial et Angola. Il se compose d'une bande de roses de 4 à 6 feuilles circulaires. .

Souvent, ses feuilles se colorent d'un rouge pourpre. Elles s'affalent sur terre, alors que ses bordures sont pileuses. De leur côté, les fleurs étant sans tige à une couleur orangée éclatante de la couronne de la bande de roses, apparaissent au même temps que les feuilles. Cela est suivi par l'apparition des fruits qui ont des couvertures tégumentaires. Il faut noter que les bandes de roses que comprend le costus magique sont différentes de celles de toutes les autres espèces.

Enfin, le Dr Dâfer El-Attâr considère que le Costus Speciosus et le Costus spécifique sont pareils, d'autant plus qu'ils ont le même nom latin.
En conclusion, on incite nos savants et nos médecins chercheurs à étudier cette plante pour connaître ses spécificités et ses diversités médicinales destinées au traitement de différentes maladies et ce, au moment où n'existent pas des recherches modernes découvrant ses secrets en tant que matière curative dépourvue de toute supposition et, avec laquelle nous a appelés de se soigner notre Prophète Mohamed


Sources

http://www.55a.net/firas/french/?page=show&select_page=61

•D'après le livre de "La médecine prophétique et la science moderne" du Dr.Nadhmi En-Nassimi
•En précision de l'ouvrage de "La médecine du Livre et de la Sunna" de Mouaffak El-Baghdadi
•En précision du livre de Mouaffak El-Baghdadi. Ci-dessus.
•D'après le livre "Les prescriptions prophétiques dans la fabrication médicale".
•D'après le livre de "La médecine prophétique".
•Le dictionnaire international "Webster". Edition N°3, 1981.