Le rêve est permis mais je crois que c'est de l'utopie. Nous avons de l'argent, du savoir , du courage et une certaine fraternité. C'est vrai qu'au début (Wagadou) nous étions un et indivisible mais c'est fini ces temps toute façon en un pays soninké ou pas si nous parvenons à harmoniser nos modes vies je crois que c'est l'essenteil.Pour cela , pas de discriminations? Le gajanganké prendra pour femme une hayranké, le guidimaxanké une kartanké, le diafounounké une une xaniangangué ... mais hé c'est trop dur dé ? les peres refusent de faire voyager leur fille meme si en france c'est moins visible.Au bled c'est tres rare.
Sinon les guidimaxanko doivent portet desormais des patalons et abandonner les wounatakhoros ( thiayas) et prendre le soninké originel de gajaga et les hayrankos, dioafounoukos , karatangos, xaniangankos doivent faire autant pour changer leur soninké. Lol je m'amuse c'est le soninké parlé qui nous permet de distinguer nos origines. J'en rigole beaucoup mais c'est efficace pour distinguer les contrées.N'est ce pas avec des mots tèl << Akhaji ya de guidimakha>> , Hani pour dire oui chez les gambiens, et l'accent malien du soninké.Hé hayré qui mélange le soninké avec le peul pour Lol Soninkara en force