Il y a une différence. Car chez les Dogon, il y a une initiation particulière que l’on ne trouve presque nulle part dans les autres groupes sociolinguistiques. La grande anthropologue française Germaine Dieterlen a beaucoup travaillé sur ces questions. Même à sa mort, les dogons ont fait une cérémonie à son honneur à la présence de sa petite fille. Cela m'étonnerait d'ailleurs que l’on ne parlera pas d'elle dans ce reportage, car elle a beaucoup contribué à sortir de l'anonymat les Dogons et leur culture, menacée aujourd'hui de disparition.
Non, les Dogons ne sont pas pareils que les Soninkés, Malinkés, Bambara, car ils sont recroquevillés jusqu'à une date récente entre les grottes et dans les fins fonds de la brousse. C'est une culture à part, d'où la ruée des touristes vers ce coin du Mali.
En effet, ils sont assez atypiques de part leur uses et coutumes mais aussi certaines de leurs croyances. Le reportage nous éclairera peut etre
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 06/01/2009 à 09h58