franchement je suis la choqué, mais c'est vraiment du n'importe quoi tout sa ou va t'on!!!!! au yeux de l'Etat Français les sans-papier sont des criminnelComme vous l'avez si bien dit sa ne fait que de commencer ce n'est que le début.....
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franchement je suis la choqué, mais c'est vraiment du n'importe quoi tout sa ou va t'on!!!!! au yeux de l'Etat Français les sans-papier sont des criminnelComme vous l'avez si bien dit sa ne fait que de commencer ce n'est que le début.....
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C'est inhumain, dégradant une vrai atteinte à la dignité.![]()
Comme vous le dites ça ne fait que commencer, soyons fort ce qui va se passer sera de plus en plus dur à croire.![]()
" Dieu Donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer,
le courage de changer celles que je peux changer
et la sagesse de distinguer les premières des secondes".
Allah gana o deema.
Franchement c'est un acte lâche de leur part
DJAMBERE KHOUMBA
dampi khuro na dossi y meeni
j'ai lu rapidement l'information ce matin dans le quotiden vingt minutes. Si les faits s'avèrent, la France ne merite plus son etiquette de la patrie des droits de l'Homme. C'est dommage pour un pays qui ne cesse de s'èriger en donneur de leçon. Ces dernièrs temps les policièrs ne mènagent aucun effort pour humilier les etrangers. Il ya une cascade de faits divers; meurtre, arrestation ect. Que Dieu nous en garde.
Rien ne vaut la confiance en soi.
A 68 ans, une Centrafricaine malade et sans papiers est menacée d'expulsion
Je vous assure, vous entendrez bientôt qu'on a expulsé des viellards mourants sur leurs lits d'hôpitaux, parce qu'ils n'ont pas de "papiers".
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Thérèse Kopia, une grand-mère centrafricaine de 68 ans, sans papiers et malade, comparaissait, jeudi 19 juillet, devant le tribunal de grande instance de Bobigny pour refus d'embarquer sur un vol en direction de Bangui (République centrafricaine). Réseaux de militants, associations de défense des étrangers et syndicats d'Air France étaient présents pour dénoncer ce qu'ils qualifient unanimement de "logique du chiffre en matière d'immigration".
"Cette affaire révèle l'inhumanité de la politique de notre pays envers les sans-papiers et la criminalisation qui est faite de ces derniers", a regretté, après l'audience, Mouloud Aounit, président du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP).
"INCOHÉRENT"
Avec une attestation d'accueil de trois mois établie par sa fille, Mme Kopia est arrivée en France en octobre 2003. Face à la dégradation de son état de santé, elle déposait, en 2004, une demande de titre de séjour auprès de la préfecture d'Eure- et-Loir, avançant comme motif son diabète et son asthme, dont les soins l'obligeaient à être suivie régulièrement par des médecins. Mais, sa demande était rejetée en mars 2007 par le préfet, justifiant sa décision par le fait que Mme Kopia pouvait être soignée en République centrafricaine et qu'elle ne saurait être régularisée à ce titre, ni à celui de ses attaches familiales.
"Incohérent ! a répondu Me Emmanuel Itouan, avocat de la prévenue, à l'audience. Madame Kopia a six filles en France, possédant toutes la nationalité, ou un titre de séjour, et 19 petits-enfants tous français. Sa vie est ici."
Le 19 juin, n'ayant pas respecté l'obligation de quitter la France dans un délai d'un mois, Mme Kopia a été arrêtée au domicile de sa fille, à Mainvilliers (Eure-et-Loir), alors qu'elle se trouvait dans son bain. Elle n'a pas même eu le temps de prendre ses médicaments avec elle, et a été placée en rétention au commissariat de Chartres.
Le lendemain de son arrestation, Thérèse Kopia a été emmenée à l'aéroport de Roissy pour être embarquée sur un vol à destination de la République centrafricaine. Mais devant la solidarité spontanée des passagers et son refus de quitter le territoire, Thérèse Kopia n'est pas partie et a été placée en garde à vue à Roissy le 20 juin. Lors de sa rétention, un médecin indiquait que son état de santé n'était compatible avec sa garde à vue que sous réserve de traitement médicamenteux. Une demande qui, selon les proches de la prévenue, ne sera pas suivie d'effets.
Relâchée le 22 juin, elle comparaît libre à son procès. A la barre, Mme Kopia a tenu à rappeler, par la voix de son interprète, que "retourner en Centrafrique, c'est aller à la mort. Mon avenir est auprès de mes enfants et de mes petits-enfants, tous installés en France". Le parquet a pourtant requis une peine de quatre mois d'emprisonnement avec sursis et une interdiction de résider sur le territoire français. Jugement le 6 septembre.
Le Monde.fr : A 68 ans, une Centrafricaine malade et sans papiers est menacée d'expulsion
Dernière modification par Fodyé Cissé 21/07/2007 à 12h06
Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !
http://www.waounde.com
Mais, on va vers où là! Je me souviens tu avais bien qu'on risque d'assister un jour au fait que l'on enlève des malades dans leurs lits d'hopitaux pour les expluser. Et voilà, c'est presque arrivé. C'est fou. Je n'en reviens pas.
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 21/07/2007 à 12h16
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
la vie et cruelle,pauvre dame.
moi je dirait ce plus la pression mis aux flics par leur tuteur en matiere de chiffrage.
comme mes dit mon pere(kalla ara narané sity)