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  • TOUBA KEUR- WELLE : Il arrache les slips des femmes et leur rase les poils pubiens

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Discussion: TOUBA KEUR- WELLE : Il arrache les slips des femmes et leur rase les poils pubiens

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  1. 08/06/2011, 09h10 #1
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    Par défaut TOUBA KEUR- WELLE : Il arrache les slips des femmes et leur rase les poils pubiens

    Terrible ! Ce qui arrive aux femmes des quartiers Keur Wéllé et Beug Bamba à Touba. Plusieurs d’entre elles se sont retrouvées les slips arrachés et les poils pubiens rasés, complètement. Certaines victimes supposent avoir été hypnotisées par leur bourreau, puisqu’elles disent l’avoir regarder faire durant tout le temps qu’il a déroulé son forfait. Le voleur, non encore violeur, ne s’empresserait guère. Il met à terre, tout doucettement, sa proie, la déshabille, tranquillement, sort avec minutie sa lame, découpe, soigneusement, le slip et rase, sans blesser, les poils pubiens. C’est ensuite qu’il ouvre une sacoche et y introduit « son butin ». Sur place, l’on soupçonne que l’homme veuille utiliser ces poils à des fins mystiques. Quoiqu’il en soit, la psychose est de taille dans ces localités de Touba. Soukèye Niang (sœur d’une victime), Ami. N. (une victime), Maïmouna Diouf (partage sa chambre avec une victime), Mame Samba Bakhoume (Grand-Père de deux victimes) et Mère Khady Dieng (mère d’une victime), qui ont choisi de se confier à L’Office, devant une immense foule, racontent leur calvaire. Témoignages.

    C’est une foule immense qui nous a accueilli, mercredi dernier, au quartier Keur Wéllé de Touba. Sur place, s’étaient donné rendez-vous quelques victimes de ce mystérieux homme et certains de leurs parents. Ils habitent, pour l’essentiel, cette localité de Touba, même si une bonne partie du groupe provient de Beug Bamba, un quartier voisin. Notre arrivée a été, pour eux, comme du baume au cœur. Ils expliquent :

    Soukèye Niang :

    Ma sœur a été rasée, il y a une semaine. Tout s’est passé dans sa chambre alors qu’elle dormait. Ce qui est bizarre dans tout cela, c’est qu’elle avait bien fermé à clef. Un homme s’est mis, subitement, devant elle, sans que celui-ci n’ai eu besoin de défoncer la porte. L’homme devrait être âgé d’une quarantaine d’années, selon elle. Ma sœur, en le voyant, a eu, terriblement, peur mais, malheureusement, elle était incapable de faire un geste. Autant dire qu’elle était hypnotisée. L’homme a sorti sa lame, a semblé prononcer des paroles et a découpé le slip qu’elle portait. Ma sœur continuait de le regarder faire. C’est ensuite qu’il a rasé ses poils avant de les introduire dans un petit sac .Nous avons peur, terriblement, peur. Au début, au quartier Beug Bamba, on parlait de vent mystérieux qui attaquerait les femmes. Mais, maintenant, on est, désormais sûr et certain qu’il s’agit d’un homme. Nous interpellons le Khalife Général des Mourides pour qu’il vienne au secours des populations de notre quartier.

    Maïmouna Diouf :

    « L’homme, en plus, de raser les filles, vole, aussi, les objets qu’il trouve dans les chambres de ses victimes. Oui, c’est bien un homme. Il est entré dans la maison, a allumé les lampes et puis s’est attaqué à la demoiselle. Je partage avec cette dernière la même chambre. Il a rasé ses poils après lui avoir ôté son slip. Je devais dormir, profondément. Le bandit est, ensuite, passé dans la chambre de la première épouse du père de famille. Cette dernière affirme avoir touché son corps nu mais le malfaiteur ne lui a rien fait de mal sinon lui voler les poils pubiens. Ma tante est restée inerte tout le temps que l’homme s’affairait autour d’elle. C’est après que celui-ci est parti qu’elle est revenue à elle-même. Aussitôt, elle a réveillé, toute la famille, pour raconter son calvaire. Ma voisine en a profité pour nous apprendre qu’elle, aussi, a reçu, la visite de cette mystérieuse personne ».

    Ami N. (une parmi la vingtaine de victimes) :

    « Tout s’est passé si vite. Je ne dormais pas. Je le regardais. Je crois même que je suis en mesure de l’identifier si je le revoyais. Il est entré dans ma chambre. Il portait des babouches de couleur blanche. Il murmurait des choses sans que je ne puisse, véritablement, comprendre ce qu’il disait. C’est peut-être des versets coraniques. Je ne sais pas. Il m’a touché par le front. Je me suis allongée et puis il m’a déshabillée. Je continuais de le regarder faire. Je ne pouvais point bouger, encore moins appeler à l’aide. Il a sorti sa lame, il a enlevé mon slip et m’a rasé le… Tout de suite, il est reparti. Non, il n’est pas monté sur moi. Je rends grâce à Dieu qu’il ne m’est rien fait de plus. Cela fait une semaine. Non, les poils n’ont pas commencé à repousser. Deux de mes amies ont subi le même sort. Elles habitent la maison d’à côté. C’est hier, seulement, qu’elles se sont décidées à en parler à leurs parents ».

    Mère Khady Dieng :

    « Ma fille est devenue invivable. Elle est terrorisée par ce qu’il lui est arrivé. Que personne ne nous parle d’esprit maléfique. C’est bien d’un homme qu’il s’agit. Ma fille l’a vu de ses propres yeux. Au début, je ne croyais pas ce qu’elle disait. C’est après que j’ai eu vent qu’au quartier Beug Bamba, une vingtaine de filles avaient vécu la même histoire. Ma fille est mariée à un émigré. J’imagine que ce qui lui est arrivé paresse incroyable pour elle. C’est pour cela, nous tenons, absolument, que les forces de l’ordre mettent la main sur le bandit ».

    Mame Samba Bakhoum :

    « Tout ce que les femmes ont raconté, jusqu’ici, c’est vrai. Après avoir agressé ma petite fille, elle a provoqué un incendie sur le balcon. C’est moi qui ai éteint le feu. Avant cela, il s’en est pris à deux de mes petites filles. J’en appelle à la responsabilité de tout un chacun. Il faut que nous prenions le problème à bras le corps. Il faut que les jeunes de ce quartier prennent les devants pour maîtriser ce malfaiteur. Que des comités de vielle et de défense soient créés. Si c’est un homme qui habite le quartier, qu’il soit dénoncé et puni. Nous ne pouvons plus vivre dans ces conditions. Nos filles sont terrorisées. Si j’ai accepté de parler à la presse, c’est parce que la situation est devenue insupportable. Voilà ! »

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  2. 08/06/2011, 09h11 #2
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    Terrible ! Ce qui arrive aux femmes des quartiers Keur Wéllé et Beug Bamba à Touba. Plusieurs d’entre elles se sont retrouvées les slips arrachés et les poils pubiens rasés, complètement. Certaines victimes supposent avoir été hypnotisées par leur bourreau, puisqu’elles disent l’avoir regarder faire durant tout le temps qu’il a déroulé son forfait. Le voleur, non encore violeur, ne s’empresserait guère. Il met à terre, tout doucettement, sa proie, la déshabille, tranquillement, sort avec minutie sa lame, découpe, soigneusement, le slip et rase, sans blesser, les poils pubiens. C’est ensuite qu’il ouvre une sacoche et y introduit « son butin ». Sur place, l’on soupçonne que l’homme veuille utiliser ces poils à des fins mystiques. Quoiqu’il en soit, la psychose est de taille dans ces localités de Touba. Soukèye Niang (sœur d’une victime), Ami. N. (une victime), Maïmouna Diouf (partage sa chambre avec une victime), Mame Samba Bakhoume (Grand-Père de deux victimes) et Mère Khady Dieng (mère d’une victime), qui ont choisi de se confier à L’Office, devant une immense foule, racontent leur calvaire. Témoignages.

    C’est une foule immense qui nous a accueilli, mercredi dernier, au quartier Keur Wéllé de Touba. Sur place, s’étaient donné rendez-vous quelques victimes de ce mystérieux homme et certains de leurs parents. Ils habitent, pour l’essentiel, cette localité de Touba, même si une bonne partie du groupe provient de Beug Bamba, un quartier voisin. Notre arrivée a été, pour eux, comme du baume au cœur. Ils expliquent :

    Soukèye Niang :

    Ma sœur a été rasée, il y a une semaine. Tout s’est passé dans sa chambre alors qu’elle dormait. Ce qui est bizarre dans tout cela, c’est qu’elle avait bien fermé à clef. Un homme s’est mis, subitement, devant elle, sans que celui-ci n’ai eu besoin de défoncer la porte. L’homme devrait être âgé d’une quarantaine d’années, selon elle. Ma sœur, en le voyant, a eu, terriblement, peur mais, malheureusement, elle était incapable de faire un geste. Autant dire qu’elle était hypnotisée. L’homme a sorti sa lame, a semblé prononcer des paroles et a découpé le slip qu’elle portait. Ma sœur continuait de le regarder faire. C’est ensuite qu’il a rasé ses poils avant de les introduire dans un petit sac .Nous avons peur, terriblement, peur. Au début, au quartier Beug Bamba, on parlait de vent mystérieux qui attaquerait les femmes. Mais, maintenant, on est, désormais sûr et certain qu’il s’agit d’un homme. Nous interpellons le Khalife Général des Mourides pour qu’il vienne au secours des populations de notre quartier.

    Maïmouna Diouf :

    « L’homme, en plus, de raser les filles, vole, aussi, les objets qu’il trouve dans les chambres de ses victimes. Oui, c’est bien un homme. Il est entré dans la maison, a allumé les lampes et puis s’est attaqué à la demoiselle. Je partage avec cette dernière la même chambre. Il a rasé ses poils après lui avoir ôté son slip. Je devais dormir, profondément. Le bandit est, ensuite, passé dans la chambre de la première épouse du père de famille. Cette dernière affirme avoir touché son corps nu mais le malfaiteur ne lui a rien fait de mal sinon lui voler les poils pubiens. Ma tante est restée inerte tout le temps que l’homme s’affairait autour d’elle. C’est après que celui-ci est parti qu’elle est revenue à elle-même. Aussitôt, elle a réveillé, toute la famille, pour raconter son calvaire. Ma voisine en a profité pour nous apprendre qu’elle, aussi, a reçu, la visite de cette mystérieuse personne ».

    Ami N. (une parmi la vingtaine de victimes) :

    « Tout s’est passé si vite. Je ne dormais pas. Je le regardais. Je crois même que je suis en mesure de l’identifier si je le revoyais. Il est entré dans ma chambre. Il portait des babouches de couleur blanche. Il murmurait des choses sans que je ne puisse, véritablement, comprendre ce qu’il disait. C’est peut-être des versets coraniques. Je ne sais pas. Il m’a touché par le front. Je me suis allongée et puis il m’a déshabillée. Je continuais de le regarder faire. Je ne pouvais point bouger, encore moins appeler à l’aide. Il a sorti sa lame, il a enlevé mon slip et m’a rasé le… Tout de suite, il est reparti. Non, il n’est pas monté sur moi. Je rends grâce à Dieu qu’il ne m’est rien fait de plus. Cela fait une semaine. Non, les poils n’ont pas commencé à repousser. Deux de mes amies ont subi le même sort. Elles habitent la maison d’à côté. C’est hier, seulement, qu’elles se sont décidées à en parler à leurs parents ».

    Mère Khady Dieng :

    « Ma fille est devenue invivable. Elle est terrorisée par ce qu’il lui est arrivé. Que personne ne nous parle d’esprit maléfique. C’est bien d’un homme qu’il s’agit. Ma fille l’a vu de ses propres yeux. Au début, je ne croyais pas ce qu’elle disait. C’est après que j’ai eu vent qu’au quartier Beug Bamba, une vingtaine de filles avaient vécu la même histoire. Ma fille est mariée à un émigré. J’imagine que ce qui lui est arrivé paresse incroyable pour elle. C’est pour cela, nous tenons, absolument, que les forces de l’ordre mettent la main sur le bandit ».

    Mame Samba Bakhoum :

    « Tout ce que les femmes ont raconté, jusqu’ici, c’est vrai. Après avoir agressé ma petite fille, elle a provoqué un incendie sur le balcon. C’est moi qui ai éteint le feu. Avant cela, il s’en est pris à deux de mes petites filles. J’en appelle à la responsabilité de tout un chacun. Il faut que nous prenions le problème à bras le corps. Il faut que les jeunes de ce quartier prennent les devants pour maîtriser ce malfaiteur. Que des comités de vielle et de défense soient créés. Si c’est un homme qui habite le quartier, qu’il soit dénoncé et puni. Nous ne pouvons plus vivre dans ces conditions. Nos filles sont terrorisées. Si j’ai accepté de parler à la presse, c’est parce que la situation est devenue insupportable. Voilà ! »
    Non, je ne sais pas si ce sont les journalistes qui inventent ou si l'afrique reste toujours mystérieuse.
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  3. 08/06/2011, 09h13 #3
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    Après avoir semé la terreur aux quartiers Keur Wéllé et Beug Bamba, voilà que le raseur de poils pubiens vient d’installer ses camps à Ndamatou où il a déshabillé 4 demoiselles, la nuit dernière. Avant cela, l’homme a égrené une dizaine de victimes à Madyana, Darou Ndiaye, Keur Bathie, Touba Forage, Guédé etc. Sa progression est fulgurante et son efficacité sans pareille. Des marabouts invitent la presse à prendre ce cauchemar avec philosophie, car l’acte pourrait ne pas être blâmable.


    « La raseur de poils pubiens est un homme élancé, aux dents blanches, une petite barbe bien arrangée, un teint noirâtre, porte des habits de couleur blanche et, visiblement, très propres, un turban de la même couleur, des babouches blanches. Il tient, par devers lui, un chapelet noir et se tourne, toujours, vers l’est, quand il effectue son forfait ». Ce portrait-robot, loin de suffire pour identifier le « raseur » est donné par une de ses dernières victimes. A la question : est-ce qu’il a essayé d’abuser de vous, sexuellement ? La réponse est « Non… absolument pas ! ». Que cherche cet homme mystérieux ?, notre interlocutrice de rétorquer « des poils de fille, bien sûr ». Jusque-là, mise à part Ami N. du quartier Keur Wellé, Aïda S. est la seconde victime, seulement, qui ait accepté de parler de sa mésaventure. Autant dire qu’elle est prête à jurer que l’homme n’est pas un faiseur de mal, et qu’au simple fait de le voir, « on serait tenté d’attester que c’est un homme de Dieu ». « Il donne l’air d’être un Saint, un érudit. Il est propre et sérieux », confie la demoiselle qui vit, actuellement, à Madyana. Sérieux ou pas, celui à qui les populations ont donné le sobriquet de « Coupati kat bi » vient d’installer ses camps à Ndamatou. En moins de 24 heures après avoir fait des victimes à Darou Ndiaye et à Keur Bathie, quatre nouvelles demoiselles ont été rasées, dans ce quartier populaire de Touba. « L’homme doit être un grand raseur. Il le fait, tellement, bien », lance le frère d’une des filles, qui verse des larmes, aussitôt que son frangin a laissé échapper ses mots railleurs. Le même scénario est déploré à Touba Forage, à Guédé, aux Santhiann etc. S’agit-il d’un seul homme ? La réponse la plus répandue semble dire que c’est le même individu qui circule à travers la cité religieuse. Les populations, inquiètes, demandent à la police de mener des enquêtes censées aboutir à la capture de l’homme.

    L’acte du raseur pourrait être salutaire

    Préférant garder l’anonymat, un chef religieux (qui est venu vers nous) signale que l’acte de cet individu pourrait ne pas être, à priori, condamnable. En effet, il base ses propos sur les vœux, encore violés, de Serigne Touba sur la nécessité pour les femmes, de s’habiller, décemment, en permanence, lorsqu’elles sont dans la cité religieuse. A l’en croire, malgré l’existence de structures censées mettre terme au port vestimentaire indécent, les réticences demeurent. « Et à Touba, ce que veut Serigne Touba, si les hommes ne le font pas, les Djinns s’en chargent, automatiquement », martèlera-t-il, comme pour insinuer qu’il peut s’agir, bien, d’un Djinn. La même idée est soutenue par un conférencier, qui, depuis, quelques jours, fait de ce sujet, son débat préféré.

    Mama Moustapha MBAYE (Correspondant)
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  4. 08/06/2011, 09h19 #4
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    Après avoir semé la terreur aux quartiers Keur Wéllé et Beug Bamba, voilà que le raseur de poils pubiens vient d’installer ses camps à Ndamatou où il a déshabillé 4 demoiselles, la nuit dernière. Avant cela, l’homme a égrené une dizaine de victimes à Madyana, Darou Ndiaye, Keur Bathie, Touba Forage, Guédé etc. Sa progression est fulgurante et son efficacité sans pareille. Des marabouts invitent la presse à prendre ce cauchemar avec philosophie, car l’acte pourrait ne pas être blâmable.


    « La raseur de poils pubiens est un homme élancé, aux dents blanches, une petite barbe bien arrangée, un teint noirâtre, porte des habits de couleur blanche et, visiblement, très propres, un turban de la même couleur, des babouches blanches. Il tient, par devers lui, un chapelet noir et se tourne, toujours, vers l’est, quand il effectue son forfait ». Ce portrait-robot, loin de suffire pour identifier le « raseur » est donné par une de ses dernières victimes. A la question : est-ce qu’il a essayé d’abuser de vous, sexuellement ? La réponse est « Non… absolument pas ! ». Que cherche cet homme mystérieux ?, notre interlocutrice de rétorquer « des poils de fille, bien sûr ». Jusque-là, mise à part Ami N. du quartier Keur Wellé, Aïda S. est la seconde victime, seulement, qui ait accepté de parler de sa mésaventure. Autant dire qu’elle est prête à jurer que l’homme n’est pas un faiseur de mal, et qu’au simple fait de le voir, « on serait tenté d’attester que c’est un homme de Dieu ». « Il donne l’air d’être un Saint, un érudit. Il est propre et sérieux », confie la demoiselle qui vit, actuellement, à Madyana. Sérieux ou pas, celui à qui les populations ont donné le sobriquet de « Coupati kat bi » vient d’installer ses camps à Ndamatou. En moins de 24 heures après avoir fait des victimes à Darou Ndiaye et à Keur Bathie, quatre nouvelles demoiselles ont été rasées, dans ce quartier populaire de Touba. « L’homme doit être un grand raseur. Il le fait, tellement, bien », lance le frère d’une des filles, qui verse des larmes, aussitôt que son frangin a laissé échapper ses mots railleurs. Le même scénario est déploré à Touba Forage, à Guédé, aux Santhiann etc. S’agit-il d’un seul homme ? La réponse la plus répandue semble dire que c’est le même individu qui circule à travers la cité religieuse. Les populations, inquiètes, demandent à la police de mener des enquêtes censées aboutir à la capture de l’homme.

    L’acte du raseur pourrait être salutaire

    Préférant garder l’anonymat, un chef religieux (qui est venu vers nous) signale que l’acte de cet individu pourrait ne pas être, à priori, condamnable. En effet, il base ses propos sur les vœux, encore violés, de Serigne Touba sur la nécessité pour les femmes, de s’habiller, décemment, en permanence, lorsqu’elles sont dans la cité religieuse. A l’en croire, malgré l’existence de structures censées mettre terme au port vestimentaire indécent, les réticences demeurent. « Et à Touba, ce que veut Serigne Touba, si les hommes ne le font pas, les Djinns s’en chargent, automatiquement », martèlera-t-il, comme pour insinuer qu’il peut s’agir, bien, d’un Djinn. La même idée est soutenue par un conférencier, qui, depuis, quelques jours, fait de ce sujet, son débat préféré.

    Mama Moustapha MBAYE (Correspondant)
    C'est exraordinaire le versement dans les raccourcis au sénégal. AU lieu de parler dans le vide, ce chef religieux pourra demander à son Djin ou ami coupeur de poils d'arrêter.

    Je vois pas ce qui a de salutaire de s'en prendre à des femmes d'autrui en dévoilant leur intimité.
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  5. 08/06/2011, 09h39 #5
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    LOL. Quand j'ai entendu cette histoire, j'étais mort de rire.
    Il est quand même très fort celui qui fait ça.
    Comment est-ce possible qu'elles ne s'en rendent presque pas compte ?
    Et puis, la grande question :
    - Qu'est-ce que toutes ces femmes là ont en commun ?
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  6. 08/06/2011, 11h30 #6
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    LOL. Quand j'ai entendu cette histoire, j'étais mort de rire.
    Il est quand même très fort celui qui fait ça.
    Comment est-ce possible qu'elles ne s'en rendent presque pas compte ?
    Et puis, la grande question :
    - Qu'est-ce que toutes ces femmes là ont en commun ?
    Salam

    Ba, les poils... C'est tout ce qui l'interesse...

    J'aimerai bien qu'il tombe sur une qui a déjà fait sa " Sunna " à moins qu'il ait des pouvoirs surnaturels pour savoir qui l'est et qui l'est pas.

    J'espère qu'il tombera pas sur un travesti ?

    Moi ce qui me turlupine c'est les objets utilusés ? J'ose pas imaginer qu'il fait sa sale besogne avec la même lame qu'à même.
    Laisse t-il les objets utilusés sur place ?
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  7. 08/06/2011, 11h39 #7
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    Salam

    Ba, les poils... C'est tout ce qui l'interesse...

    J'aimerai bien qu'il tombe sur une qui a déjà fait sa " Sunna " à moins qu'il ait des pouvoirs surnaturels pour savoir qui l'est et qui l'est pas.

    J'espère qu'il tombera pas sur un travesti ?

    Moi ce qui me turlupine c'est les objets utilusés ? J'ose pas imaginer qu'il fait sa sale besogne avec la même lame qu'à même.
    Laisse t-il les objets utilusés sur place ?
    Tout de suite, "les poils", sacré gaj !!!
    Si ça se trouve, c'est encore un gajaaganké qui fait ça.

    Blague à part, je veux dire par point commun :
    - une caractéristique qu'on a remarquée chez toutes ces femmes qui ont été les victimes de ce "coupati kat bi ".
    Est-ce parce qu'elles sont toutes sans enfant?
    Est-ce parce qu'elles ont toutes commis un même péché ?
    Est-ce parce qu'elles s'habillent toutes léger ?
    Est-ce parce qu'elles sont toutes femmes de ménage dans un hôtel de luxe Sofitel à New York ?
    Etc.... j'en sais rien moi, ce sont juste des questions, quoi ?
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  8. 08/06/2011, 12h47 #8
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    Citation Posté par makalou Voir le message

    Moi ce qui me turlupine c'est les objets utilusés ? J'ose pas imaginer qu'il fait sa sale besogne avec la même lame qu'à même.
    Laisse t-il les objets utilusés sur place ?
    On t'a dit que c'est un "marabout" non, peut être que c'est avec ses ongles ou bien son chapelet. Je n'en sais rien non plus. Wollaye billaye je ne crois pas un instant à cette histoire qui m'a fait trop marrer devant mon ordinateur. Vous savez il y un insecte que l'on appelle en soninké wurun siyaana (l'insecte qui rase la nuit). Peut-être que c'est cet insecte qui s'est transformé en raseur des poils cachés de ces femmes-là. En tout cas, cette histoire m'a fait dormir débout.
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  9. 08/06/2011, 13h10 #9
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    Citation Posté par Fodyé Cissé Voir le message
    Tout de suite, "les poils", sacré gaj !!!
    Si ça se trouve, c'est encore un gajaaganké qui fait ça.

    Blague à part, je veux dire par point commun :
    - une caractéristique qu'on a remarquée chez toutes ces femmes qui ont été les victimes de ce "coupati kat bi ".
    Est-ce parce qu'elles sont toutes sans enfant?
    Est-ce parce qu'elles ont toutes commis un même péché ?
    Est-ce parce qu'elles s'habillent toutes léger ?
    Est-ce parce qu'elles sont toutes femmes de ménage dans un hôtel de luxe Sofitel à New York ?
    Etc.... j'en sais rien moi, ce sont juste des questions, quoi ?
    Salam

    C'est le sésame... Fodyé, c'est peut -être un vieux Hayranké...Qui sait ?

    C'est extraordinaire. Eh ben, imaginez ce mec aux USA ... De quoi serait t-il poursuivi ?

    Il aura intérêt à avoir de l'argent pour sa caution ?
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  10. 08/06/2011, 13h15 #10
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    Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
    On t'a dit que c'est un "marabout" non, peut être que c'est avec ses ongles ou bien son chapelet. Je n'en sais rien non plus. Wollaye billaye je ne crois pas un instant à cette histoire qui m'a fait trop marrer devant mon ordinateur. Vous savez il y un insecte que l'on appelle en soninké wurun siyaana (l'insecte qui rase la nuit). Peut-être que c'est cet insecte qui s'est transformé en raseur des poils cachés de ces femmes-là. En tout cas, cette histoire m'a fait dormir débout.
    wurun siyaana : L'insecte va aussi s'habiller en blanc et va se déplacer de ville en ville.
    Le Wurun Siyaana rase les têtes... Il ne va pas si loin...
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