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Discussion: Mort De Oumar Bongo

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  1. 08/06/2009, 10h49 #11
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  2. 08/06/2009, 11h49 #12
    makalou
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    Par défaut La françafrique perd son doyen... Oumar !

    Depuis le décès de l’Ivoirien Félix Houphouët-Boigny, fin 1993, il avait repris vaillamment le flambeau d’une «Françafrique» en déclin. Doyen des chefs d’Etat sur le continent, le président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, est mort dimanche des suites d’un cancer aux intestins dans un hôpital de Barcelone. Il avait 73 ans, et en avait passé plus de quarante au pouvoir, sans coup d’Etat. Un record.
    Propulsé en 1967 à la tête du petit émirat pétrolier du Golfe de Guinée, ce petit homme aux lunettes noires aura connu et fréquenté pas moins de six présidents de la République française. Le dernier, qui avait promis la «rupture» avec des pratiques d’un autre temps et de ténébreux réseaux franco-africains, se rendit sans broncher à Libreville pour son premier voyage en terre africaine, en juillet 2007. Le soir de son élection, Nicolas Sarkozy avait d’ailleurs appelé un seul dirigeant étranger, avant même la fermeture des bureaux de vote, pour le remercier pour ses «conseils»: Omar Bongo.

    Ce dernier était loin d’être seulement un serviteur zélé de la «Françafrique». Bongo était aussi un fin connaisseur de la scène politique hexagonale, qui avait su se rendre indispensable en se créant un réseau d’obligés à Paris, de droite comme de gauche.

    Le vieux sage a toujours été soupçonné d’avoir financé une palanquée de campagnes électorales. Mais ce rôle occulte n’a jamais été éclairci par la justice. Lors du retentissant procès d’Elf, dans les années 90, son nom a été beaucoup cité. Mais Bongo a finalement été épargné. «L’Afrique sans la France, c’est une voiture sans chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant», disait-il à Libération en 1996.
    Bongo savait aussi confier des missions de conseil et d’audit à des dirigeants politiques prometteurs ou confirmés comme autant d’investissements. Ces derniers mois, on a beaucoup parlé de Bernard Kouchner. Mais la liste de personnalités politiques de tous bords ayant cédé à ses sirènes est longue.
    Au Gabon, il a su régner sans faire usage de la force, contrairement à nombre de ses pairs sur le continent. La clé de sa réussite tient en quelques mots: un instinct politique hors pair et un usage raisonné de la corruption.
    Bongo s’est longtemps prénommé Albert-Bernard. Il est né en 1935 dans une famille de paysans du pays batéké, une ethnie minoritaire du sud-est du pays. Après des études secondaires au Congo, il exerce un emploi modeste au sein des postes. Mais ce jeune homme vif et ambitieux est vite repéré par les services secrets français, qui vont l’employer, notamment dans les écoutes téléphoniques. Bob Maloubier, ancien du SDECE, s’occupe de la garde présidentielle après 64. Le Gabon, comme l’a raconté Pierre Péan (1), est alors le repère des barbouzes de tous poils. La garde présidentielle y est composé d’anciens de l’OAS. Paris possède sur place des intérêts économiques statégiques: l’uranium, exploité dans le sud-est par la Comuf (Compagnie d’uranium de Franceville), et bientôt le pétrole.
    Mais Bongo doit son ascension tout autant aux Français qu’au premier président du Gabon indépendant, Léon Mba, qui en fait son directeur de cabinet. En 1964, lorsque le président est victime d’un putsch, avant d’être rétabli dans ses fonctions par les paras français, Bongo refuse de le lâcher. Le président Mba le nomme vice-président, et à sa mort en 1967, il lui succède naturellement, avec l’assentiment de Paris.
    En 1973, Albert devient Omar: il s’est converti à l’islam, sur les conseils avisés du colonel Khadafi. Accessoirement, cette conversion intervient alors que le Gabon rejoint l’Opep, au lendemain du premier choc pétrolier. Trente ans plus tard, il ajoutera le nom de son père «Ondimba», racontant avoir été interpellé par son géniteur dans un rêve mouvementé. Mais son appartenance aux réseaux maçonniques a joué un rôle bien plus important au cours de sa longue carrière que son adhésion à l’islam.
    Comme Félix Houphouët-Boigny, Bongo a su redistribuer l’argent du pétrole en veillant à ce qu’aucune communauté ne se sente marginalisée, gage de la stabilité de son pouvoir. Mais si son pays a échappé aux soubresauts qui ont ensanglanté nombre de ses voisins, il n’a jamais décollé économiquement. La manne pétrolière, qui se tarit, a profité à une petite coterie dans l’entourage du président, tandis que la moitié de la population vit dans la pauvreté.
    Au cours de son long règne, Bongo a coopté un à un ses opposants au sein des différents gouvernements qui se sont succédé à Libreville en quarante ans, réduisant à néant toute idée d’alternance. Sa succession risque de se révéler d’autant plus délicate à gérer, en l’absence de relève crédible. La Constitution prévoit, en cas de décès du chef de l’Etat, l’organisation d’une élection sous quarante-cinq jours. L’intérim est assuré par le président du Sénat.
    Au fil des ans, sa famille a pris une place prépondérante. Sa fille, Pascaline, qui dirige le cabinet présidentiel, a la haute main sur les finances, tandis que son fils, Ali, contrôle l’armée à la tête de laquelle il a placé ses fidèles. Vice-président du parti au pouvoir, ce dernier est idéalement placé pour succéder à son père, étant donné la brièveté de la campagne et l’état d’impréparation de ses adversaires.

    Liberation
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  3. 08/06/2009, 11h52 #13
    makalou
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    Citation Posté par makalou Voir le message
    Depuis le décès de l’Ivoirien Félix Houphouët-Boigny, fin 1993, il avait repris vaillamment le flambeau d’une «Françafrique» en déclin. Doyen des chefs d’Etat sur le continent, le président du Gabon, Omar Bongo Ondimba, est mort dimanche des suites d’un cancer aux intestins dans un hôpital de Barcelone. Il avait 73 ans, et en avait passé plus de quarante au pouvoir, sans coup d’Etat. Un record.
    Propulsé en 1967 à la tête du petit émirat pétrolier du Golfe de Guinée, ce petit homme aux lunettes noires aura connu et fréquenté pas moins de six présidents de la République française. Le dernier, qui avait promis la «rupture» avec des pratiques d’un autre temps et de ténébreux réseaux franco-africains, se rendit sans broncher à Libreville pour son premier voyage en terre africaine, en juillet 2007. Le soir de son élection, Nicolas Sarkozy avait d’ailleurs appelé un seul dirigeant étranger, avant même la fermeture des bureaux de vote, pour le remercier pour ses «conseils»: Omar Bongo.

    Ce dernier était loin d’être seulement un serviteur zélé de la «Françafrique». Bongo était aussi un fin connaisseur de la scène politique hexagonale, qui avait su se rendre indispensable en se créant un réseau d’obligés à Paris, de droite comme de gauche.

    Le vieux sage a toujours été soupçonné d’avoir financé une palanquée de campagnes électorales. Mais ce rôle occulte n’a jamais été éclairci par la justice. Lors du retentissant procès d’Elf, dans les années 90, son nom a été beaucoup cité. Mais Bongo a finalement été épargné. «L’Afrique sans la France, c’est une voiture sans chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant», disait-il à Libération en 1996.
    Bongo savait aussi confier des missions de conseil et d’audit à des dirigeants politiques prometteurs ou confirmés comme autant d’investissements. Ces derniers mois, on a beaucoup parlé de Bernard Kouchner. Mais la liste de personnalités politiques de tous bords ayant cédé à ses sirènes est longue.
    Au Gabon, il a su régner sans faire usage de la force, contrairement à nombre de ses pairs sur le continent. La clé de sa réussite tient en quelques mots: un instinct politique hors pair et un usage raisonné de la corruption.
    Bongo s’est longtemps prénommé Albert-Bernard. Il est né en 1935 dans une famille de paysans du pays batéké, une ethnie minoritaire du sud-est du pays. Après des études secondaires au Congo, il exerce un emploi modeste au sein des postes. Mais ce jeune homme vif et ambitieux est vite repéré par les services secrets français, qui vont l’employer, notamment dans les écoutes téléphoniques. Bob Maloubier, ancien du SDECE, s’occupe de la garde présidentielle après 64. Le Gabon, comme l’a raconté Pierre Péan (1), est alors le repère des barbouzes de tous poils. La garde présidentielle y est composé d’anciens de l’OAS. Paris possède sur place des intérêts économiques statégiques: l’uranium, exploité dans le sud-est par la Comuf (Compagnie d’uranium de Franceville), et bientôt le pétrole.
    Mais Bongo doit son ascension tout autant aux Français qu’au premier président du Gabon indépendant, Léon Mba, qui en fait son directeur de cabinet. En 1964, lorsque le président est victime d’un putsch, avant d’être rétabli dans ses fonctions par les paras français, Bongo refuse de le lâcher. Le président Mba le nomme vice-président, et à sa mort en 1967, il lui succède naturellement, avec l’assentiment de Paris.
    En 1973, Albert devient Omar: il s’est converti à l’islam, sur les conseils avisés du colonel Khadafi. Accessoirement, cette conversion intervient alors que le Gabon rejoint l’Opep, au lendemain du premier choc pétrolier. Trente ans plus tard, il ajoutera le nom de son père «Ondimba», racontant avoir été interpellé par son géniteur dans un rêve mouvementé. Mais son appartenance aux réseaux maçonniques a joué un rôle bien plus important au cours de sa longue carrière que son adhésion à l’islam.
    Comme Félix Houphouët-Boigny, Bongo a su redistribuer l’argent du pétrole en veillant à ce qu’aucune communauté ne se sente marginalisée, gage de la stabilité de son pouvoir. Mais si son pays a échappé aux soubresauts qui ont ensanglanté nombre de ses voisins, il n’a jamais décollé économiquement. La manne pétrolière, qui se tarit, a profité à une petite coterie dans l’entourage du président, tandis que la moitié de la population vit dans la pauvreté.
    Au cours de son long règne, Bongo a coopté un à un ses opposants au sein des différents gouvernements qui se sont succédé à Libreville en quarante ans, réduisant à néant toute idée d’alternance. Sa succession risque de se révéler d’autant plus délicate à gérer, en l’absence de relève crédible. La Constitution prévoit, en cas de décès du chef de l’Etat, l’organisation d’une élection sous quarante-cinq jours. L’intérim est assuré par le président du Sénat.
    Au fil des ans, sa famille a pris une place prépondérante. Sa fille, Pascaline, qui dirige le cabinet présidentiel, a la haute main sur les finances, tandis que son fils, Ali, contrôle l’armée à la tête de laquelle il a placé ses fidèles. Vice-président du parti au pouvoir, ce dernier est idéalement placé pour succéder à son père, étant donné la brièveté de la campagne et l’état d’impréparation de ses adversaires.

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    Salam
    Oumar ! paix à ton âme. Comme on le sait tous, la mort est un plat que tout le monde mangera...
    Au delà de cette humanisme... Oumar laisse le Gabon sans père. Un père dictateur qui maitrisait tout. Mais Dieu est le tout puissant...
    J'espère que les gabonais sauront faire la transition en douceur et ne seront pas posséder par le démon de la guerre africain. Notons que le Gabon est un des pays les plus stables de l'Afrique centrale.
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  4. 08/06/2009, 13h20 #14
    DJAMBERE KHOUMBA
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    D'après certains médias il vit toujours
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  5. 08/06/2009, 14h27 #15
    DJILA DIAGUILINKE
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    Omar Bongo "est vivant et va bien", assure son Premier ministre

    Omar Bongo "n'est pas mort", réaffirment les autorités gabonaises

    il y a 2 heures 19 min
    YvesLaurent Goma
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    Omar Bongo Ondimba est toujours en vie. C'est du moins ce qu'a assuré lundi la présidence gabonaise, qui a réaffirmé que le doyen des chefs d'Etat africains "n'était pas mort" et condamné les médias français ayant annoncé sa mort la veille. Le Premier ministre Jean Eyéghé Ndong a lui aussi martelé que le président Bongo était "vivant" dans un communiqué lu depuis Barcelone, en Espagne. Lire la suite l'article
    Devant la clinique barcelonaise où M. Bongo séjourne depuis un mois, le Premier ministre a répété que "le président est vivant", après avoir rencontré les médecins traitants du chef d'Etat. Il s'est dit "énormément surpris" par les informations venues de France.
    Plusieurs médias français ont en effet affirmé dès dimanche soir que le président gabonais, âgé de 73 ans, s'était éteint au cours du week-end dernier dans la clinique espagnole où il était traité.
    M. Ndong a précisé que lui-même et d'autres responsables du gouvernement ainsi que la famille d'Omar Bongo l'avaient vu dans la matinée et s'étaient entretenu avec les médecins qui le soignent. Il a une nouvelle fois expliqué que le président gabonais avait été admis pour un check-up médical complet.
    Le Premier ministre a transmis des instructions pour que Libreville élève une protestation officielle auprès du gouvernement français relative aux informations annonçant le décès d'Omar Bongo. Elles avaient comme "but unique de instiller le doute dans l'esprit des Gabonais", a-t-il accusé, sans vouloir ensuite répondre aux questions des journalistes.
    Quelques heures auparavant, la présidence gabonaise avait diffusé un communiqué dans lequel elle tenait à "souligner que le président de la République, le chef de l'Etat, son excellence Omar Bongo, n'est pas mort. Il poursuit son séjour en Espagne après son bilan de santé à la clinique Quiron, à Barcelone". Dimanche soir déjà, la ministre gabonaise de la Communication Laure-Olga Gondjout avait démenti ce décès à l'Associated Press, tout comme le porte-parole de la présidence Raphaël N'Toutoume.
    Le mois dernier, le ministère espagnol des Affaires étrangères avait fait savoir qu'Omar Bongo était malade et hospitalisé à Barcelone "dans un état sérieux mais stable". Une information démentie par des responsables gabonais, qui niaient toute hospitalisation, évoquant seulement un check-up. Selon un diplomate africain à Libreville s'exprimant sous couvert d'anonymat, M. Bongo souffrirait de diabète et d'un cancer de la prostate.
    On ignorait lundi l'état de santé réel d'Omar Bongo, le plus vieux chef d'Etat civil en exercice, au pouvoir au Gabon depuis 1967, et l'un des dirigeants africains les plus proches de la France. AP

    Assalamou Aleykoum,
    Que se passe-t-il réellement?
    Personnellement j'adhére à la conclusion qu'on prépare sa sucession avant d'officiliser son décés.
    ALLAH est Seul Omniscient
    Dernière modification par DJILA DIAGUILINKE 08/06/2009 à 14h30
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    "Si la grandeur du dessein,la petitesse des moyens,l'immensité du resultat,sont les trois mesures du génie de l'homme,qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet?"(SWS)

    Alphonse De LAMARTINE
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  6. 08/06/2009, 14h36 #16
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    En tout cas c'est bizarre tous cette histoir mais dés fois les medias dansent plus vite que la musique .
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    "EX DIONGOMA"[LIST=1]
    C'est l'homme qui a peur sinon c'est rien
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  7. 08/06/2009, 14h42 #17
    indi
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    Comme tu dis c'est bizarre cette histoire, apparemment il serait bel et bien en vie


    GABON : Le Premier ministre gabonais affirme qu' "Omar Bongo est bien en vie", actualité Société : Le Point
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  8. 08/06/2009, 14h56 #18
    Fodyé Cissé
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    Si Oumar Bongo était réellement en vie, pour démentir l'information, ils le montreront à la Télé, en vie.
    Je pense aussi qu'il se trâme des choses. Mais, à quoi bon mentir devant la face du monde entier si Bongo est bel et bien décédé.

    S'il n'est pas décédé, qu'ALLAH lui donne une bonne santé et une longue vie.
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  9. 08/06/2009, 17h04 #19
    indi
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    C'est officiel Omar bongo est décédé cet après-midi, toutes mes condoléances au peuple gabonais.
    Paix à son âme! Qu'Allah lui pardonne!
    Dernière modification par indi 08/06/2009 à 17h06
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  10. 09/06/2009, 00h02 #20
    Cheikhna Mouhamed WAGUE
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    Paix à son âme! Paix à son âme!

    L'inquiétude est là, car très souvent quand des dictateurs de ce genre s'en vont leus pays sombrent derrière eux. J'ai peur pour l'avenir politique du Gabon, ce petit pays de toute l'Afrique. Puisse Allah sauver le peuple gabonais pour qu'il ne sombre pas, après ce grand et long règne de Bongo, dans le chaos et dans l'anarchie.
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    "Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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