
Journée mondiale de la langue maternelle au Mali: Quand l'incohérence cache parfois la mauvaise foi

Aminata Dukuray est née dans le 93. Elle est diplômée de médecine et a décidé d’ouvrir un cabinet à Aulnay-sous-Bois à deux pas de Sevran où elle réside.
« Je suis née dans le 93, je connais bien le département mais j’ai malgré tout été surprise par la gentillesse des voisins et leur accueil chaleureux. (…) Je ne connais pas encore bien la ville mais ce qui m’a frappée, c’est la future mosquée. Etant musulmane, il est pour moi important d’avoir un endroit aussi grand, beau et ouvert dans la ville. »
Facebook, premier réseau social au monde a considérablement changé les rapports humains à bien des égards. Nous avons fait une immersion dans la communauté africaine de France pour enquêter sur leur utilisation du réseau Facebook. Ils sont Sénégalais, Maliens, Mauritaniens, Congolais, Ivoiriens, Comoriens...Ils ont accepté de nous livrer leurs sentiments sur le réseau social Facebook. Ils nous parlent de l'apport de Facebook au quotidien, de leur perception des nombreuses pages et chroniques qui pulullent sur le réseau sans avoir manqué de pointer du doigt les limites et les dangers du réseau Mark Zuckerberg.
REPORTAGE SUR FACEBOOK, SON IMPACT SUR NOS VIES ET NOTRE QUOTIDIEN...
C’était au milieu des années 1950. Ma grand-mère maternelle Seyna-Oumou Tandia, décédée le lundi 2 juillet 1978 (paix à son âme), avait un veau qu’elle avait bien nourri dans sa concession quand l’animal avait prématurément perdu sa mère avant d’être sevré. Ma grand-mère, qui avait un amour débordant pour les humains, mais aussi pour les animaux, en particulier les bovidés, s’était bien occupée de ce veau, au même titre qu’elle s’occupait de sa progéniture, entre autres. Elle avait réussi à bien nourrir le petit animal orphelin et, donc, le sauver d’une mort certaine, quand on sait que les chances de vie d’un veau qui n’a pas eu droit au lait de sa mère sont réduites. Quand le veau avait atteint l’âge de rejoindre le troupeau dans la brousse, ma grand-mère l’avait confié au Peul familial qui avait la charge de garder le troupeau de mon grand-père maternel, Kaou Mbadokho Diagana, décédé en 1946 (paix à son âme).