Le candidat de la Coalition alternative 2007 a tenu meeting à Bakel. C'est-à-dire chez ceux qu'il appelle les 'oubliés' de l'alternance. Occasion pour Moustapha Niasse de tirer, à boulets rouges, sur le régime de Wade et faire des promesses qu'il s'engage à tenir s'il est élu.
Attendus à 11heures, Moustapha Niasse et sa délégation composée de Madior Diouf, Amath Dansokho et Madieyna Diouf n'ont foulé le sol de Bakel qu'aux environs de 14 heures, sous un soleil de plomb. Sur le choix de cette ville, Moustapha Niasse explique : 'nous avons choisi Bakel parce que, le Sénégal Oriental en général, le département de Bakel en particulier ont, durant sept bonnes années, été oubliés, négligés et piétinés par le régime en place'. Ce qu'il trouve injuste et entend réparer au cas où il serait, au soir du 25 février, porté au pouvoir. Alors que, argumente le 'candidat de l'espoir', dans les pays organisés, l'option est de développer, d'abord, les régions périphériques telles le Sénégal Oriental, le Fouta, le Fouladou, la Casamance. Au lieu de construire une corniche à Dakar qui, précise-t-il, n'est que la capitale du pays et non le Sénégal. Moustapha Niass, Madior Diouf et le bouillant secrétaire général du Pit Amath Dansokho se sont succédé à la tribune pour tirer, à boulets rouges, sur Me Abdoulaye Wade et son régime.

La consolidation des acquis - Le Conseil d'administration des "Aéroports du s'est réuni, le 30 et 31 janvier derniers, en session ordinaire.
La campagne électorale démarre timidement dans la région de Tambacounda (465 km à l'Est de Dakar) où les différents partis en lice affûtent leurs armes en attendant l'arrivée des leaders.
Me MAMA ADAMA GUÈYE AU PARC LAMBAYE : « Toute la classe politique est responsable de l’immigration clandestine »
PARIS (AP) - La Cimade, association venant en aide aux étrangers présents en France, a présenté mardi lors d'une conférence de presse ses "75 propositions pour une politique d'immigration lucide et réfléchie", basée "sur des valeurs d'humanité et de justice" pour rompre avec "des politiques de plus en plus répressives".