LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL NOMME CHEIKH SIDI DIARRA DU MALI AU POSTE DE HAUT REPRÉSENTANT POUR LES PMA, LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT SANS LITTORAL ET LES PETITS ÉTATS INSULAIRES EN DÉVELOPPEMENT
Le Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, a annoncé aujourd’hui la nomination de Cheikh Sidi Diarra du Mali au poste de Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement. M. Diarra, qui est actuellement le Représentant permanent du Mali auprès des Nations Unies, remplace M. Anwarul Chowdhury du Bangladesh. Il prendra ses fonctions au début du mois d’août.
M. Diarra a plus de 25 ans d’expérience dans les domaines des relations internationales, du droit et du développement. Il a participé activement au niveau international à l’intensification des efforts d’intégration de l’Afrique et plus particulièrement de l’agenda pour le développement du continent africain. Depuis 1982, il a mené de nombreuses négociations lors des Sommets de l’Union africaine. La diplomatie multilatérale a constitué un point fort de sa longue carrière et au cours de cette décennie, il a acquis des connaissances de première main sur des questions intersectorielles abordées aux Nations Unies et dans le cadre des processus intergouvernementaux. M. Diarra a en particulier apporté une importante contribution au processus de réforme des Nations Unies.

En cette période de soudure, elles jouent un rôle précieux dans le système de sécurité alimentaire
En Afrique et dans le monde, très peu de pays ont pris l’option d’instituer un Vérificateur général. C’est qu’au delà de la noblesse de sa fonction, la création d’une telle institution de contrôle requiert, non seulement une étude munitieuse de la situation socio-économique du pays, mais aussi l’élaboration de textes et la mise en place de ressources humaines et de logistiques adéquates. Aussi, la volonté affichée, depuis 2002, par le Chef de l’Etat, de mettre fin au détournement des fonds publics, a entraîné la nécessité, sinon l’urgence de la mise en place d’un Bureau du Vérificateur général.
Le Comité national des Sénégalais pour l'égalité et l'accès aux droits à l'information et à la promotion des langues nationales a adressé récemment aux autorités sénégalaises une "pétition" pour réclamer "l'égalité des langues nationales dans les médias d'Etat".