Une note de service de la préfecture de Nanterre décrit comment les étrangers en situation irrégulière sont invités à se rendre en personne au guichet, en réalité pour être arrêtés sur place.
Préfecture, le piège? C’est l’alerte que lancent depuis plusieurs semaines des militants associatifs, au premier rang desquels le réseau RESF, aux étrangers en situation irregulière qui voudraient se rendre en préfecture pour avoir des nouvelles de leur dossier ou demander une régularisation.
De plus en plus de sans-papiers seraient, selon les associations, « piégés » par les préfectures qui les attireraient sur place sous prétexte de « réexaminer leur dossier » pour pouvoir les interpeller à leur arrivée au guichet. Des documents de la préfecture de Nanterre (Hauts-de-Seine) obtenus par « Libération » semblent attester d’une telle pratique.
D’abord, un courrier type, adressé aux étrangers en situation irrégulière, les informe que « les demandes de régularisation ne sont plus reçue par voie postale ». Et précise : « Il vous appartient par conséquence de vous présenter le mardi ou le jeudi matin en préfecture ».
FRANCE-IMMIGRATION: Quand les préfectures piègent les sans-papiers

Le projet d’appui à l’enseignement moyen, plus connu sous le nom de Us/Paem, a permis la construction de 17 collèges de proximité (10 dans la première phase et 7 nouveaux qui seront livrés incessamment) dans la région de Tambacounda sur les 58 au niveau national. La rencontre des partenaires a permis d’axer, désormais, les interventions sur l’environnement scolaire, l’amélioration pédagogique et la mobilisation communautaire.
En deux semaines, une équipe de « la Sentinelle » a fait le tour du Sénégal en boucle. La première étape part de Dakar à Diana Malary, en Casamance, au sud du pays. Pour la deuxième étape, l’équipe est partie de Dakar pour faire Saint Louis, Agnam Civol, dans la région du fleuve, avant de terminer ce long périple de reportages et d’enquêtes à Bakel, dans le Sénégal oriental. Dans ce premier jet d’une série de reportages et d’enquêtes dans le pays profond, hors de Dakar, « la Sentinelle » dresse un carnet de route. Un bilan d’étape.