Salam
C'est clair la chef Khoudjédji maîtrisait son sujet. Elle a l'expérience et sait témoigner de la chaleur et la richesse du bled.
Pour Diakha, je me dis par la fin que c'était normal; Dés fois, quand on arrive dans un lieu, loin de ses amis, ses voisins de toujours et de ses parents, on se sent seul. On peut craquer. D'ailleurs je crois que c'est son cas parce qu'elle se sentait à l'aise par la fin.
On attend leur témoignage si y en a des inscrits mais cela m'étonnerait parce qu'elles avaient entre 11 et 16 ans mis a part Khoudedji.