Je commencerai par les aveux D’Ibrahima Moctar Sarr, président du parti AJD/MR, un homme que j’estimais beaucoup, mais il s’est laissé aller dans les carcans de divertissements divers. Son mea-culpa est le suivant : « On a commis une erreur en 2005, la deuxième erreur, c’est quand Ould Abdel Aziz a pris le pouvoir. Les vrais responsables du piétinement du dossier de passif humanitaire, c’est nous les politiciens. Les marches de soutien n’ont jamais été faites contre l’esclavage ni pour le retour des déportés. » la suite:Au secours des Haratine: Rupture où le désamour entre l’ancienne et nouvelle génération montante?