merci bill que le BON DIEU NOUS MENE SUR CETTE VOIE
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Salam,
Quelques lignes tellement vrai que je souhaitais vous faire partager ...
TchoooCitation:
Après 21 ans de mariage, j'ai commencé à trouver une nouvelle lueur d'amour.
Depuis un moment j'ai commencé a sortir avec une femme autre que ma femme et… c'était l'idée de ma femme qui m'a dit un jour : « Je sais très bien combien tu l'aimes ! »
La femme que ma femme voulait que je sorte avec était… ma mère… qui était veuve depuis 19 ans mais à cause des activités de la vie courante, mes trois enfants et d'autres responsabilités je ne lui rendais visite que rarement.
Un jour je l'ai appelé et je l'ai invité à dîner… elle me demanda : « tu vas bien ? ». Elle n'était pas habituée à recevoir des appels de ma part à cette heure ci.
Elle s'est inquiétée mais je l'ai rassurée : « Oui je vais très très bien mais je voulais passer un moment avec toi maman ».
« Nous deux, seuls ? » demanda t-elle ; elle a réfléchi un peu puis elle répondit : « Oui j'aime bien cela ! » Jeudi, après le travail, je suis passé chez elle pour la prendre… j'avais un peu le trac… En arrivant chez elle je l'ai trouvé aussi perturbée. Elle m'attendait devant la porte… dans une belle robe ! Il semble que c'était la dernière robe que mon père lui avait achetée… avant sa mort. Avec un sourire angélique, maman me dit :
« J'ai dit à tout le monde qu'aujourd'hui je vais sortir avec mon fils. Ils sont tous contents et ils attendent impatiemment ce que je vais leur raconter à mon retour. »
Nous sommes allés à un restaurant exceptionnel, calme et magnifique… ma mère tenais mon bras comme si elle était La Première Dame. Nous étions assis, j'ai commencé à lire le menu car elle ne pouvait lire que l'écriture large. Tandis que je lisais, elle me contemplait avec un large sourire sur ses lèvres ridées… elle m'a dit : « C'étais moi qui te lisais quand tu étais petit » Je répondis : « Le moment est venu pour te rendre un peu de ce que tu as fait pour moi. Ne te déranges donc pas maman ».
On a beaucoup discuté pendant le dîner. Rien d'inhabituel mais… c'était de vielles histoires et de nouvelles… Sans nous rendre compte, le temps s'est écoulé et nous n'avons pas remarqué que minuit fût passé. A notre retour, devant sa porte elle me dit : « Je suis d'accord pour une autre sortie, mais cette fois-ci ce sera moi qui vais payer! »… j'ai embrassé sa main et je l'ai salué.
Quelques jours plus tard maman est décédée d'une crise cardiaque… cela s'est produit si vite que je n'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Quelques jours après, j'ai reçu une lettre du restaurant dans lequel nous avions eu ce dîner… avec une remarque écrite de sa propre main me disant : « J'ai payé d'avance car je savais que je ne serais pas là… l'essentiel, le repas est payé pour deux personnes, toi et ta femme. Tu ne pourras pas savoir l'importance de cette nuit pour moi …. je t'aime mon fils ! ».
A ce moment là j'ai vraiment compris ce que signifie le mot « aimer » et… « je t'aime » et… ce que signifie l'expression de cet amour pour l'autre.
Rien de plus important que les parents, surtout la mère… donne leurs le temps qu'ils méritent. Ceci est un droit Divin et leur propre droit et cela ne peut être reporté.
Après la lecture de cette histoire, je me suis rappelé de l'histoire de celui qui demanda à Abdallah ibn Omar (qu'Allah soit satisfait de lui) : « Ma mère est très âgée et ne peut plus bouger. Elle dépend complètement de moi. Je la porte partout même pour aller faire ses besoins et parfois elle ne peut se retenir et fais ses besoins sur moi alors que je suis en train de la porter ; Penses-tu que j'ai payé ma dette envers elle ? »
Abdallah ibnou Omar lui répondit : « tu n'as même pas payé une seule des contractions quand elle t'a mis au monde ! Car elle fait cela et tu lui souhaites la mort pour te délasser, alors que tu le faisais quand tu étais petit et elle te souhaitait la vie »
Bon ramadan à tous!
Voici une histoire pleine d'enseignement
Il était une fois un homme pieux qui se trouvait à La Mecque. Il n’avait plus d’argent, il souffrait de la faim, il était presque sur le point de mourir. Pendant qu’il marchait dans une des ruelles de La Mecque, il trouva un collier de valeur, très précieux. Il prit donc le bijou et se rendit à la sainte Mosquée. Là, il trouva un homme qui cherchait le collier. Ce dernier lui décrivit le bijou sans se tromper ; l’homme pieux lui donna donc le collier en espérant recevoir quelque chose en retour mais le propriétaire prit le bijou et partit sans rien lui donner... L’homme pieux fit cette invocation : "Ô mon Dieu, j’ai renoncé à ce collier pour Toi, remplace-le moi par quelque chose de meilleur."
Plus tard, l’homme partit en direction de la mer, il monta dans une barque mais un ouragan se déchaîna et l’embarcation fut détruite. L’homme pieux s’accrocha à un morceau de bois, il flottait ainsi à la surface de l’eau, le vent le faisait dériver jusqu’à ce qu’il atteignit une île. Là, il trouva une mosquée où des gens priaient, il pria donc puis se mit à lire le Coran. Les gens de l’île lui dire : "Tu lis le Coran ?"
Il répondit : "Oui"
Ils dirent : "Enseigne le Coran à nos enfants, s’il te plait"
Il commença donc à leur enseigner et recevait un salaire pour cela. Lorsque les gens virent qu’il savait également écrire, ils lui demandèrent d’apprendre l’écriture à leurs enfants, ce qu’il fit et il en fut rémunéré.
Les habitants de l’île dirent à l’homme pieux : "Il y a ici une orpheline dont le père, qui est décédé, était un homme de bien. Voudrais-tu l’épouser ?"
Il répondit : "D’accord."
Il se maria donc et trouva que sa femme portait le même collier que celui qu’il avait trouvé à La Mecque ! Il lui demanda alors : "Quelle est l’histoire de ce bijou ?"
Elle lui raconta que son père, un jour, perdit ce collier à La Mecque et qu’un homme le lui avait rendu. Son père, depuis ce jour, invoquait Dieu, dans la prosternation, de donner à sa fille un époux comme cet homme qui lui avait rendu le collier. L’homme pieux dit alors à sa femme : "Je suis cet homme..."
Leçons à tirer de cette histoire
http://www.aslim-taslam.net/puce.gif L’homme pieux a résisté à la tentation de garder le collier pour lui alors qu’il avait très faim et avait besoin d’argent. L’épreuve était difficile mais il a tenu bon et Dieu Le Généreux Qui donne sans compter, lui a accordé plusieurs récompenses, à savoir : le meilleur travail possible c’est-à-dire enseigner le Coran, un endroit pour vivre et une épouse. Soubhanallah :
http://www.aslim-taslam.net/puce.gif Il ne faut pas désespérer du secours divin, même dans les situations les plus difficiles. Regarde cet homme, il a failli mourir de faim puis de noyade mais Dieu l’a sauvé de tous ces dangers al hamdoulillah...
http://www.aslim-taslam.net/puce.gif Le fait d’apprendre et de savoir faire quelque chose permet de trouver un travail. Cet homme savait lire et écrire, et cela lui a permis de travailler dans l’île. Chacun de nous est bon dans quelque chose, à nous de trouver dans quoi afin de développer le ou les dons que Dieu nous donne afin de participer au bien de tous.
http://www.aslim-taslam.net/puce.gif Dieu Le Très Haut aime les patients et les pieux et répond à leurs invocations. Ainsi, lorsque l’homme pieux ne reçut rien pour avoir rendu le collier, il ne s’est pas énervé contre le propriétaire du bijou, au contraire, il a patienté et a invoqué Dieu. Allah, Le Généreux par excellence, a répondu à sa demande avec une générosité incroyable, digne de Sa Majesté. D’ailleurs la réponse de Dieu à l’invocation de l’homme pieux est un très grand miracle qui nous enseigne qu’il ne faut jamais désespérer de la miséricorde et des bienfaits de notre Créateur Unique et Tout Puissant Qui fait ce qu’Il veut, comme Il le veut et quand Il le veut car Il est capable de tout et que rien ne Lui est impossible. Louange à Lui pour l’éternité.
Que Dieu vous guide sur le droit chemin, ainsi que vos familles, qu’Il vous facilite le jeûne du mois de Ramadan, qu’Il vous aime, vous protège et qu’Il vous accorde le meilleur ici-bas et dans l’au-delà Amine.
Asalam alaykoum et Bonjour.
La leçon du papillon
Un homme qui se promenait vit un cocon dans un petit trou. Il s’arrêta de longues heures à observer le papillon qui s’efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et on aurait dit qu’il avait fait tout ce qu’il pouvait pour sortir de ce trou, sans succès.
Alors, l’homme décida d’aider le papillon : il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt mais son corps était maigre et engourdit, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.
L’homme continua à l’observer, pensant que d’un moment à l’autre, les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu’il puisse prendre son envol.
Il n’en fut rien ! Et le pauvre papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler
Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et son intention d’aider, ne comprenait pas, c’est que le passage par le trou étroit du cocon était l’effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler. C’était le moule à travers lequel Dieu (Exalté Soit-Il) le faisait passer pour grandir et se développer.
Frères et soeurs, la morale de cette histoire est que, parfois, l’effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
Si Dieu (Exalté Soit-Il) nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d’obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler...
J’ai demandé la force...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné les difficultés pour me rendre fort.
J’ai demandé la sagesse...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné des problèmes à résoudre.
J’ai demandé la prospérité...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J’ai demandé de pouvoir voler...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné des obstacles à surmonter.
J’ai demandé l’amour...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné des frères et sœurs à aider dans leurs problèmes.
J’ai demandé des faveurs...
Et Dieu (Exalté Soit-Il) m’a donné des potentialités.
Je n’ai rien reçu de ce que j’ai demandé...
Mais j’ai reçu tout ce dont j’avais besoin. Alhamdoulilah.
Vis ta vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter ! InshaAllah !
Merci pour ce très joli post, Ibrahim Soukouna.
salam
Merci Tudo Rémé lol.
Comme on dit "la vie est un combat" et chaque épreuve nous fait progresser insha'Allah.
Asalam , merci à tous pour ces rappels que Dieu vous accorde longue et bonne santé. Amine
salam aleykoum .
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Soufiane raconta à des amis ce récit :
Pierre est un français de cinquante ans
Il vit paisiblement à Orléans avec sa femme, son fils et sa fille...
Lorsque le mois de Dhul-Hijjah arriva...
Pierre, son épouse et ses enfants commencèrent à suivre les infos…
Pour connaître quand débuterait le mois de Dhul-Hijjah...
Pierre écoutait la radio,
Sa femme regardait la télé,
Et le fils surfait sur les sites islamiques...
Lorsque la détermination du premier jour de Dhul-Hijjah fut confirmée...
Pierre et sa famille se préparèrent à la venue de la fête de l'Aïd Al-Kebir qui tombe le dixième jour de Dhul-Hijjah après l'arrêt des pèlerins sur le mont Arafat, le neuvième jour.
Le deuxième jour de Dhul-hijjah, la famille alla à la ferme…
Pour l'achat d'un mouton,
Qui fut choisi avec soin en fonction des conditions islamiques liées à l'offrande,
Pour l'immoler le premier jour d'al Aïd Al-Kébir.
Le mouton dans la voiture,
Commença à bêler…
Et la petite fille de Pierre de cinq ans, Delphine, commença de sa belle voix douce à chantonner avec lui...
Elle dit à son père : « Papa ! Comme est belle la fête de l'Aïd !
Je vais mettre mes plus beaux habits !
Je pourrai avec l'argent offert m'offrir une belle poupée !
Je m'amuserai toute la journée avec mes copines !
Comme j'aime cette fête !
Si seulement tous les jours de l'année étaient tels le jour de l'Aïd. »
Quand ils arrivèrent à la maison,
L'épouse demanda : « Chéri ! J'ai appris que le sacrifice rituel devait être divisé en trois :
Une partie pour les pauvres et les nécessiteux,
Une autre pour nos voisins Michel, Laurianne, et Roxanne,
Et une autre que nous mangeons et conserverons.
Le jour de l'Aïd venu,
Pierre et son épouse se demandèrent où est la direction de La Mecque pour le sacrifice,
Ils ont conclu qu'elle devait être en direction de l'Arabie Saoudite…
Pierre sacrifia donc son mouton
Sa femme divisa la viande en trois parties…
Soudain, Pierre cria : « Zut ! Nous sommes en retard pour l'église !
Aujourd'hui c'est dimanche ! Vite on va rater la messe !
Pierre ne rate jamais la messe…
Fin du récit.
Un ami de Soufiane s'exclama : Ton histoire est à dormir debout ! Dis-moi : Pierre est musulman ou chrétien ?!
Soufiane rétorqua : Pierre et sa famille sont des chrétiens, ne croient pas en un Dieu unique, mais croient en la trinité et ne croient pas que Muhammad – que la paix soit sur lui - est le sceau des prophètes et des messagers.
Une stupeur se produit chez ses amis, et des voix s'élevèrent ! L'un d'eux dit : « Ne mens pas Soufiane, comment pourraient-ils être chrétiens !!! Comment le chrétien peut-il accomplir les rites de l'islam et des musulmans et célébrer leurs fêtes ! C'est impensable ! Comment s'intéresseraient-ils au calendrier hégirien ! C'est une farce ! Comment peuvent-ils acheter un mouton et le distribuer aux pauvres !
Soufiane dit avec un sourire : « Mes frères pourquoi ne croyez-vous pas mon histoire ?
Pourquoi ne pensez-vous pas qu'une famille chrétienne puisse faire cela ?
Ne voit-on pas des Abdullah, des Mohamed, des Khaled, des Mehdi, des Khadija, des Fatima, des Salima célébrer les fêtes chrétiennes et les fêtes juives ou païennes !
Ne célébrons-nous pas, nous musulmans, le Jour de l'An, Halloween, Noël, la Saint Valentin, Pâques, la fête des Mères, des Pères, la fête de la musique et j'en passe !
Pourquoi les chrétiens ne célèbreraient-ils pas nos fêtes ! Qu'y a-t-il d'étonnant à cela !
Pourquoi condamnons-nous Pierre pour cet acte et ne condamnons-nous pas lorsqu'on célèbre leurs fêtes ! Pourquoi ne condamnons-nous pas nos familles pour cela ! »
Ensuite, Soufiane leva sa main en s'exclamant de nouveau : je suis né et je vis en France et du haut de mes 32 ans Dieu sait que je n'ai jamais vu de chrétiens ou de juifs célébrer une de nos fêtes ! Je n'ai vu personne porter de l'intérêt à nos fêtes ! Personne y participer ! Personne ! Et toujours je vois des musulmans fiers et heureux de célébrer les fêtes chrétiennes et païennes ! Il n'y a de puissance ni de force, si ce n'est en Allah le Très Grand !
En ces temps où beaucoup de musulmans participent aux fêtes de Noël en achetant même des sapins qu'ils exposent chez eux, qui participent en masse au jour de l'an et ses débordements moraux et physiques, j'ai jugé bon d'exhorter mes frères et sœurs en prenant l'exemple fictif de Pierre pour endiguer ce mal dont souffrent les musulmans aujourd'hui ! Aurions-nous un manque de fierté d'appartenir à une communauté dont la religion a été merveilleusement parachevée par Dieu lui-même ? A-t-on besoin de se mêler aux égarements des chrétiens et des athées après que Dieu nous ait donné la meilleure religion ?!
Qu'Allah nous guide et fasse qu'on soit fier de notre religion et ses beaux principes et fasse qu'on rejette les actes des polythéistes incroyants et égarés !
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wa 'aleikoum salaam
Merci, frere gorinké pour ce récit exhortative ça donne à réfléchir!!!
Le prophète (qpssl) avait 63 ans, il était bien fatigué et avait beaucoup donné ! Il avait traversé tellement d'épreuves: il avait été orphelin, il avait perdu son père, sa mère, son grand-père, son oncle, 7 de ses enfants étaient morts (4 filles et 3 garçons) deux de ces filles lui avaient été renvoyées, divorcées des fils d'Abou Jahl, avec lesquels elles avaient été mariées avant la révélation. Il avait été frappé, insulté de tous les noms, rejeté par 26 tribus auxquelles il avait proposé de l'accueillir, la femme qui avait partagé 25 ans de sa vie et avait été pour lui un soutien considérable était morte, son honneur était entaché pendant un mois avec l'histoire (fausse) de la trahison d'Aïcha, il avait mené près de 29 batailles en 8 ans, à 55 ans passés, dans des conditions d'extrême dureté à cause de l'environnement hostile, la chaleur et les longs trajets dans le désert d'Arabie! Il avait été blessé à la tête d'un coup d'épée qui avait cassé son casque faisant pénétrer son bout métallique dans sa joue... (tout cela pour que tu deviennes musulman(e))...
Tout cela fit qu'à 63 ans, il n'était plus capable d'accomplir les prières surérogatoires debout et les accomplissait donc assis. Lorsqu'on lui demanda: « Tu pries assis ? Qu'as-tu ya rassoul'Allah ? », il répondit: « Je me suis fatigué à force de me soucier des gens. »
Omar lui dit: « Tu as des cheveux blancs ô messager d'Allah! » Il lui répondit: « Houd m'a fait vieillir! » (Il s'agit d'un bout de verset qui dit 'demeure sur le droit chemin comme il t'est commandé...')
Cette année là, il sortit pour le pèlerinage d'adieu et répéta : « Ô gens! Prenez de moi (en me regardant pour m'imiter) vos actes de dévotion, peut-être que vous ne me trouverez pas à cet endroit après cette année! »
Puis a été révélé le verset : « J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j'agrée l'Islam comme religion pour vous »
Les gens furent heureux en apprenant ce verset sauf Abou-Bakr qui pleura!Lorsqu'on lui demanda ce qui le faisait pleurer, il répondit: «C'est (ce verset) l'annonce de la mort (faire-part de décès) du prophète (qpssl)!
C'est le faire-part du décès du prophète (qpssl)! »
[En effet, Abou Bakr avait du discernement, puisque si la religion était parachevée et le message fini, la mission du prophète (qpssl) était arrivée à son terme et donc son existence sur terre aussi!]
Puis le prophète (qpssl) tomba gravement malade pendant treize jours...Neuf jours avant sa mort, le dernier verset est révélé: « Et craignez le jour où vous serez ramenés vers Allah. Alors chaque âme sera pleinement rétribuée de ce qu'elle aura acquis. Et ils ne seront point lésés »
Huit jours avant sa mort, il dit: « Mes frères d'Ohod (les martyrs) me manquent! Je veux leur rendre visite. » Il alla les voir et leur dit: «Assalam aleykoum martyrs d'Ohod! Vous êtes les précurseurs et je suis, inch'Allah, le suivant. »
Sur le chemin du retour, il se mit à pleurer, et ses compagnons lui demandèrent : «Qu'est-ce qui te fait pleurer ya rassoul'Allah? »Il répondit: « Mes frères me manquent! » On lui dit alors : « Ne sommes-nous pas tes frères? » Il dit : « Non! Vous êtes mes compagnons! Mes frères sont des gens qui viendront après moi, croiront en moi alors qu'ils ne m'ont pas vu! »
[Il a pleuré tellement tu lui manquais! Et toi t'arrive-t-il de le pleurer?] Puis son état de santé s'aggrava.
Il rassembla alors ses épouses, chez Maymouna, et leur dit : « M'autorisez-vous à me faire soigner chez Aïcha ? » [As-tu vu les bonnes manières et le noble comportement envers ses épouses?
Il souhaitait passer les jours de sa convalescence chez Aïcha, ce qui veut dire qu'il ne pourrait pas voir ses autres épouses aux jours habituels, puisque chaque épouse avait son jour]
Elles l'autorisèrent à aller chez Aïcha. Il voulut alors se lever, mais n'y parvint pas! Vinrent alors Ali et Al Fadl pour le soutenir et l'aider à se déplacer jusque chez Aïcha. Les gens virent dans quel état était le prophète (qpssl). Inquiets, ils se rassemblèrent dans sa mosquée sans boire ni manger et attendirent des nouvelles.
Le prophète (qpssl), chez Aïcha essuya la sueur de sur son front et dit: «La ilaha illa Lah! Certes la mort a ses moments d'agonie.»
Puis il demanda : « Qu'est-ce que ce bruit?' (Le bruit venait de la mosquée car sa maison n'était séparée de la mosquée que par une porte avec un rideau). On lui dit alors: « Les gens se sont rassemblés, ils ont peur pour toi. » Il dit: « Emmenez-moi à eux!»
Une fois à la mosquée, il dit: « Ô gens! On dirait que vous avez peur pour moi? » Ils répondirent: « Oui! Ô messager d'Allah! » Il répliqua : « Ô gens! Mon rendez-vous avec vous n'est pas ici-bas! Mon rendez-vous avec vous est aux abords du bassin (le jour du jugement dernier)!
Par Allah! C'est comme si je le voyais de là où je suis! Ô gens! Par Allah! Je ne crains pas la pauvreté pour vous! Mais (bien au contraire), je crains pour vous (les mondanités de) la vie d'ici-bas! (Je crains que) vous vous la disputiez comme ceux qui vous ont précédés, et qu'elle vous fasse périr comme elle les a fait périr!! Ô gens! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Je vous recommande de prendre soin de vos femmes! Ô gens! Je vous en conjure pour la prière! (Ne l'abandonnez pas!)
Ô gens! Si j'ai fouetté (injustement) le dos de quelqu'un (d'entre vous) voici mon dos, qu'il vienne me rendre la pareille!
Si j'ai souillé l'honneur (ou réputation) de quelqu'un, voici mon honneur qu'il me rende la pareille!
Si j'ai pris de l'argent à quelqu'un, voici mon argent qu'il me le reprenne et qu'il ne craigne pas la rancune, elle n'est pas dans ma nature!
Jusqu'à ce que je retrouve Allah avec une âme saine et pure. »
Puis il a dit: « Ô gens! Allah a proposé à un serviteur de choisir entre la vie d'ici-bas et la rencontre d'Allah et il a choisit la rencontre d'Allah!
[Seul Abou bakr comprit que le serviteur dont il parlait était lui-même, alors il se leva, coupa la parole au prophète (qpssl) et lui dit: « je sacrifie tout mon avoir pour toi! Je sacrifie mon père pour toi!
Je sacrifie ma mère pour toi! Je sacrifie mon enfant pour toi! »
Les gens ont regardé Abou bakr avec désapprobation et réprimande (car il avait interrompu le prophète (qpssl) (psl) ce qui était un véritable sacrilège !). D'ailleurs les compagnons, dans les récits, utilisaient tous la même formule pour décrire à quel point ils étaient attentifs lorsque le prophète (qpssl) commençait un prêche : « Nous l'écoutions (et nous ne bougions pas) comme si nous avions (chacun) un oiseau sur la tête (et que nous craignions qu'il ne s'envolât, effrayé, si nous bougions)].
Le prophète (qpssl) leur dit: Ô gens! Laissez Abou bakr! (Ne le réprimandez pas!) Par Allah! Aucun d'entre vous ne nous a rendu service sans qu'on l'ait récompensé! Sauf Abou bakr! Je n'ai pas pu le récompenser, alors j'ai laissé sa récompense à Dieu!
Puis, il leva les mains et fit des invocations: « Qu'Allah vous mette à l'abri! Qu'Allah vous assiste! Qu'Allah vous honore! Qu'Allah vous préserve! Qu'Allah vous consolide ! Ô gens! Passez mon salam à quiconque me suivra de ma oumma jusqu'au jour du jugement dernier! »
[C'est bon! nous sommes en 21ème et le salam est arrivé! Wa'aleyk assalam ya rassoul'Allah! ]
Puis, le prophète (qpssl) retourna chez lui, sa douleur s'intensifia. Il s'allongea tellement il était épuisé. Il vit dans la bouche de son beau-frère, Abdel-Rahmane ben Abou Bakr, un 'siwak' mais il fut incapable de le lui demander. Aïcha, avec sa bienveillance, vit sur quoi le regard du prophète (qpssl) était tombé, alors elle retira le siwak de la bouche de son frère et le mit dans la bouche du prophète (qpssl) (par l'autre bout), mais il fut incapable de se frotter les dents avec car celui-ci était dur et le prophète (qpssl) agonisait. Donc Aïcha reprit le siwak et le mit dans sa bouche, à elle, pour le mouiller et le rendre moins dur, puis elle le remit dans la bouche du prophète (qpssl). [Elle s'en souviendra et dira que ce fut un honneur pour elle que ce soit sa salive qui entre en dernier dans la bouche du prophète (qpssl) juste avant sa mort]. Quelle affection!
Le prophète (qpssl) demanda qu'on le laisse seul avec Aïcha, qui vint à côté de lui, et il posa sa tête sur la poitrine de sa femme.
[Quelle scène magnifique! Le prophète (qpssl) de l'humanité mourut dans les bras de sa femme? Oui! »
Il ne mourut pas l'épée à la main en martyr, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en lisant le Coran, et Dieu sait que cette mort est belle, ni en priant, et Dieu sait que cette mort est belle! Non!
Il mourut dans les bras de sa femme! Tout un symbole!
Un honneur pour la femme musulmane et un message auquel nous avons été très peu attentifs malheureusement!]
Cela montre aussi toute l'affection et l'amour qu'il y avait dans ce couple. Puis, il leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »
En fait, ce qui se passa, c'est que Jibril entra et salua le prophète (qpssl) : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah! » Et le prophète (qpssl) répondit : « Wa 'aleyk Salam ya Jibril!» (Aicha entendit le prophète (qpssl) répondre et comprit que Jibril était présent).
Puis, Jibril dit au prophète (qpssl) : «L'ange de la mort est à la porte, il demande l'autorisation d'entrer et il ne la demandera à personne après toi.» Le prophète (qpssl) lui dit : « Autorise-le à entrer ya Jibril!»
(Aicha entendit cela aussi et elle comprit que l'ange de la mort était présent).
L'ange de la mort entra et dit : « Assalam aleyk ya rassoul'Allah!
Allah m'a envoyé te proposer de choisir entre la vie ici-bas et la rencontre avec Allah. »
Malgré l'agonie, le prophète (qpssl) leva la main et dit : « Plutôt la compagnie du Très Haut! Plutôt la compagnie du Très Haut! »
L'ange de la mort vint alors à côté de la tête du prophète (qpssl) et dit :« Ô toi, bon esprit ! Esprit de Mohamed ben Abdallah! Sors vers l'agrément et les bonnes grâces d'un Dieu satisfait non fâché (contre toi) ! »
La main du prophète (qpssl) tomba! Et sa tête devint lourde dans les bras de Aïcha. Elle raconta: «Je sus qu'il était mort mais je ne savais pas quoi faire! Alors j'écartais le rideau qui séparait ma maison de la mosquée, [Seul le prophète (qpssl) empruntait cette issue qui donnait sur la mosquée. à chaque fois que le rideau était écarté les gens voyaient apparaître le prophète (qpssl) mais pas cette fois-ci.]
J'entrais chez les hommes réunis à la mosquée et je criai : Le prophète est mort! Le prophète est mort! Toute la mosquée éclata en sanglots et aucun d'eux ne trouva la force de se lever de sa place! »
Voilà! Le prophète (qpssl) est mort! Le prophète (qpssl) est mort! Il a été mis en terre et couvert de terre...
Fatema, sa fille, a dit à Anas: Ô Anas! Comment avez-vous fait pour (de bon coeur) couvrir de terre le visage du Messager ?
' Le prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes et ses épouses sont leurs mères...' (XXLIII-6)? Donc, si ses épouses sont leurs mères, lui est un père pour eux! Il l'a dit lui-même : '
Il est mort!...
Louange à Allah, Bienfaiteur Miséricordieux. Paix et bénédiction sur son Prophète, Mohammad Ibn Abdallah, Ultime envoyé d'Allah. Guide des législateurs. L'envoyé d'Allah Mohammad, salla Allah u alihi wa sallam, (à lui bénédiction et salut) a dit: «Qu'Allah embellisse le visage de qui, ayant entendu ma parole, la conserve dans son cœur, puis la transmet à d'autres, telle qu'il l'a entendue».
Mohamed, grandeur et bonté Oh gloire à celui qui nous a sauvé Humble serviteur d'Allah l'exalté A toi seul, on peut se référé Mohamed le bien aimé Exemple sur toi, nous prendrons. Délivre nos coeurs par le pardon. Ton champs d'action est l'islam. Tolérance, amour sont deux graines, semées au fil du temps Certaines fleurs ont fanées d'autres se sont épanouies. La bulbe restera la même, peu importe l'endroit de l'implant Elle gardera cette empreinte que nul ne pourra effacer. Celle du savoir et de la vérité.
Venons et partons ensemble à la découverte de la vie de ce merveilleux personnage nommé Mohammad (que la paix et les bénédictions d'Allah soient sur Lui), car rien de tel n'a jamais foulé le sol de ce monde. L'exemple de ses enseignements peut révolutionner la vie et notre monde, et ce, pour le meilleur.
ya rasulila innaka hubak billah
Abdel Aziz ibn h wazir
Mes Frères, vous qui prendrez lecture de ce livret, nous vous engageons de ne point le faire d'une manière ordinaire. Nous vous demanderons de le lire avec attention par amour pour Allah, de l'étudier si possible et de le diffuser autour de vous. De là il en ressort que l'Envoyé d'Allah, salla Allah u alihi wa sallam, a dit: «Propagez l'instruction religieuse, et même après votre mort vous aurez la bénédiction de ceux qui l'auront mis en pratique.»
En effet le Saint - Prophète, salla Allah u alihi wa sallam, a dit :
«Celui qui étudiera quarante Hadices pour le bienfait de mes partisans, Allah l'élèvera au jour de la résurrection parmi les saints et les Martyrs et lui dira entre au Paradis par la porte que tu désires.
En agissant ainsi, puisse la grâce d'Allah se répandre sur nous,
Amine.