Ainsi donc Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois veut déchoir de leur nationalité française tous ces jeunes, je dirais même toutes ces personnes issues de l'immigration qui commettraient des délits sur l'autorité publique ?À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et s'exile. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s'engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l'Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Il francise alors son nom en Pal Sarközy de Nagy-Bocsa.
Source: Nicolas Sarkozy - Wikipédia
C'est extraordinaire. On dirait que pour Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, la nationalité française c'est le sésame pour entrer au paradis. Souvenez-vous, en 2005, après les mots "racaille" et "kärcher", lorsque Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, était encore ministre de l'intérieur et qu'il y avait les émeutes, il avait annoncé les mêmes mesures contre les jeunes qui commettraient des délits.
On dirait que Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, a un problème avec la nationalité française.
Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, souhaite aussi "que l'acquisition de la nationalité française par un mineur délinquant au moment de sa majorité ne soit plus automatique". C'est extraordinaire. Cela veut dire qu'un gamin qui naît en France, qui ne connaît que la France, qui n'a jamais mis les pieds dans le pays d'origine de ses parents qui sont installés définitivement en France, risque, un jour, de se voir refuser l'acquisition de la nationalité française et se faire expulser dans le pays d'origine de ses parents.
C'est extraordinaire.
Mais, quand c'est un mineur dont les parents sont français pour plusieurs générations qui commet des délits, là, il n'y a pas déchéance de la nationalité.
Mais, au fait monsieur le président Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois,à quel niveau de génération s'applique cette loi? Est-ce que pour quelqu'un dont au moins un des parents est français, cette loi va s'appliquer aussi? Ou est ce que cette loi va s'appliquer seulement aux personnes de la première génération ? Et pour la 2ème génération, c-à-d ceux dont ce sont les grands-parents qui sont immigrés. Est-ce que cette loi va s'appliquer sur eux aussi ? A quel niveau des générations va s'appliquer cette loi ?
En tout cas, au delà du ridicule dans ces déclarations du président Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, qui se fait emboîté le pas par son ministre de l'intérieur Brice Hortefeux, celui-là même qui avait dit (je cite) "quand il y en a un, ça va, c'est quand il y en a plusieurs que ça cause problème", ce sont toutes les personnes, françaises d'origine immigrée, qui se sont senties meurtries.
Elles sont meurtries et indignées par cette amalgame dangereuse faite par le 1er représentant de la France, pays des droits de l'homme, aux yeux du monde entier. Tout ça, pour des calculs politico-politiciens. Tout ça, pour séduire l'électorat du front national à l'approche des présidentiels de 2012.
Ceux que le président de la république, Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois,veut aujourd'hui déchoir de leur nationalité, sont, pour la plupart, les petits-fils de tous ces nègres, appelés tirailleurs sénégalais, venus libérer la France de l'enfer nazi.
C'est bien là une amalgame dangereuse qui pousse même la LIDH (Ligue de Droits de l'Homme) à accuser Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, d'agiter (je cite) "les refrains des années 30".
Monsieur le président Nicolas Sárközy de Nagy-Bocsa, fils d'un immigré hongrois, l'Histoire montre qu'on ne doit pas souffler sur les braises de la haine. A bon entendeur!!!