Une chose est sûre, la nouvelle se relaye sur Internet :
Le président Omar Bongo est mort

NOUVELOBS.COM | 07.06.2009 | 23:39
Le chef d'Etat, âgé de 73 ans, a passé 41 ans au pouvoir.


Le président Omar Bongo (Reuters)
Le président gabonais Omar Bongo Ondimba est mort, a-t-on appris dimanche 7 juin auprès de sources au ministère de la Défense.
Le chef d'Etat, âgé de 73 ans, a passé 41 ans au pouvoir. Il était atteint d'un cancer des intestins.
La présidence gabonaise avait annoncé le 6 mai qu'Omar Bongo avait décidé "la suspension momentanée de ses activités" de chef d'Etat, et que "toutes les audiences présidentielles (seraient) suspendues jusqu'à nouvel ordre".
Selon un communiqué, il voulait "se ressourcer dans le repos" après avoir vécu pendant "plus de trois ans (...) une épreuve particulièrement difficile avec la maladie de son épouse" Edith Lucie, décédée le 14 mars à Rabat.
Le président gabonais n'est plus réapparu depuis en public au Gabon, où sa santé est un sujet tabou.
Depuis quelques jours, sa succession est au centre des conversations dans la capitale gabonaise, même s'il elle n'est jamais abordée de manière officielle.
(Nouvelobs.com avec AFP)
En tout cas, cette disparition, cette mort, si elle seule ne suffit pas comme preuve, alors que faut-il d'autre comme preuve.
Cet homme Omar Bongo vécu plus de la moitié de sa vie dans des palais, sur un trône. Mais, la mort, c'est la vérité.
Toute chose a une fin. Chaque être humain goutera à cette mort. Rien n'est éternel sur cette terre, pas même un "pouvoir". DIEU ne dit-IL pas dans la sourate Annisa' :"Où que vous soyez, la mort vous atteindra, fussiez-vous dans des tours imprenables.".
Quel bel avertissement à tous les autres dictateurs de l'Afrique qui font souffrir leurs peuples dans la misère la plus totale, alors qu'eux-mêmes vivent dans l'opulence la plus totale. Ne savent-ils pas que toute chose a une fin.
Tôt ou tard, l'ange de la mort viendra les trouver du haut de leurs "trônes" pour leur ôter la vie.
Et ce jour-là, ils ne seront que des moins-que-rien. Ce jour-là, ils ne feront plus peur. Ce jour sera leur fin, comme ce soir fut la fin du dictateur Oumar Bongo et avant lui, Lansana Conté, Mobutu Sessé Seko Wasa Banga Manu Mabé.

Souhaitons leur tout de même de bonnes choses dans l'au-delà et que la terre leur soit légère.