De mémoire selon Timéra ce qui explique cette solidarité des travailleurs soninkés entre eux, qu'on peut aussi envisager comme un repli "communautaire", c'est que les migrants Soninkés à leur arrivée en France n'ont pas bénéficié des structures d'accueil et d'aide à l'insertion nationales. Ils ont du donc s'organiser entre eux au sein même de la Communauté. Pour plus de précisions je t'invite à lire les premiers chapitres de l'ouvrage de Timéra "Les soninkés en France". Excellent ouvrage que je te recommande, il coûte environ 22 euros et est également disponible dans certaines bibliothèques.
je connaissais pas cet ouvrage merci pour la réference