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  • A la Une > Monde Le calvaire des Africains noirs de Tripoli, brutalisés par les révol

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Discussion: A la Une > Monde Le calvaire des Africains noirs de Tripoli, brutalisés par les révol

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  1. 02/09/2011, 10h35 #1
    lass77
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    Par défaut A la Une > Monde Le calvaire des Africains noirs de Tripoli, brutalisés par les révol

    Tripoli, envoyé spécial - Comme les vieux rafiots qui rouillent à quai, ils ont échoué là, dans cette crique abandonnée. Le petit port de Sayad, à 25 km à l'ouest de Tripoli, est devenu le refuge de plusieurs centaines d'Africains fuyant les exactions et les arrestations arbitraires dans la nouvelle Libye libre. Huit cents hommes et quelques femmes. Certains sont là depuis deux mois, d'autres sont arrivés la veille, mercredi 31 août.

    Mike et Harrison, deux Nigérians de respectivement 19 et 20 ans, ont tout fait ensemble : l'arrivée en Libye, il y a deux ans, l'embauche chez un installateur de télévision par câble à 200 dinars (120 euros) par mois, et maintenant la fuite. "Avant la révolution, les Libyens étaient déjà arrogants avec nous, raconte Mike. Parfois, ils ne nous payaient pas. Mais depuis février, tout est difficile. Les propriétaires ont commencé à nous chasser en disant que nous étions des mercenaires de Kadhafi. Des jeunes nous attaquaient pour nous voler."

    Les deux compères ont déménagé pour Abou Salim, un quartier jouxtant Bab Al-Aziziya, le grand complexe occupé par Mouammar Kadhafi, et réputé abriter des tribus qui lui étaient acquises ainsi que des combattants de ses milices. "Un jour, on nous a dit de partir, enchaîne Harrison. Nous sommes venus ici." Le lieu est une ancienne garnison italienne, devenue une base militaire navale comme en témoigne une grande structure de béton qui devait être futuriste au moment de sa construction. Après son bombardement par l'aviation américaine en 1986, l'endroit a été abandonné. Des pêcheurs s'en servent, ainsi que des trafiquants de clandestins, manifestement avec la bénédiction des autorités. Les bateaux de pêche, dont nombre sont en cale sèche, ne semblent même plus en état de naviguer jusqu'aux îles de Lampedusa (Italie) ou de Malte, situées en face de la Libye. "De toute façon, personne ne sait les conduire ici", déplore Harrison, qui a élu domicile, avec une vingtaine d'autres, sous la coque d'un navire.

    "LÀ, C'EST DEVENU LA PANIQUE"

    Au fil des semaines et via le bouche-à-oreille, le flux des arrivées à Sayad de ceux pris au piège d'une guerre de plus en plus proche n'a cessé de grossir. Puis les rebelles ont pris Tripoli. "Là, c'est devenu la panique, témoigne Modibo, un Malien. Les Africains comme nous se font prendre aux barrages." Kizita Okosun, originaire de Benin-City (Nigeria), lui, a été arrêté à la maison. "Quelqu'un du quartier à dû me dénoncer. Ils ont volé mes biens et si ma propriétaire n'avait pas été là, je serais mort à l'heure qu'il est."

    Il a été conduit dans un centre de détention provisoire. "Nous étions 59 Africains de toutes les nationalités dans la même cellule, sans eau, sans toilettes, sans matelas. On nous donnait à manger et à boire une fois par jour. Il y a un Malien blessé qui disait qu'il préférait mourir que rester là. Mais ils ne l'ont jamais amené à l'hôpital. Certains gardiens nous battaient, d'autres pas. Jamais ils ne nous ont interrogés." Kizita doit son salut à un Libyen d'origine américaine, revenu au pays pour combattre le colonel Kadhafi et ému par son sort. "Au bout d'une semaine, il a ouvert la porte et m'a dit : “Toi, suis moi!” Il m'a amené jusqu'ici en voiture. Dieu m'a sauvé, mais les autres sont toujours là-bas. Que vont-ils devenir?"

    Et que vont devenir les réfugiés de Sayad ? Ils tuent le temps et l'angoisse dans des parties de foot, qui dégénèrent parfois en pugilat, ou entonnent des cantiques. L'argent et les vivres commencent à manquer. Médecins sans frontières, qui a découvert le campement improvisé le 27 août, effectue des visites journalières pour prodiguer des soins de base. Une réserve d'eau potable de 1 500 litres était en cours d'installation jeudi après-midi. "Mais ce qu'il faut, c'est une protection et une solution pour ces gens-là", souligne François Dumont, de MSF. D'après lui, un autre campement de ce type, plus petit, se trouve dans des fermes au sud de Tripoli.

    "Le jour de l'attaque de Tripoli, les rebelles sont arrivés ici, ils nous ont fait asseoir cinq heures sous le soleil, se souvient Mike. Puis ils sont partis sans rien dire." Les réfugiés africains de Sayad se plaignent d'être régulièrement intimidés par des jeunes du coin, qui viennent tirer en l'air la nuit ou les rançonner de leurs maigres effets. Des jeunes Libyens passent en voiture à vive allure, mais refusent de répondre aux questions des journalistes.

    Les thuwar (combattants rebelles) assurent que le Guide libyen était essentiellement défendu par des mourtazaka (mercenaires). Les Africains rencontrés à Sayad jurent qu'ils ne connaissent aucun mercenaire. La réalité, selon plusieurs sources concordantes, se situe autour d'un tiers de mercenaires africains – essentiellement des Tchadiens, des Soudanais et des Touaregs du Niger et du Mali – dans les forces kadhafistes. A Tripoli, des mercenaires se cacheraient dans des appartements, certains d'entre eux grièvement blessés mais trop terrorisés pour se rendre dans les hôpitaux, où ils craignent d'être livrés à la justice expéditive des rebelles. Les rumeurs d'exactions et d'arbitraire, ainsi que les conditions de détention des Africains alarment de plus en plus les organisations des droits de l'homme.

    Interrogé à ce sujet, Oussama Al-Abed Al-Abed, vice-président du conseil municipal autoproclamé de Tripoli, assurait jeudi : "Il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Ces gens seront jugés tout ce qu'il y a de plus légalement. Mais à l'avenir, les immigrés devront avoir des papiers. L'ancien régime laissait venir n'importe qui et ce n'est pas acceptable." Mais dans la rue, le ton est plus agressif : "Kadhafi a dilapidé tout notre argent auprès des Noirs", se plaignent nombre de Libyens.

    Tous les Africains de Tripoli ne sont pas inquiétés. Certains d'entre eux, connus dans leur quartier, sont protégés par leurs voisins. Mais il arrive aussi que des Libyens noirs soient arrêtés dans ces rafles. Mercredi soir, une vingtaine de femmes gorane et toubou – deux ethnies africaines du Sud libyen, à la frontière tchadienne – campaient devant le complexe sportif de Bab Al-Bahr, où croupissent 210 mercenaires présumés. Elles réclament la libération d'un mari, d'un frère ou d'un fils, tous arrêtés, selon leurs récits, durant la nuit. Elles assurent qu'ils n'étaient pas des miliciens et que les révolutionnaires venus les arrêter en ont profité pour les voler et les battre. Un homme, la barbe fine et les épaules étroites, sort du bâtiment et leur intime l'ordre de se taire : "Vous n'avez pas le droit de ternir la révolution. Ce sont des mensonges." Un instant interdites, elles se ressaisissent : "Alors, c'est ça, la liberté ?"

    Christophe Ayad

    Le monde
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  2. 02/09/2011, 10h42 #2
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    Une situation difficile à imaginer quand d'autres criminels chassent d'autres criminels enfin un monde sans pitié. des images récentes montrent la monstruosité des rebelles au regard des noirs en Libye . Certaines exactions relèvent à des crimes contre l'humanité avait dénoncé amnesty international . Nous savons également que le peuple libyen étant raciste , cette situation nouvelle est devenue une aubaine pour accomplir leur macabre forfait.
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  3. 05/09/2011, 22h29 #3
    lass77
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    Curieusement le sujet n’intéresse pas les forumistes tout comme le dernier sommet du 1er septembre sur la libye à paris où aucun officiel n'a fait allusion à ses massacres racistes dans leur discours .
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  4. 06/09/2011, 08h55 #4
    Fodyé Cissé
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    Curieusement le sujet n’intéresse pas les forumistes tout comme le dernier sommet du 1er septembre sur la libye à paris où aucun officiel n'a fait allusion à ses massacres racistes dans leur discours .
    Il est clair que ce qui se passe, toutes ces tueries d'africains noirs, cette chasse à l'homme orchestrée par les rebelles libyens contre les noirs dans leur pays, ce n'est qu'une information de faits divers pour les occidentaux.

    Vous savez, nous les africains, malheureusement, nous attendons toujours que les occidentaux fassent passer l'information pour qu'on se pluggue dessus. Il suffit de voir les JTs de tous ces pays africains. Ils repassent les informations de la veille des médias occidentaux. Ce sont les médias occidentaux qui vont sur place, nous informe de ce qui se passe sur place. Et nous, en tout cas, tous nos pays de l'Afrique subsaharienne sous-développés, ne faisons que consommer les informations que les médias occidentaux ont bien voulu faire passer.

    Ce sont eux, ces même médias qui ont signalé cette chasse à l'homme perpétrée par les rebelles libyens contre les négro-africains. Mais, comme ce n'est pas important à leurs yeux face à d'autres informations beaucoup plus croustillantes comme sur la traque de Kadhafi, sur le sommet des "amis" de la Libye, alors, ça passe au second plan.
    Mais, ce sont les pays africains, les chefs d'état de ces pays tels que le Sénégal, le Mali, le Burkina, le Tchad, etc. qui devaient monter au créneau en mettant en garde les rebelles libyens. Cela aurait certainement permis de sauver des vies. Mais, ces présidents là sont plutôt occupés par trouver des stratagèmes pour se maintenir le plus longtemps possible au pouvoir que par la vie de leurs misérables compatriotes en danger à Tripoli.

    On peut se demander où est Abdoulaye Wade, lui qui a osé défier Kadhafi au temps fort de la crise en allant jusqu'à Benghazi pour lui demander de partir.
    Que fait-il aujourd'hui pendant que ses compatriotes se font massacrer à Tripoli juste parce qu'ils sont noirs ?
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  5. 06/09/2011, 12h33 #5
    Tribal Cams
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    Salam,

    C'est triste !!!

    REPORTAGE - Soupçonnés d'être d'ex-mercenaires de Kadhafi, de nombreux immigrés subsahariens sont pris pour cible.

    La traque des kadhafistes tourne fréquemment à la chasse aux Noirs. Sur la soixantaine de détenus des cellules du poste de police de Furnaj, quartier de l'est de Tripoli, quarante sont des Noirs d'origine africaine. «Kadhafi a fait venir des mercenaires de toute l'Afrique noire, auxquels il donnait la nationalité libyenne», explique M. Fathi, un ingénieur en construction qui fait office de commissaire auxiliaire à titre temporaire. «Regardez, voici les cartes que nous avons trouvées sur les prisonniers !»

    Il montre une série de pièces d'identité plastifiées portant la mention : «Comité africain pour la défense du roi des rois d'Afrique.» Sur les cartes figurent aussi des noms d'ethnies tchadiennes ou nigérianes, Toubou, Ibo. «Kadhafi s'était fait élire roi des rois d'Afrique, et importait ses mercenaires pour combattre le peuple libyen», explique M. Fathi. Si la présence de combattants étrangers dans les rangs des kadhafistes s'est avérée dans plusieurs cas, elle a surtout contribué à alimenter le mépris traditionnel des Libyens pour les Noirs d'Afrique, confinant dans bien des cas au racisme le plus élémentaire.

    Un prisonnier est extrait de sa cellule. Yassine Bare est sénégalais, et n'en mène pas large. «Je suis carreleur. Je n'ai jamais combattu pour Kadhafi», assure-t-il. «Comment as-tu eu cette carte de résident si tu n'étais pas un de ses soldats ?», interroge M. Fathi.

    «C'est vrai, les Libyens n'aiment pas les Noirs, mais c'est à cause de leurs crimes», commente un policier dans l'assistance.
    Boucs émissaires

    La politique panafricaine de Kadhafi, ainsi que l'attrait de la Libye, pays pétrolier relativement prospère accessible par la route depuis l'Afrique sahélienne, attirait de nombreux immigrants d'Afrique noire. Accusés d'être responsables de la hausse de la criminalité, ils avaient été l'objet de pogroms. En 2000, ces émeutes raciales avaient fait plusieurs dizaines de victimes.

    La révolution libyenne a durement touché ces immigrés, estimés à plus d'un million de travailleurs peu qualifiés. La décomposition de l'État en a d'abord fait des victimes toutes désignées pour des criminels. Les fuyards qui avaient réussi en mars dernier à passer en Tunisie racontaient tous comment ils avaient été rançonnés à leur départ. Ceux qui sont restés bloqués dans le pays ont subi le même sort.

    La victoire des rebelles les a ensuite transformés en boucs émissaires, chacun étant soupçonné d'avoir été un mercenaire de Kadhafi à moins de pouvoir apporter la preuve formelle du contraire.
    Volés et battus

    Pris au piège, ayant tout perdu, plusieurs centaines de ces malheureux se sont réfugiés dans le petit port de pêche de Sidi Bilal, à Janzour, ville côtière à environ 12 kilomètres à l'ouest de Tripoli.

    Campant depuis des semaines à bord de chalutiers rouillés ou sous la coque de navires à terre, ils n'ont nulle part où aller. On leur a volé leurs économies, leurs téléphones, et souvent leurs papiers.

    «Ce n'était déjà pas très marrant avant la guerre de vivre en Libye», explique le pasteur Anthony, un Nigérian de 32 ans, originaire de Benin City, ouvrier en construction en même temps que ministre pentecôtiste de la Church of God Mission. «La façon qu'avaient les gens de nous traiter n'était pas correcte. On refusait parfois de nous payer notre salaire, on nous jetait des pierres dans la rue, où bien on se faisait arrêter par la police sans raison. Avec la guerre, c'est devenu pire. Je suis prêt à aller travailler n'importe où, sauf en Libye.»

    Les gardes libyens de ce camp de réfugiés improvisé affirment que Kadhafi avait fait venir ces Africains dans le petit port avec l'intention de les envoyer vers l'Europe comme immigrants clandestins. «On ne sait pas quoi faire avec eux, explique l'un des gardes. Le CNT va prendre une décision.»

    Mais certains de ces immigrés affirment avoir été amenés à Sidi Bilal par les rebelles. «J'ai été arrêté par les révolutionnaires et amené ici», dit Moussa Abou Mohammed, un laveur de voitures originaire de Kano, au Nigeria, qui travaillait en Libye depuis quatre ans. «Des Libyens m'ont volé tout mon argent et ma carte SIM. Seule l'ONU peut nous sauver.»

    Justice Hassan, un plâtrier ghanéen, a été attaqué dans sa chambre il y a trois mois par des hommes armés dans le quartier de Furnaj, à Tripoli. «Je leur ai dit que je n'avais pas d'argent. Ils m'ont donné un coup de couteau, dit-il en montrant une longue cicatrice sur son abdomen. J'ai été emmené à l'hôpital par le fils de mon propriétaire. Mais je n'ai plus rien, nulle part où aller.»

    Par Adrien Jaulmes
    Le Figaro
    Tchooo
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