Non seulement qu'il prend fait et cause pour une certaine catégorie de la population en stigmatisant d'autres, mais il le fait tellement mal et de façon inélégante, à telle enseigne que l'on peut se demander comment les français ont pu élire un président pareil. Nous savons déjà, comme l'avait dit Roger Garaudy, que : "L'histoire est écrite par les vainqueurs". Mais même les vainqueurs y mettaient de la forme. L'histoire n'a rien à foutre d'un malheur. Son rôle est d'analyser, d'étudier les faits tels qu'ils s'étaient produits à un moment du passé. En ce qui me concerne, je n'ai jamais vu, ni entendu, ni étudié que l'on peut forcer la main de l'histoire à reconnaitre les malheurs des uns au détriment de ceux des autres. J'ai toujours été d'accord avec la méthode de Fénelon quand il disait, dans une lettre adressée à l'académie française, que : " Le bon historien n'est d'aucun temps, ni d'aucun pays ; quoi qu'il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien."
Je suis sûr que les bons historiens français feront tout pour que seule l'histoire académique, objective soit la seule qui est enseignée dans les écoles laïques et républicaines.