HAADAMA RENME NI JIKKU NIA ,AN JIKKU GA NA BONO AN DUNA BONO
Mais toi qui es à Dakar, peux-tu nous expliquer ces choses-là?
Pourquoi le phénomène ne touche que les lycées?
Pourquoi le Sénégal seulement dans la sous-région?
Ne s'agit-il pas d'une épidémie ou une pandémie, je ne sais pas moi?
Trop de questions qui me pressurent l'esprit et auxquelles je ne trouve pas de réponses.
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 22/04/2008 à 14h44
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
il y'a des gens qui disent que ça du aux tenus indescents des jeunes filles et que c'est un chatiment divine et d'aucun disent qu'il y'a un jinné(diable) au niveau du lycee lamine guèye (mais aujourd'hui c'est un autre collège qui est affecté) mais jusqu'à present il n'y a pas encore de preuve claire chacun l'inerprète de sa manière surtout les marabouts qui veulent faire de la clientèle
et hier en écoutant une emission "wax sa xalaat" sur walf fm il y'a eu un inervenant qui a dis àa lui est une fois arrivé au niveau du lycee lamine guèye et ce jour avant de tomber il avait froid et sentait un odeur nauseabonde ,et ce dernier est un garcon mais aujourd'hui ce ne sont que des filles qui tombent ce qui est plus etonnant
HAADAMA RENME NI JIKKU NIA ,AN JIKKU GA NA BONO AN DUNA BONO
Salam
Moi, c'est surtout la généralisation qui m'inquiete.
Des filles qui tombent en hystérie j'en ai vu pas mal quant j'étais au Complexe Saint Michel De Dakar.
J'avais une fille dans ma classe même qui à chaque fois tombait en criant. Elle devenait raide et faisait des convulsions.
Un jour il y avait 5 filles qui ont eu une crise en même temps. C'est comme si les cris alertaient les autres filles qui sont symptomatiques.
A chaque fois, on les anemait à l'infirmerie. Elle reprenaient les cours une heure apres ou rentraient chez elle en cas de grosse fatigue.
Le plus inquietant est le nombre de filles qui piquent cette crise. Peut être c'est dû à l'imensité du Lycée Lamine Guèye qui compte plus de 500 Eleves. Mais j'atteste que j'ai assisté à des crises de ce genre au Complexe Saint Michel ( 2003-2005) .
Les explications ( tenus indescents ) ne tiennent pas à mon avis. Les filles au Sénégal se sont toujours habillés de manière provocante depuis des lustres.
FB : bakelinfo departement de Bakel
Franchement cette histoire est bizarre;il n'ya aucune explication scientifique,apres les 50 filles;il y'a eu 21 filles toutes au meme lycée;il y'en a qui disent que l'endroit est hanté;quelque soit les explications des uns et des autres,; force est de reconnaitre que cette histoire est tres bizarre
les ames les plus sensibles aux fleurs sont egalement celles les plus sensibles aux epines
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
APRES LE LYCEE LAMINE GUEYE: Une vingtaine d'élèves dont deux garçons piquent une crise d'hystérie collective au C.E.M. Khadim Rassoul de Castors
La vague de crises d'hystérie qui s'est emparée, il y a peu, du lycée Lamine Guèye s'est attaquée aujourd'hui au Cem Khadimou Rassoul de Castors où une vingtaine d'élèves dont deux garçons ont été évacués à l'hôpital par les sapeurs-pompiers.
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Ce fut la ruée des parents d'élèves - informés de scènes d'hystérie au Cem Khadimou Rassoul - vers cet établissement. Debout dans la cour, le regard errant, elle cherche désespérément son enfant. Le vacarme autour d'elle, apparemment, ne l'incommode point. Les cris de panique, elle n'y prête pas attention, non plus ! Tout ce qui compte en ces moments-là : capter dans son champ de vision la silhouette de la personne recherchée. « Je ne le vois pas, je ne sais pas s'il fait partie des élèves évacués », dit la dame, les yeux larmoyants. Elle est au moins rassurée d'une chose : il n'y a eu que deux garçons parmi la vingtaine d'élèves transportés à l'hôpital. Quelqu'un vient heureusement lui dire que son enfant n'est pas dans le lot des « hystériques ».
Le déclarant responsable gardant son calme indique aux élèves et au personnel de son établissement la conduite à tenir. Biram Ndiaye, aidé de ses deux enfants et de son équipe, parvient à faire évacuer l'école. Une heure plus tôt, il avait tenté - au moyen de la musique distillée par le haut-parleur - de couvrir les cris aigus d'élèves pris de convulsions. Son récit : « C'est à la reprise des cours, à 10 H 15, qu'une jeune fille a crié à tue-tête ; elle fut imitée par ses camarades ». M. Ndiaye pense que ceux-ci se sont mis dans la cadence de leur condisciple par « contagion mentale ».
« Il est arrivé qu'un élève de notre école soit sujet à des crises, mais à chaque fois, on a été amené à convoquer le ou les parents qui nous avaient signalé auparavant l'état de santé de leur enfant », confesse l'assistante sociale appuyée dans ses propos par l'infirmière. Celle-ci a d'ailleurs précisé qu'ils ne sont pas nombreux, les cas de crise.
Le Directeur de l'école rejette l'idée selon laquelle, son Cem serait possédé par des esprits maléfiques. Il croit qu'il y a eu de l'exagération quelque part. M. Ndiaye a reçu la visite du commissaire Sène de Dieuppeul, du maire de la localité, Waly Fall…
Les cours ont été interrompus jusqu'à nouvel ordre, décision prise par la direction.
Source: Ferloo.com
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J'avoue que c'est trop bizarre cette histoire !!!
Les valeurs qui font de moi ce que je suis sont tirées des valeurs du Sooninkaaxu. Ces valeurs sont mes repères…
Nul bien sans peine !!!