Nous évitons la médisance avec la famille
Nous évitons la médisance avec les voisins, les amis, les frères, les soeurs en Allah...

Un mari qui rencontre sa femme et lui colporte des ragots ou lui critique ses frères
s'il dit vrai, c'est un médisant, s'il a menti c'est un calomniateur


Une femme qui répète tout ce qu'elle entend, sans chercher le vrai du faux, à son mari et critique ses soeurs en Allah à son mari, et émet des doutes sur elles, car celui-ci croit que sa femme ne mentira jamais
si elle dit vrai, c'est une médisante, si elle a menti, c'est une calomniatrice

Un mari qui écoute sa femme médire et ne lui fait pas de rappel mais l'encourage en l'écoutant,
tombe dans la médisance


Une femme qui écoute son mari médire et ne lui fait pas de rappel mais l'encourage en l'écoutant
tombe dans la médisance

Evitons de médire même de la façon la plus secrète possible car Allah dévoile Tout ce qu'Il veut, et repentons-nous.
Allah, Houwa Lsami3 ou Lbassir

Lorsque alors on les conseille, certaines de ces personnes n'ont d'autre réponse que de dire : « Je n'ai pas menti. Je n'ai dit que la vérité à son propos ».

Le Prophète صلى الله عليه وسلم a pourtant été interrogé sur la médisance alors qu'il en parlait, et il dit : « La médisance consiste en le fait d'évoquer ton frère à propos de choses qu'il détesterait [voir révélées]. Les compagnons lui dirent : « Qu'en penses-tu si ces choses avérées chez mon frère ? » Le Prophète صلى الله عليه وسلم dit : « Si ce que tu dis est avéré, alors tu as médit à son propos. Mais si ce n'est pas le cas, alors tu l'as diffamé. »



« Ne médisez pas les uns des autres. L'un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort ? [Assurément non], vous en auriez horreur. Et craignez Allah... »
Sourate Les Appartements ; verset 12



Le Prophète صلى الله عليه وسلم« ...passa devant des gens qui avaient des ongles en cuivre avec lesquels ils s'écorchaient le visage et la poitrine. Il dit alors : « Ô Jibril ! Qui sont ces gens ? » Et celui-ci de répondre : « Ce sont ceux qui mangeaient la chair des hommes et s'attaquaient à leur honneur. » »

(Rapporté par Abû Dâoud)