Je suis sûr qu’au cours de votre vie il vous est arrivé de vivre des situations inédites !!!
Racontez-nous comment cela s’est passé !
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Je suis sûr qu’au cours de votre vie il vous est arrivé de vivre des situations inédites !!!
Racontez-nous comment cela s’est passé !
J’ouvre le bal avec mon dernier voyage de ce mois de mai au Sénégal franchement je pensais y laisser la vie.
Trois jours après mon arrivée j’ai décidé de ma rendre en ville je prends un taxi arrivée au niveau de l’espace qui se trouve juste avant le siège du parti socialiste je vois trois individus sauter du mur avec des pneus. Le premier en balance un et quand je vois le geste je me suis dit il est con ou quoi en pleine circulation comment ce mec peut il balancer un pneu comme ça sur la route ..mais j’avais pas tout compris !!! les autres se mettent à jeter les autres pneus et le taxi où j’étais s’est arrêté devant ces gars qui lançaient des injures et soudain je vois un d’entre eux avec une bouteille rempli d’essence et les autres qui criaient « talal..talal.. » (ce qui veut dire en wolof allume allume). Il s’est mis à verser l’essence sur les pneus et les voitures notre taxi en reçoit un coup sur le capot et il sort une allumette …Là franchement avec le taximan tous les deux quand on a vu cela de nos propre yeux c’était sauve qui peut avant que cela ne s’explose. Impossible de faire demi tour car coincé par les autres voitures. Heureusement que la voiture devant nous ayant du la situation avait plus de marge de manœuvre que nous et a foncer devant. Ce qu’à suivi notre voiture et juste dernière nous le mec n’a pas hésiter une seconde à allumer.
En quelques fractions de secondes j’ai vu ma vie se terminer.
Il y avait un policier dans les environs mais qui n’a pas bougé d’un iota .. Tu parles …
HAdiya est de retouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur! lol dur dur la solitude! franchement c'est chaud cette affaire, ça aurait pu tourné mal ! Dieu merci !
je vous raconte le mien
c'etais un jour et dans votre quartier Hadiya à savoir Ben tally (un quartier de dakar) ,je quiter chez un amis qui ma acconpagner pour prendre un car ,apres lui avoir dit aurevoir soudain un car rapide arrive,voulant monter à ma grande surprise je vois un gars devant la porte du car faisant semblant de monter et s'est lis devant la porte du car , il ne passe pas et personne d'autre ne peux passer .Moi qui ne comprend rien de son jeu 'attend avec patience qu'il monte mais "ndeketé yoo" il est avec quelqu'un d'autre qui etais derrière moi et qui voulais prendre mon porte monaie qui etais dans ma poche de devant en haut ,c'est à dire la poche d'en haut d'un sabador(grand boubou),vu le poid de mon "calpé" ,j'ai senti son geste et je l'ai pri la main dans le sac et il fuit tout à coup ,et ensuite je vois l'autre qui s'etais pointé devant la porte du car descendre .C'est la que j'ai compris leur plan
Attention au pik poket quand vous prennez un moyen de transport surtout ces cercueils roulants(car rapide)
Une autre situation inédite qui n’est arrivée en 1995 lors de la traversée du fleuve Sénégal pour rejoindre la rive Mauritanienne de Rosso.
Cet incident s’est passé juste après la réconciliation entre le Sénégal et la Mauritanie mon père me demanda de raccompagner ma mère pour aller voir la famille à Nouakchott.
A peine arrivée à Rosso Sénégal le bac était déjà parti depuis 5 minutes et retour était prévu le soir. Il était impossible pour nous d’attendre jusqu’au soir d’autant plus que la cadette de la famille était avec nous. Une seule alternative ne présentait à nous : les pirogues motorisées une pratique très courante donc je suis parti voir la personne responsable de la pirogue qui devait rejoindre la rive mauritanienne je demande l’inscription de ma mère, ma sœur et moi-même et m’acquitte des dus pour ce qui est de nos places personnelles et des celles des bagages.
Une fois le nombre de personnes devant prendre la pirogue atteint le chargement a été effectué et la traversée entamée. Arrivée au milieu du fleuve le mec coupe le moteur et procède au contrôle des billets et bagages (franchement quelle idée !!!). Arrive notre tour je donne les reçus des nos places et ceux des bagages ensuite montre physiquement lesquels sont les bagages. Soudain le mec me dit ce que vous avez payé pour les bagages n’est pas assez et que l’on devait payer plus et m’exhorte à payer de suite sinon on descend avec nos bagages !!!
J’avais plus de CFA et je ne voulais sortir l’argent que j’avais en Ouguiyas (monnaie mauritanienne).
Le gars commence à nous menacer n’ayant pas le choix et voyant ma mère très inquiète j’ai commencé à chatter le mec en wolof en lui promettant de lui donner le reliquat dû à mon retour. J’ai fais semblant de lui demander son prénom et nom. Nous sommes restés au moins quinze minutes au milieu de l’eau. Finalement il accepta le compromis et alluma le moteur pour acheminer la traversée. Vous imaginez un peu la situation il y avait au moins une vingtaine de personnes dans la pirogue si cela avait tourné au vinaigre ???
Jamais j’oublierai ce qui s’est passé ce jour là.
Ceux qui ont déjà effectué cette traversée avez-vous vécu le même système de contrôle ?
Dis donc Hadiya il se passe des choses bizarres au senegal:)
Alors pour moi, c'est quelque chose qui s'est passé en france, je rentrais de chez ma mère avec ma fille et je suis passé par le stade de france, bouchon donc on avançait comme des escargots, j'ai vu des gars, noirs et arabes qui marchaient sur le trottoir et comme par hasard, je présentais trop quelque chose, deux voitures plus tard, il y avait une belle voiture, et le renoi s'est approché de la voiture lui a cassé la vitre côté passager et lui a volé sa serviette, mais c'est un truc qui m'a choqué je sais que cela existe mais le voir en direct, c'est chaud, certaines personnes sont qu'en même sorti de leur voiture pour leurs courirent après mais sans succès, j'ai halluciné et la je me suis dit "toujours les mêmes"
Salam,
J'en ai une bonne à raconter!;D
Pendant l'été 1997,j'avais 14 ans à l'époque, je suis parti au Sénégal, à Bokidiawé,avec ma mère, ma tante et ma petite soeur.
Apres avoir passé quelque temps à Bokidiawé, nous avons decidé d'aller à Kaédi en Mauritanie.Mon oncle habitant à Kaédi, était à Bokidiawé à l'époque, donc il a décidé de nous accompagner.
Donc, nous avons pris la charette jusqu'au fleuve, avons pris la pirogue puis la voiture de l'autre coté de la rive.
A l'entrée de Kaédi, nous nous sommes fait arreté par la police.Le policier "naar" nous demande nos papiers en langue puular, mon oncle essaie de lui parler mais il insiste en demandant que je descende.
Je me demande encore aujourd'hui pourquoi il n'a demandé quà moi de descendre.;D
Donc, je descends.:confused:
Il discute avec mon oncle une bonne dizaine de minutes puis nous dit que je vais aller au commissiarat étant donné que je suis "sans-papier" :o
Je n'étais pas passé par l'aéroport avec le visa et tout le tralala!
Me voilà, emmenée au commissiarat, placée sur un "Dago", j'ai échappée de peu à la cellule:-\
Pendant ce temps, mon oncle, ma tante, ma mère et ma soeur sont allés dans la concession familiale prévenir mes autres oncles.
Finalement 3/4 heure plus tard, j'ai été libérée du "centre de détention";D car un de mes oncles travaillait, à l'époque, au commissiarat.
Ca a dû lui faire bizarre de recevoir un coup de fil en pleine nuit lui informant qu'une de ses nièces était détenue au commissiarat.
J'ai du me présenter tous les matins pendant 3 jours au commissiarat jusqu'à que l'on me procure un laisser-passer.
C'etait la première fois que je mettais les pieds en Mauritanie, j'en ai eu pour mon grade!!!;D
J'en ris aujourd'hui mais à l'époque c'était pas marrant:-\