tu peut etre plus precis dans ton message?
Representatif de quoi? des criteres de selections du chef de village?
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moi je suis de N'diéo un village en mauritanie mon grand père IDRISSA FATOUMA CAMARA était chef de village il est mort en 94 de plus du coté de ma mère, qui était de bouanze son grand père DRAMANE BIRAMA était chef de village nous on est les DIMINANKO les CAMARA DJALALY , je suis fière de ma famille car on est partout en mauritanie on à mème des "marémmou" au Mali on est soudé c'est ça la force des soninké !!!!
pour ètre chef de village il faut que tu sois le plus vieux du village alors bonne chance!!!!!
SALUT c'est seta camara je me suis trompé en fait dioulou dramane n'était pas chef de village mais c'était boulaye harouna camara qui était chef de village , c'est le grand pére de ma mère dramane birama qui était chef de village bien avant boulaye harouna
salut a tous et a toutes
je voudrais savoir le nom de famille du chef de village de (Boké djambé) et les noms de famille qui peuvent occuper ce poste. et je voudrais aussi savoir les noms de famille qui existe a (boké djambé).
Merci
je m'appelle diadie malick soumare c'est nous chef du village de saboucire les soumare dicko actuellement c'est notre pere moussa demba soumare qui est le chef du village de saboucire.avant moussa demba il y'avait Hanoune Issa soumare qui a fait la guerre du sahara et il etait un homme brave apres lui c'est Bilaly Tata.
pour le village de diaguily, sillima néné est décedé cependant ceux sont toujour les diabira les débé goumou
Salut mes tantie Djambéré et nièce Mariam, en effet feu Silman Néné a été le chef du village de 1988 jusqu'au 23 Janvier 2008 date de son rappel à ALLAHOU SOUB'HANA WA TALHA après deux dédennies de bons et loyaux services au profit de ses administrés.
C'est mon cousin Moussa Bouna Diabira qui lui a succédé et a été intronisé récemment.
Bonjour!
En milieu soninké, il revient généralement à la famille qui a fondé le village ou la première à s'y installer d'assurer le fonction de chef de village. Les critères sont telles qu'il revient toujours au doyen de cette famille d'assurer ce rôle. Le titre de chef est viager, c'est-à-dire seule la mort doit normalement faire quitter un chef de village de son guja (trône). Même si un chef venait à perdre la tête, il restait chef de village. Dans ce dernier cas, il était secondé par son frère cadet, son cousin ou son fils. Il est aussi à ajouter à ce critères qu'en milieu soninké, la chefferie de village est une affaire d'homme et de hooro (gens de condition libre). Une femme et un kome (quelqu'un de condition servile d'un point de vue social) ne devenaient jamais chef d'un village. J'espère avoir répondu à ta question très pertinente qui mérite vraiment réponse. Bien à toi.