Salam Makalou
Tu as été dépéché par l'agence Reuters toi ...
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Non, je dois prendre ma revanche sur quelqu'un qui même avec les élèments formels ( ADN, Sperme ) dit que cette africaine, elle a bien précisé " Africaine " a menti.
En effet, " Moussa Soro ko yani " , pour lui c'est impossible.
Donc, si DSK parlait et disait la vérité, ;D sur le " comment " son ADN et son sperme se sont retrouvés sur les habits de Nafissatou Diallo, on apprendra beaucoup de chose de cette histoire... Certains fermeront leur bec.
J'étais peiné pour lui, mais à l'allure où les choses vont, j'ai déchanté. Il a pas vraiment fermé sa braquette ou ouvert intelligemment. Guilty or Not Guilty, we are waiting, DSK. Tell us the truth.
Même un bouc ne séduit pas en se jettant sur la chèvre... Il essaie de faire des gestes et des cris " animalement romantiques " pour arriver à ses fins.
Fox News affirme mardi connaître la teneur de la conversation entre Dominique Strauss-Kahn et la plaignante, la femme de chambre Nafissatou Diallo. DSK aurait dit pendant l'agression sexuelle présumée commise dans la chambre du Sofitel de New York "Baby, tu sais qui je suis? Tu sais qui je suis?". Le média américain indique tenir ces informations de sources proches de l'enquête.
La femme de ménage guinéenne aurait supplié à plusieurs reprises son agresseur présumé de mettre fin à ses gestes déplacés par des ""Please, please stop. No!". Toujours selon ces mêmes sources, la femme de chambre ignorait bel et bien qui occupait la chambre, facturée à 3000 dollars la nuit.
Le jour des faits, Diallo serait tombée nez à nez avec un Dominique Strauss-Kahn nu, sortant de la salle de bain. Celui-ci aurait ensuite touché les seins de la plaignante, tentant de la coucher sur le lit, avant qu'elle ne le prie de s'arrêter.
Selon les sources de Fox News, la femme de chambre de 32 ans étant très croyante, elle aurait immédiatement posé ses mains sur ses yeux afin de ne pas voir DSK dans son plus simple appareil. Il aurait alors couru vers elle dans l'entrée de la suite, touché ses seins et amené celle-ci jusqu'à la chambre proprement dite. Des draps blanc tachés de sang auraient même été emporté par la police, selon Fox News.
La mère celibataire aurait essayé plusieurs stratagèmes pour se dépêtrer des griffes de son agresseur présumé. "Mon chef est dans le couloir", aurait-elle prétexté, sans que cela n'émeuve DSK. "Arrêtez s'il-vous-plaît. Je ne peux pas perdre mon travail, ne faites pas ça. Je vais perdre mon travail!", se serait-elle écriée.
Strauss-Kahn aurait ensuite répondu: "Non baby (en anglais dans le texte), tu ne vas pas perdre ton job. S'il-te plaît, baby, ne t'inquiète pas". "Tu ne sais pas qui je suis?", aurait-il répété, en continuant de la harceler, allant même à jusqu'à la traîner sur le sol à l'entrée de la suite.
Puis, alors qu'elle repoussait son agresseur présumé et courait vers la porte, la jeune femme aurait glissé sur un journal. C'est à ce moment que DSK l'aurait forcé à lui faire une fellation.
La jeune femme aurait finalement pu fuir en poussant Strauss-Kahn sur le coin d'une armoire. Il porterait d'ailleurs une marque dans le dos à cause du choc. Elle aurait ensuite couru jusqu'à l'escalier de service où des collègues l'auraient retrouvée en état de choc. Tremblante, elle ne pouvait tenir un verre d'eau, selon ces mêmes sources.
Ni les autorités, ni un avocat de DSK contacté par la chaîne américaine n'ont souhaité commenter ces informations.
Des avances à deux autres employées
Toujours selon Fox News, DSK aurait fait des avances à deux autres femmes pendant son séjour de 24 heures au Sofitel de New York. Alors qu'il s'enregistrait, il aurait pris et massé la main d'une première employée et l'aurait invité dans sa chambre mais elle aurait décliné l'invitation.
Plus tard, DSK aurait appelé la réception et invité une autre employée à venir le rejoindre dans sa chambre. "Montez, j'ai une superbe suite et un excellent vin", mais elle aussi a refusé l'invitation, selon ces sources.
Selon des proches de la femme de chambre, Nafissatou Diallo serait une employée modèle. Elle ne boit pas, ne fume pas et rentre directement de son travail pour s'occuper de ses enfants.
Le 14 mai, plusieurs sources affirment que la femme de chambre a respecté le protocole de l'hôtel, frappant à trois reprises à la porte de la chambre, puis en s'annonçant. N'obtenant pas de réponse, elle a finalement sonné à la porte mais sans succès. Selon Fox, DSK n'a pas requis un check-out plus tardif, les faits se passant après le check-out de midi.
Un employé du room-service serait passé dans la chambre quelques instants avant les faits, trouvant les lieux vides. Selon les sources de la Fox, DSK aurait pu avoir eu l'idée de se cacher au moment où l'employé est entré, sachant que la femme de chambre passerait quelques minutes plus tard.
Une enveloppe pour la famille de Nafissatou Diallo
Selon le New York Post, l'entourage de Dominique Strauss-Kahn aurait proposé à la famille de la plaignante une somme d'argent pour mettre fin aux ennuis judiciaires de l'ex-directeur du FMI.
La somme d'argent serait un nombre à sept chiffres selon une femme d'affaires américaines proche de DSK. «Il va s'en sortir. Il retournera en France et n'ira pas en prison. La femme de chambre va avoir beaucoup d'argent», a-t-elle ainsi précisé au New York Post. (mdv)
Un comité de soutien à Nafissatou Diallo : Comité de soutien à Nafissatou Diallo - Site Officiel de Claude Ribbe
Certes c'est le premier banquier du monde mais pas un chef d'état qui gère une armée ou une rockstar qui a des millions de fans.
Même pas 5% de la population mondiale le reconnaitrait en rue. :)
Il n'y a à ma connaissance jamais eu d'attaques contre un président du FMI.
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La maison de 600 mètres carrés, une townhouse dans le langage new-yorkais, était en location depuis plusieurs mois à 60.000 dollars par mois. Crédits photo : Craig Ruttle/AP
VIDÉO - L'ancien directeur du FMI a quitté mercredi soir l'appartement où il résidait depuis sa sortie de prison pour s'installer dans une luxueuse maison du quartier de TriBeCa, à New York, dans l'attente de son procès.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif Dominique Strauss Kahn s'offre une «prison» de luxe à 50.000 dollars par mois au 153 Franklin Street dans le quartier de TriBeCa à Manhattan. L'ancien directeur du FMI est sorti mercredi soir vers 19h30 heure locale de sa résidence temporaire au 71 Broadway escorté de deux «gorilles», des gardes du corps de la société Stroz Friedberg chargée de le surveiller. Un iPad sous le bras, sur lequel il jouerait beaucoup aux échecs ces derniers temps, il est apparu souriant devant les caméras de télévision.
Vingt minutes plus tard, il emménageait dans ses nouveaux quartiers, dans une maison de deux étages au style faussement ancien. Des employés de la société de sécurité lui ont fait suivre ses valises, puis un livreur est arrivé. Au menu: un steak salade, qui a coûté 242 dollars. DSK a offert 25 dollars de pourboire, le minimum protocolaire à New York. C'est dans ce quartier très huppé que l'ancien patron du FMI vivra en résidence surveillée, avec son épouse Anne Sinclair, en attendant son procès. Sa prochaine comparution est prévue le 6 juin. Sa fille Camille, celle avec laquelle il aurait déjeuné le samedi 14 mai juste après la tentative de viol présumée d'une femme de chambre au Sofitel, a été aperçue entrant en catimini dans la résidence quelques heures avant lui.
TriBeCa est un ancien quartier d'usines et de hangars reconvertis il y a une vingtaine d'années en lofts. L'endroit qui forme un triangle au dessous de Chinatown au sud de Manhattan est très couru par les acteurs de cinéma et les célébrités américaines. Robert de Niro habite tout près. Cameron Diaz et le joueur de baseball Alex Rodriguez avaient été aperçus il y a quelques mois au 153. Anne Sinclair, qui paie les factures de DSK, ne s'en est, quant à elle, «pas si mal» sortie pour le prix de la location. Elle a obtenu un rabais de 10.000 dollars alors que la maison de 600 mètres carrés, une townhouse dans le langage new-yorkais, était en location depuis plusieurs mois à 60.000 dollars par mois. «C'est ce qui se fait de plus luxueux et de plus cher à New York», souligne Charlie Attias, vice-président de la société immobilière Corcoran, spécialisé dans la vente et la location de résidences haut-de-gamme.
Une salle de gym, une petite salle de cinéma, un jacuzzi...
Faute de pouvoir sortir à sa guise, Dominique Strauss-Kahn n'est pas en reste dans sa nouvelle demeure. Celle-ci est équipée d'une salle de gym, d'une petite salle de cinéma, d'un jacuzzi, de bains et douches rivalisant d'originalité (sensation pluie, chute d'eau, ou massage). La maison dispose aussi d'une terrasse, mais DSK ferait bien de ne pas s'y attarder s'il veut éviter de finir en Une des tabloïds new-yorkais. Les plus sarcastiques ne manqueront pas de noter que la maison comprend plusieurs pièces réservées aux femmes de chambre.
Après quatre jours de cirque médiatique autour du 71 Broadway, les voisins du 153 Franklin Street semblent eux, un peu plus blasés. «C'est pour le tournage d'un film ou c'est une scène de crime?» a demandé l'une d'entre eux. Des journalistes en quête de témoignages de voisins horrifiés sont tombés sur une jeune mère, se prélassant paisiblement sur les marches d'un loft voisin. «Ça change de l'habitude, c'est un quartier plutôt calme ici», a-t-elle dit d'un air indifférent.
Le déménagement de l'ancien patron du FMI avait connu plusieurs accrocs. Celui que nombre de New-Yorkais considéraient comme un voisin trop «encombrant» avait été refusé par tous les gérants d'immeubles qu'Anne Sinclair avait approchés depuis sa sortie de la prison de Rikers Island. Ses conditions restent quant à elles des plus restrictives. Interdiction de quitter le 153, à moins de prévenir le juge 6 heures à l'avance et seulement pour aller voir le médecin, les avocats, pour se rendre au tribunal ou encore assister à un service religieux une fois par semaine. DSK devra toujours porter un bracelet électronique et est surveillé 24 heures sur 24 par des caméras vidéo placées dans toute la maison.
En attendant la prochaine comparution, où il devra plaider coupable ou non coupable, le bureau du procureur a nommé deux nouvelles personnes pour mener l'accusation, deux femmes: Joan Illuzi-Orbon et Ann Prunty.
"Not guilty". Le choix de DSK n'a provoqué aucune surprise à l'audience du 6 juin, où les sept chefs d'accusation lui ont été notifiés. Car l'épreuve judiciaire proprement dite n'a pas encore débuté. C'est à partir d'aujourd'hui que l'accusation va étaler son jeu. C'est dès à présent que les parties vont affronter leurs vérités, preuves à l'appui.
Agenda judiciaire jusqu'au procès
L'heure a sonné pour le procureur de dévoiler ses preuves. "La procédure exige qu'il communique un certain nombre d'éléments immédiatement et d'autres plus tard, explique l'avocat new-yorkais Stephen Dreyfuss. Cela comprend toutes les déclarations qui auraient pu être faites par DSK au moment de son arrestation ou de son emprisonnement." Si ces déclarations n'ont pas été précédées des formalités procédurales d'usage, comprenant notamment le droit au silence, la défense déposera des motions ("requêtes") visant à les écarter de la procédure. Les examens scientifiques doivent aussi être livrés à la défense ainsi que les éventuelles photos ou dessins des lieux où les faits auraient été commis. Si des enregistrements ont été effectués et que le procureur a l'intention de les produire au procès, il doit aussi les communiquer, même si certains d'entre eux sont à décharge. "Le procureur a une obligation constitutionnelle de donner à la défense, à tout moment de la procédure, tout élément de preuve à décharge ; et s'il ne le fait pas, c'est un motif de cassation", précise Me Dreyfuss.
La défense pourrait ensuite faire réaliser ses propres tests scientifiques, dont les résultats devront dans ce cas être communiqués à l'accusation. "Les parties ont une obligation de discovery - découverte réciproque des preuves -, mais concernant la défense, cette obligation est plus restreinte", souligne l'avocat. Stratégiquement, certaines pièces pourront être tenues secrètes par les avocats de DSK jusqu'au procès, notamment les révélations de l'enquête privée menée par les limiers de Guidepost Solutions.
Prochaine audience : plaidoiries sur les motions
La défense a 45 jours pour déposer ses motions, auxquelles le procureur devra répondre, puis la défense pourra répliquer avant que le juge ne statue. "Les avocats de DSK peuvent demander tous les éléments que le procureur a l'intention de verser au procès, si cela est pertinent à la préparation de la défense", indique Me Dreyfuss.
En revanche, en ce qui concerne les déclarations des témoins et notamment de la victime présumée, l'accusation n'est pas tenue de tout livrer imédiatement. La jeune femme a en effet témoigné sous serment devant le grand jury et elle sera à nouveau appelée à témoigner devant les jurés. "DSK et ses avocats devraient avoir accès, juste avant le procès, à l'ensemble des témoignages présentés au grand jury et qui seront entendus par les jurés lors du procès."
Une négociation est-elle encore possible ?
La majorité des affaires d'agressions sexuelles, parce qu'elles sont les plus difficiles à déchiffrer juridiquement, se soldent par un plea bargaining. Peut-on imaginer un deal dans lequel DSK reconnaîtrait une partie du crime qu'on lui impute et le procureur accepterait une peine substantiellement inférieure à celle encourue dans un procès ? Les ego et enjeux sont tels qu'aucune des deux parties ne semble prête à accepter une part de la défaite. Pour le procureur, en place depuis un an et demi, cette affaire est de loin la plus emblématique de sa carrière, il y joue sa réputation et son élection. Tout aveu de faiblesse pourrait se retourner contre lui.
Du côté de la défense, l'avocat de DSK Benjamin Brafman est formel : son client est innocent et sera acquitté. "Je vois mal DSK plaider coupable, pronostique Me Dreyfuss. Tout le dossier a été bâti sur la thèse de l'agression sexuelle et le procureur sera peu disposé à accepter un deal qui dispenserait DSK de reconnaître ces faits et qui lui éviterait des années de prison. Et je vois mal DSK avouer en public les faits qu'on lui reproche. Tout m'amène à penser qu'il ira jusqu'au bout et essaiera de convaincre au moins un juré qu'il n'est pas coupable."
Par Laurence Neuer
LEPOINT.FR
Serait-ce enfin la première photo du visage de la désormais plus célèbre femme de ménage au monde, Nafissatou Diallo ?
C’est en tout cas ce que croit savoir Paris Match en publiant dans ses colonnes le visage, certes avec un bandeau sur les yeux, de la femme de ménage du Sofitel qui accuse Dominique Strauss-Kahn d’agression sexuelle. Une photo intégrée dans une longue enquête de l'hebdomadaire sur l'affaire DSK réalisée par les journalistes Elisabeth Philippe et Arnaud Bédat au Sénégal et Eileen Markey et Murray Weiss à New York.
Cette nouvelle révélation fait suite à de nombreuses autres publications qui s’étaient avérées fausses. Cette photo aurait été prise en 1997, Nafissatou Diallo était alors âgée de 19 ans.
http://www.zinfos974.com/photo/art/d...g?v=1307614789 La