Tabou: Le lesbiannisme existerait-il dans la société soninkée ?

[makalou]

Salam

Je ne sais pas si cela a été une fois évoqué sur le forum mais le " lesbiannisme " gagne du terrain au Sénégal. Il y a quelques années que de cela, des filles d'un lycée exclusif aux filles ont été surpris par d'autres élèves pour cette pratique. Ce fût un boucan pas possible tellement c'était tabou.
L'homoséxualité n'est pas toléré dans nos sociétés, est ce le même traitement pour le lesbiannisme ?

Cette pratique contre nature existe t-il chez les Soninkés.

Un article de presse de Seneweb qui fait frémir. Je sais que les Journalistes abusent dés fois et inventent souvent. Pour avoir vécu au Sénégal et vu des homo se pavanner au vu et au su de tous, j'ose imaginer que ce phénomène de plaisir féminin existe.

On aura pas de confidences, ce qui est sur . On en demande pas d'ailleurs. Juste une discussion saine pour comprendre ce phénomène, le point de vue religieux et les éléments coucourant à installer ce phénomène.

Article : Témoignages de Sénégalaises de tout milieu social.

Aujourd'hui, les pratiques lesbiennes atteignent des proportions insoupçonnées dans la société sénégalaise en pleine mutation. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans des milieux jusque là non atteints. Même, certaines femmes mariées n'y échappent pas. Elles s'adonnent à cette pratique durant les séances de retrouvailles périodiques qu'elles organisent dans des milieux clos. Même le monde estudiantin voire professionnel est touché de pleins fouets par ce phénomène passé sous silence. La nommée Fanta B. Samaké est responsable dans un magasin qui vend des produits cosmétiques américains au Sénégal. Divorcée, mère de deux enfants, elle est lesbienne. Elle se laisse aller à des confidences « Je le suis devenue depuis le collège. A l'époque, j'étais dans un établissement exclusivement réservé aux jeunes filles. Je faisais également partie d'une équipe de basketteuses.
Un soir, mes 18 ans révolus, à la fin des entraînements, le coach était rentré avant nous. Je me souviens une de mes camarades qui était presque nue s'est présentée devant moi ». Et notre interlocutrice d'ajouter : « J'étais dans un coin, en retrait par rapport au reste du groupe dans la pénombre. Elle a commencé à me souffler des mots à l'oreille. J'étais presque dans un état second quand, elle a mis de manière osée sa main sur ma culotte. Mon attitude de surprise a dû l'encourager.
Dans la mesure où sa main se faisait plus caressante l'instant d'après ». À en croire F. Samaké , la découverte a ses plaisirs : « Titanisée, je la laissais faire. Il faut dire que j'ai ressenti un plaisir que je n'ai jamais connu avant ». Elle s'arrête un bref instant dans sa narration. Des souvenirs s'enchevêtrent dans sa tête. Et soudainement elle enchaîne nostalgique?: « Ce fut le début d'une nouvelle vie pour moi. Je la suivais partout à chaque fois que l'occasion se présentait comme une folle.
J'étais dépendante des caresses sexuelles de Fary B. Et cela a duré presque trois ans jusqu'au voyage de mon amie qui vit présentement au Canada. Cette séparation m'avait beaucoup affectée ». Des dégâts collatéraux vont s'y greffer : «J'ai dû entraîner mes cousines qui vivaient chez mes parents à ces pratiques. À cause de pressions familiales, je me suis mariée pendant quatre ans.

Mais, le mariage n'a pas vraiment marché car je ne suis pas attirée par les hommes ».confesse-t-elle avant de faire remarquer : « C'est avec des femmes aux formes généreuses que je m'extasie. Il m'arrivait même de prétexter un voyage d'affaires auprès de mon ex-mari pour aller retrouver des lesbiennes regroupées dans une sorte de club qui a son siège aux Almadies. Dans le groupe, les femmes mariées sont nombreuses ».
Possédée par le démon, j'étais ferrée : » De mon côté, j'ai fini par demander le divorce. C'était devenu invivable à la maison. Je suis lesbienne et je l'assume jusqu'au bout. Je dois avouer que cela ne m'empêche d'être une maman qui s'occupe bien de mes enfants dont j'ai la garde ». lâche -t-elle.

La cité Claudel contaminée

« Je suis devenue lesbienne à cause de ma voisine de chambre. À chaque fois que je m'apprêtais à prendre mon bain, elle ne cessait de me complimenter pour ma belle poitrine. Un jour, elle m'a caressée les seins. Contre toute attente, j'ai éprouvé un vif plaisir. Du coup, je l'ai laissée faire. Depuis lors, j'ai pris goût à ses attouchements ». Le propos est d'une étudiante.
Selon elle : « Je me rends compte que je ne pouvais plus m'en passer. Il m'est même arrivé en plein cours, avoir envie de me retrouver avec ma camarade de chambre pour passer de bons moments avec elle », confie F. S, une étudiante en Droit à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Nous sommes en plein coeur de la cité Claudel. Certaines étudiantes forment une queue devant les restaurants pour le repas du soir.
Tandis que d'autres sortent avec leur pain à la main pour regagner leur chambre. C'est l'ambiance habituelle qui rythme la vie de cette cité universitaire où loge une bonne partie des étudiantes boursières de l'Ucad. F.S partage sa chambre avec une étudiante de Lettres modernes. Et c'est avec sa voisine qu'elle a commencé à vivre son expérience de lesbienne.
« J'ai commencé à ignorer mon petit copain à cause de ma voisine. Elle a même voulu que je me sépare de lui pour qu'on puisse mener notre vie ensemble. J'avoue que maintenant, j'éprouve d'énormes difficultés pour abandonner cette pratique ». regrette t-elle.

Un autre témoignage d'une étudiante qui préfère garder l'anonymat, en dit long sur l'ampleur du phénomène dans ce milieu. « C? est par le biais de l'internet que j'ai connu une fille lesbienne qui m'a ensuite influencée. Sur le site, elle avait fait une annonce comme quoi, elle est à la recherche de fille lesbienne, tout en prenant le soin les hommes à s'abstenir.
Comme j'étais connectée, j'ai échangé des messages avec elle. Par la suite, cela a abouti à des échanges de numéros téléphoniques. Depuis ce jour, on échange des messages de déclaration d'amour. Notre première rencontre a eu lieu dans un fast-food de la place. La fille est aussi étudiante dans un établissement de formation professionnelle.

Elle loge seule à la Gueule tapée à quelques encablures de la cité Claudel où je loge. Depuis notre rencontre, on s'adonne à des caresses très osées, une fois dans sa chambre. C'est ainsi que j'en ai parlé avec ma voisine de chambre qui est "Ibadou". Elle m'a sermonnée et j'ai finalement mis fin à cette relation. Aujourd'hui, j'ai laissé tomber cette pratique pour retrouver mon petit copain », renseigne l'étudiante.
La forte concentration dans certaines chambres dans la cité des jeunes filles, incite parfois ces dernières à s'adonner à la pratique lesbienne. Même dans les internats de certains établissements scolaires de la place, certaines se livrent à des jeux sexuels entre filles.

« L'établissement où j'étais, il y a cinq ans, dispose d'un internat où logent uniquement des jeunes filles. Les pensionnaires rentrent le week-end mais il y a d'autres qui préfèrent rester. Certaines parmi celles qui restaient le week-end, s'adonnaient à des attouchements sexuels.
Et à la longue, elles sont devenues des lesbiennes. Parfois, je recevais des avances de la part d'une copine de classe mais je ne donnais pas de suite. C'est ainsi qu'elle a fini par me laisser en paix », témoigne S. B., ancienne fille, pensionnaire d'un internant d'établissement scolaire.
Seneweb.

[makalou]

Salam

Je ne sais pas si cela a été une fois évoqué sur le forum mais le " lesbiannisme " gagne du terrain au Sénégal. Il y a quelques années que de cela, des filles d'un lycée exclusif aux filles ont été surpris par d'autres élèves pour cette pratique. Ce fût un boucan pas possible tellement c'était tabou.
L'homoséxualité n'est pas toléré dans nos sociétés, est ce le même traitement pour le lesbiannisme ?

Cette pratique contre nature existe t-il chez les Soninkés.

Un article de presse de Seneweb qui fait frémir. Je sais que les Journalistes abusent dés fois et inventent souvent. Pour avoir vécu au Sénégal et vu des homo se pavanner au vu et au su de tous, j'ose imaginer que ce phénomène de plaisir féminin existe.

On aura pas de confidences, ce qui est sur . On en demande pas d'ailleurs. Juste une discussion saine pour comprendre ce phénomène, le point de vue religieux et les éléments coucourant à installer ce phénomène.

Article : Témoignages de Sénégalaises de tout milieu social.

Aujourd'hui, les pratiques lesbiennes atteignent des proportions insoupçonnées dans la société sénégalaise en pleine mutation. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans des milieux jusque là non atteints. Même, certaines femmes mariées n'y échappent pas. Elles s'adonnent à cette pratique durant les séances de retrouvailles périodiques qu'elles organisent dans des milieux clos. Même le monde estudiantin voire professionnel est touché de pleins fouets par ce phénomène passé sous silence. La nommée Fanta B. Samaké est responsable dans un magasin qui vend des produits cosmétiques américains au Sénégal. Divorcée, mère de deux enfants, elle est lesbienne. Elle se laisse aller à des confidences « Je le suis devenue depuis le collège. A l'époque, j'étais dans un établissement exclusivement réservé aux jeunes filles. Je faisais également partie d'une équipe de basketteuses.
Un soir, mes 18 ans révolus, à la fin des entraînements, le coach était rentré avant nous. Je me souviens une de mes camarades qui était presque nue s'est présentée devant moi ». Et notre interlocutrice d'ajouter : « J'étais dans un coin, en retrait par rapport au reste du groupe dans la pénombre. Elle a commencé à me souffler des mots à l'oreille. J'étais presque dans un état second quand, elle a mis de manière osée sa main sur ma culotte. Mon attitude de surprise a dû l'encourager.
Dans la mesure où sa main se faisait plus caressante l'instant d'après ». À en croire F. Samaké , la découverte a ses plaisirs : « Titanisée, je la laissais faire. Il faut dire que j'ai ressenti un plaisir que je n'ai jamais connu avant ». Elle s'arrête un bref instant dans sa narration. Des souvenirs s'enchevêtrent dans sa tête. Et soudainement elle enchaîne nostalgique?: « Ce fut le début d'une nouvelle vie pour moi. Je la suivais partout à chaque fois que l'occasion se présentait comme une folle.
J'étais dépendante des caresses sexuelles de Fary B. Et cela a duré presque trois ans jusqu'au voyage de mon amie qui vit présentement au Canada. Cette séparation m'avait beaucoup affectée ». Des dégâts collatéraux vont s'y greffer : «J'ai dû entraîner mes cousines qui vivaient chez mes parents à ces pratiques. À cause de pressions familiales, je me suis mariée pendant quatre ans.

Mais, le mariage n'a pas vraiment marché car je ne suis pas attirée par les hommes ».confesse-t-elle avant de faire remarquer : « C'est avec des femmes aux formes généreuses que je m'extasie. Il m'arrivait même de prétexter un voyage d'affaires auprès de mon ex-mari pour aller retrouver des lesbiennes regroupées dans une sorte de club qui a son siège aux Almadies. Dans le groupe, les femmes mariées sont nombreuses ».
Possédée par le démon, j'étais ferrée : » De mon côté, j'ai fini par demander le divorce. C'était devenu invivable à la maison. Je suis lesbienne et je l'assume jusqu'au bout. Je dois avouer que cela ne m'empêche d'être une maman qui s'occupe bien de mes enfants dont j'ai la garde ». lâche -t-elle.

La cité Claudel contaminée

« Je suis devenue lesbienne à cause de ma voisine de chambre. À chaque fois que je m'apprêtais à prendre mon bain, elle ne cessait de me complimenter pour ma belle poitrine. Un jour, elle m'a caressée les seins. Contre toute attente, j'ai éprouvé un vif plaisir. Du coup, je l'ai laissée faire. Depuis lors, j'ai pris goût à ses attouchements ». Le propos est d'une étudiante.
Selon elle : « Je me rends compte que je ne pouvais plus m'en passer. Il m'est même arrivé en plein cours, avoir envie de me retrouver avec ma camarade de chambre pour passer de bons moments avec elle », confie F. S, une étudiante en Droit à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Nous sommes en plein coeur de la cité Claudel. Certaines étudiantes forment une queue devant les restaurants pour le repas du soir.
Tandis que d'autres sortent avec leur pain à la main pour regagner leur chambre. C'est l'ambiance habituelle qui rythme la vie de cette cité universitaire où loge une bonne partie des étudiantes boursières de l'Ucad. F.S partage sa chambre avec une étudiante de Lettres modernes. Et c'est avec sa voisine qu'elle a commencé à vivre son expérience de lesbienne.
« J'ai commencé à ignorer mon petit copain à cause de ma voisine. Elle a même voulu que je me sépare de lui pour qu'on puisse mener notre vie ensemble. J'avoue que maintenant, j'éprouve d'énormes difficultés pour abandonner cette pratique ». regrette t-elle.

Un autre témoignage d'une étudiante qui préfère garder l'anonymat, en dit long sur l'ampleur du phénomène dans ce milieu. « C? est par le biais de l'internet que j'ai connu une fille lesbienne qui m'a ensuite influencée. Sur le site, elle avait fait une annonce comme quoi, elle est à la recherche de fille lesbienne, tout en prenant le soin les hommes à s'abstenir.
Comme j'étais connectée, j'ai échangé des messages avec elle. Par la suite, cela a abouti à des échanges de numéros téléphoniques. Depuis ce jour, on échange des messages de déclaration d'amour. Notre première rencontre a eu lieu dans un fast-food de la place. La fille est aussi étudiante dans un établissement de formation professionnelle.

Elle loge seule à la Gueule tapée à quelques encablures de la cité Claudel où je loge. Depuis notre rencontre, on s'adonne à des caresses très osées, une fois dans sa chambre. C'est ainsi que j'en ai parlé avec ma voisine de chambre qui est "Ibadou". Elle m'a sermonnée et j'ai finalement mis fin à cette relation. Aujourd'hui, j'ai laissé tomber cette pratique pour retrouver mon petit copain », renseigne l'étudiante.
La forte concentration dans certaines chambres dans la cité des jeunes filles, incite parfois ces dernières à s'adonner à la pratique lesbienne. Même dans les internats de certains établissements scolaires de la place, certaines se livrent à des jeux sexuels entre filles.

« L'établissement où j'étais, il y a cinq ans, dispose d'un internat où logent uniquement des jeunes filles. Les pensionnaires rentrent le week-end mais il y a d'autres qui préfèrent rester. Certaines parmi celles qui restaient le week-end, s'adonnaient à des attouchements sexuels.
Et à la longue, elles sont devenues des lesbiennes. Parfois, je recevais des avances de la part d'une copine de classe mais je ne donnais pas de suite. C'est ainsi qu'elle a fini par me laisser en paix », témoigne S. B., ancienne fille, pensionnaire d'un internant d'établissement scolaire.
Seneweb.

Salam

A un moment, il explique l'apparition de ce phénomène par la concentration des filles comme à la Cité CLAUDEL.

Il y a une colonie d'hommes au campus mais pourtant ils n'oseront jamais s'adonner à ses tentations dans leurs chambres. Je pense en tout cas. Le milieu universitaire homme est trop brut pour tolérer cela. Ce passage me semble pas très convaincant pour expliquer ce phénomène. Je n'ai pas vécu dans le campus de l'UCAD mais j'ose croire que malgré la concentration suffocante des hommes dans une même chambre, ils s'adonnent à des pratiques contre nature. C'est pareil, jeunes, les garçons vivaient souvent dans une même chambre et les filles entre elles. Tout à fait normal. Mais bon, peut-être qu'il y autre chose qui m'échappe.

[makalou]

Sujet délicat mais on peut en parler

[iss]

Effectivement sujet délicat,mais malheureusement d'actualité!Je pense que les femmes sont beaucoup plus tenter que les hommes sur se point en tout cas pour se sujet précis!C'est pour sa que la concentration de femme,na pas le même effet que la concentration d'homme)
Je qualifierait une relation femme a femmes en disant que finalement se n'es que de la masturbation,et des attouchements,contrairement a une relation homme homme ou la il peut y avoir pénétration (beurkkkkkkkkkk lol),!
Beaucoup de femme au senegal disent etre devenue lesbiennes des suite d'un viol!En clair les hommes leur fond peur,et le traumatisme vécu et inoubliable!
Franchement je ne saurai les juger.......... Même si je sais que ces pratiques son condamnés par l'islam!
enfin je n'aurai qu-une chose a ajouter:Mes dames vous ne savez pas se que vous louper avec un homme loool!!!!

[makalou]

Effectivement sujet délicat,mais malheureusement d'actualité!Je pense que les femmes sont beaucoup plus tenter que les hommes sur se point en tout cas pour se sujet précis!C'est pour sa que la concentration de femme,na pas le même effet que la concentration d'homme)
Je qualifierait une relation femme a femmes en disant que finalement se n'es que de la masturbation,et des attouchements,contrairement a une relation homme homme ou la il peut y avoir pénétration (beurkkkkkkkkkk lol),!
Beaucoup de femme au senegal disent etre devenue lesbiennes des suite d'un viol!En clair les hommes leur fond peur,et le traumatisme vécu et inoubliable!
Franchement je ne saurai les juger.......... Même si je sais que ces pratiques son condamnés par l'islam!
enfin je n'aurai qu-une chose a ajouter:Mes dames vous ne savez pas se que vous louper avec un homme loool!!!!

Salam

Iss, la tueuse !!!

En tout cas, que ce soit lesbians ou homos c'est bizarre... Mais, expliquer cela par le viol c'est pas trop béton lol. Le traumatisme exsite mais cela ne doit pas te poursuivre pour une eternité.

L'islam le condamne fortement tel que l'homosexualité. C'est contre nature.

Maintenant, je pense que le fait que cela soit un peu moins suspect chez les femmes, cela devient de plus en plus courant. Des attouchements, des mots doux entre femme, cela choque mais pas plus que de voir des hommes se torc.... Astakhfourlah...

Pour savoir si votre copine ou amie est lesbian, les filles.

- Si elle vous boit dans son regard...
- Quand elle vous fait des compliments sur vos formes
- Quand elle laisse sa main trainer sur vous, histoire de vous montrer sa douceur...
Dites attention : Stop, est-elle lesbienne ? Posez-vous la question sinon, elle pourra penser que vous aimez bien son attention...


Moi, en tout cas le premier mec qui parle de mon corps ou me regarde golûment, son visage va souffrir... Coup de point sur la figure. Avec toutes ces filles sur terre, eh ben, y a moyen d'aller exprimer sa virilité que de la mettre en veilleuse.

[Tudo Rémé]

Sujet tabou, en effet...

J'avoues avoir hésité avant de participer à cette discussion.

Je ne sais même pas si j'ai déjà entendu parler de "lesbiannisme" en milieu soninké... Les hommes oui, mais les femmes...

Pour ma part, je ne serais pas étonnée que l'auteur ait quelque peu amplifié les faits...

Ici, en France aussi, il parait qu'avec la promiscuité engendrée par la vie en internat, certaines se laissent tenter par quelques caresses entre filles.

MAIS, c'est sans doute loin d'être une majorité.

Aussi, la question que je me pose est la suivante: " sont-elles TOUTES lesbiennes pour autant?"

Peut-être s'agit-il simplement de jeunes filles découvrant leur corps.

Cela dit, je dois reconnaitre qu'il y'a une différence entre découvrir son corps soi-même ( je ne parle pas de masturbation) et se laisser toucher par une autre personne.

Ou alors, peut-être est-ce une manière, pour ces jeunes ados aux hormones boostées, de clamer leurs ardeurs, sans pour autant perdre leur virginité...pensent-elles...

D'autre part, je me demande si c'est réellement le fait d'être carressée par une femme qui leur plait, ou simplement le plaisir que leur procure ces caresses.

Peut-être que ces jeunes femmes n'ont jamais "connu" d'homme et elles pensent qu'un homme ne saura pas les toucher de la même façon, ou encore peut-être qu'elles ont connu un homme qui ne s'attardait pas sur le préliminaires et se contentait de se jeter sur elles, comme un prédateur sur sa proie ! lol

Il existe de nombreuses zones érogènes chez la femme, et le plaisir ne passe pas forcément par le coït. Même une femme excisée peut prendre du plaisir par des caresses clitoridiennes.Il suffit d'être patient. Certains l'ignorent...

Oui, oui ! Il semble que chez nous, contrairement à la Somalie, par exemple, l'excision consiste en l'ablation d'une PARTIE, du clitoris,et non pas de la totalité. Il suffit d'être patient et à l'écoute de sa partenaire.

Comme l'a dit ISS, elles ne savent pas se qu'elles perdent! Elles pourraient connaitre deux formes de plaisir plutôt qu'un !!!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

enfin je n'aurai qu-une chose a ajouter:Mes dames vous ne savez pas se que vous louper avec un homme loool!!!!

.

Moi, en tout cas le premier mec qui parle de mon corps ou me regarde golûment, son visage va souffrir... Coup de point sur la figure. Avec toutes ces filles sur terre, eh ben, y a moyen d'aller exprimer sa virilité que de la mettre en veilleuse.

Je suis plié par quatre. Vous m'avez tué de rire, tant vos deux passages sont mortellement bien dits....

[seydou Niang]

La question de ces relations justifiées par le droit de disposer de son corps mérite d'être débatue surtout dans nos milieux.
Je crois que ces comportements s'expliquent par certaines justifications.....
Mais personnellement ce sont les relations homme homme qui me dégoutent et que je ne peux pas comprendre...Parce que rien qu'imaginer une pénétration d'un homme, la puanteur du "kaka" me suffoque; en réalité l'anus c'est pour déféquer...
Mais je ne critique personne...si il y a des gens qui ne perçoivent pas comme dégueulasse qu'ils le vivent.....

Je m'excuse si ca choque...

[makalou]

Sujet tabou, en effet...

J'avoues avoir hésité avant de participer à cette discussion.

Je ne sais même pas si j'ai déjà entendu parler de "lesbiannisme" en milieu soninké... Les hommes oui, mais les femmes...

Pour ma part, je ne serais pas étonnée que l'auteur ait quelque peu amplifié les faits...

Ici, en France aussi, il parait qu'avec la promiscuité engendrée par la vie en internat, certaines se laissent tenter par quelques caresses entre filles.

MAIS, c'est sans doute loin d'être une majorité.

Aussi, la question que je me pose est la suivante: " sont-elles TOUTES lesbiennes pour autant?"

Peut-être s'agit-il simplement de jeunes filles découvrant leur corps.

Cela dit, je dois reconnaitre qu'il y'a une différence entre découvrir son corps soi-même ( je ne parle pas de masturbation) et se laisser toucher par une autre personne.

Ou alors, peut-être est-ce une manière, pour ces jeunes ados aux hormones boostées, de clamer leurs ardeurs, sans pour autant perdre leur virginité...pensent-elles...

D'autre part, je me demande si c'est réellement le fait d'être carressée par une femme qui leur plait, ou simplement le plaisir que leur procure ces caresses.

Peut-être que ces jeunes femmes n'ont jamais "connu" d'homme et elles pensent qu'un homme ne saura pas les toucher de la même façon, ou encore peut-être qu'elles ont connu un homme qui ne s'attardait pas sur le préliminaires et se contentait de se jeter sur elles, comme un prédateur sur sa proie ! lol

Il existe de nombreuses zones érogènes chez la femme, et le plaisir ne passe pas forcément par le coït. Même une femme excisée peut prendre du plaisir par des caresses clitoridiennes.Il suffit d'être patient. Certains l'ignorent...

Oui, oui ! Il semble que chez nous, contrairement à la Somalie, par exemple, l'excision consiste en l'ablation d'une PARTIE, du clitoris,et non pas de la totalité. Il suffit d'être patient et à l'écoute de sa partenaire.

Comme l'a dit ISS, elles ne savent pas se qu'elles perdent! Elles pourraient connaitre deux formes de plaisir plutôt qu'un !!!

Salam

Tudo,

Tu as vraiment éclairé nombreux d'entre nous sur les éventuelles choses qui pousseraient les filles à s'adonner à cette pratique.
Mais il paraît entre filles ados c'est courant...

[makalou]

Je suis plié par quatre. Vous m'avez tué de rire, tant vos deux passages sont mortellement bien dits....

Salam
En tout cas, ils sont prévenus...