C'est injuste le Senegal est une republique et pas un royaume pour que Karim Wade succede a son pere.Je commence a croire que les Saltigues avaient raison a propos du mandat de Wade.
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C'est injuste le Senegal est une republique et pas un royaume pour que Karim Wade succede a son pere.Je commence a croire que les Saltigues avaient raison a propos du mandat de Wade.
Eh oui, le plan machiavelique est en route. Ce scénario, c'est ce que tous les analystes politiques envisageaient. Et Wade profite toujours d'une opportunité pour faire ses changements, car, un journal indépendant de la place estime que Wade a été épinglé par le FMI, la Banque Mondiale et l'Union Européenne sur la croissance de l'économie du Pays et il se voyait donc obliger de faire ce changement. Mais, nul n'est dupe!
Salam,
Les sénégalais voulaient une alternance après les 40 ans des socialistes "qui n'ont rien fait de bon" mais au moins le s&n&gal avait la tête haute et les sénégalais étaient partout fier de leur "Gaal".
Mais le peuple sénégalais s'est trompé "d'homme" à mettre à la tête du pays.
Cinq premiers ministres en 7 ans de pouvoir alors que pendant 30 on a eu que 4.Ce vieux Wade. Wax. Weddi prend les sénégalis pour des analhabètes 00.
Comme en 2000 voilà la seule région de Tambacounda sana ministre issu de la région...
Des ministres qui prêtent serment devant le président ...ça ne se fait qu'au sénégal.:eek:
Marres des déboires de Wade!!!
La politique au sénégal c'est comme le théatre. Moi j'en ai marre de parler même.
Wade se fou de nous vréma!!! Après avoir déçu , il veut nous cramé avec son fils Karim.
Moi je m'occupe meme plus d'eux car ce sont des comédiens franchement. Ils veulent transfomer le sénégal en zone poudrière ou les esprits pourront s'affronter du jour au lendemain;
Moi c'est relever la tete a ma localité qui m'interesse et avec wade ou pas je reuissirai inchallah
salam pour une fois au senegal les ministres ont prete serment ; le president affirme que toutes les decisions prises en conseil des ministre etaient devoilées le lendemain dans de journaux de la place;tout ce qui montre l'incapacité et l'irresponsabilité dont fait preuve nos dirigeants et c'est vraiment honteux pour un pays comme le senegal
Depuis quelques moments, le grossier épouvantail d'un catapultage de Karim Meissa Wade à la tête de l'Etat est agité par des Républicains sincèrement préoccupés par une telle éventualité. Mais également toute une kyrielle de vieux briscards de la politique, de directeurs de conscience présomptueux, entretient sournoisement cette psychose absurde, pour circonvenir et dresser le Sénégal multiculturel et tolérant, contre un citoyen sénégalais. L'unique tort de ce citoyen désigné à la vindicte publique est d'abord d'être le fils d'Abdoulaye Wade. Il serait également le fils d'une ‘toubab’, il ne serait pas né au Sénégal, il ne serait pas imprégné des traditions et coutumes sénégalaises, il n'aurait pas suffisamment d'expérience politique, enfin il serait trop jeune pour diriger le Sénégal. L'absurdité de tels propos, viscéralement fielleux, éclate dans toute son horreur. Leurs auteurs eux-mêmes savent pertinemment que ce ne sont pas là les critères démocratiques, pour pouvoir briguer la magistrature suprême dans ce pays. C'est là le redoutable serpent de l'intolérance et de l'exclusion qui dresse sa tête hideuse.
Je voudrais alors inviter tous les honnêtes citoyens de ce pays à un débat serein, dépassionné, échenillé de cette sorte d’éréthisme de vengeance contre Wade, de détestation aveugle et implacable contre son fils. On ne saurait juger le citoyen Karim à travers le prisme déroutant des options politiques à la fois audacieuses et controversées d'A. Wade. Si le pprésident de la République décidait de se faire remplacer par son fils, comme dans une monarchie, ce serait une suprême injure faite à l'intelligence du peuple sénégalais. Cependant, par quelle raison, par quel mépris aux règles républicaines, des directeurs de consciences artificieux et intéressés prétendent-ils décréter l'exhérédation de Karim des potentiels successeurs de son père ?
Dans une récente interview publiée par le Pop N°2262, un responsable du Msu déclarait ostensiblement : ‘Le Sénégal n'est pas le Togo, Karim Wade ne sera jamais président de la République du Sénégal.’ En discutant l'autre jour avec un intellectuel, il m'a cyniquement avoué qu'il ne voulait pas de Karim comme président, simplement parce qu'il ressemblait davantage à un Toubab qu'à un Sénégalais. A quelles extrémités l'animosité, la haine aveugle ne porte-t-elle pas les esprits les plus éminents ?
Cette propagande malsaine, assenée à travers journaux et ondes, risque de se banaliser, de s'accréditer et de gagner le cœur de l’homme du commun, peu outillé intellectuellement, pour dépister le mesquin et cynique message de haine d'intolérance et d'exclusion, en filigrane de ce discours honteux. Les effluves de la haine commencent, hélas, à monter dans les esprits les plus faibles. Ainsi le populaire, par une exaltation progressive, en arrive quelques fois, à son insu, à l'accomplissement des actes les plus injustes et les plus féroces. Aujourd'hui beaucoup de Sénégalais persuadés que Karim ‘le toubab’, ‘l’étranger’, veut simplement succéder à son père, comme dans une monarchie. Ils ont tendance à approuver, tout ce qui contredit le monstre qu’on leur a persuadé que Karim était. Il ne se passe pas un jour sans que le nom de ce concitoyen, et celui de ses collaborateurs dans une moindre mesure, ne soit associé à de vulgaires et gratuites imputations calomnieuses qui, après un simple regard investigateur, tombent toutes dans le lac. Nous ne voulons pas verser ici dans le dithyrambe, sans doute demeurions-nous déterminés à dénoncer l'inavouable.
Il y a manifestement une volonté bien arrêtée de vouer aux gémonies le concitoyen Karim, une obsession outrancière de jeter le bébé Wade avec l'eau du bain. Il est possible de garder un certain sens de la probité intellectuelle même dans l'adversité. Le comble du déshonneur est que des intellectuels qui devaient s'employer à élucider le débat, se portent à de telles machinations et sont carrément à la remorque des idées d'intolérance, d'exclusion et d'animosité aveugle. Pas une seule fois, on a vu ce concitoyen succomber à ces provocations honteuses, à ce lynchage médiatique ignoble. Il y aurait une grande pusillanimité à ne pas s'engager à corriger ce mauvais aiguillage du débat. Je pense avec Albert Einstein que ‘le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais bien par ceux qui regardent agir et refusent d'intervenir’.
Jusqu'à la preuve du contraire, nous sommes persuadés que A. Wade ne commettra jamais la grossière et monumentale erreur de catapulter Karim à la station présidentielle, comme dans une monarchie. L'histoire ne retiendra alors de l'Ovni politique A. Wade que ce geste d'une folle audace. Par contre, ce serait une injustice inqualifiable, une monstruosité sans pareille, que de vouloir exclure, par des prétextes fallacieux, le concitoyen Karim de la liste des présidentiables de ce pays. Personne ne peut douter que le fils du chef de l’Etat demeure une personnalité importante du dispositif étatique, jouant un rôle de premier plan dans la nouvelle dynamique de développement initiée par son père, jouissant de tous ses droits civiques. Quoi de moins apprêté, de plus spontané pour lui, que de prétendre à continuer l’œuvre de son père ? Des personnalités politiques au casier judiciaire chargé de crimes politiques, de trahisons, de palinodies et même de coups fumants, prétendent succéder au président de la République. Excusez le peu !
Ces véritables contre-exemples ne doivent leur réhabilitation providentielle qu'à la mansuétude et à la magnanimité controversées d'A. Wade. Leur présence déroutante dans les cercles du pouvoir est une sorte d'ironie brutale et insultante, un véritable pied de nez à tous les honnêtes gens de ce pays, particulièrement la jeunesse en quête de repères et de valeurs constantes.
Par Ass Malick NDOYE ....
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Si les hommes d’Etat préfèrent la racaille aux honnêtes gens, pour ainsi paraphraser Maurice Barrés, nous le peuple préférons sans doute les hommes politiques justes, aux combinards sans aveu, dont la parole ne vaut pas plus que celle d’un ivrogne. On est aimé autant qu’on est juste. C’est l’intransigeance sur des principes constants, et non la tortuosité et l’opportunisme visible à l’œil nu, qui doit être le principe de toute politique La virginité du casier judiciaire de Karim, en matière de forfaits politiques, son sens aigu de la responsabilité, la grandeur de son comportement qui l'interdisent de descendre dans les caniveaux pour riposter aux attaques crypto personnelles en dessous de la ceinture, dont il est victime tout les jours, forcent finalement le respect et l'admiration. Ceux qui, dans l'ombre de son père, distillent sournoisement des accusations diffamatoires pour jeter en pâture sa réputation, mènent décidément une véritable politique de gribouille. Au Sénégal, plus qu'ailleurs, l'acharnement cynique, féroce et outrancier contre une personne, est contre-productif. Le régime libéral l'a appris a ses dépens dans son contentieux avec l'ex-Premier ministre. Cette furie haineuse contre le fils du chef de l'Etat ne fait que renforcer l'élan de solidarité des honnêtes gens, particulièrement de la jeunesse, envers lui. Karim a toute la latitude de répondre à ses contempteurs, chaque fois qu'il est interpellé par voie de presse interposée. Il peut effectivement le faire, ne serait-ce qu'en convoquant une conférence de presse en tant que président de l'Anoci. Nous sommes persuadés que la grande réponse qu'il faut faire aux injures et aux vulgarités, c'est l'indifférence, la hauteur et la dignité.
Cette réaction de dignité du concitoyen Karim, où on ne perçoit ni forfanterie, ni arrogance, nous fait tressaillir de joie !
Nous ne sommes ni des inconditionnels du Pds, ni membre de cette ribambelle de formations politiques et mouvements de soutien, capables de brûler ce qu'ils ont adoré, et qui prétendent aujourd'hui, cerise sur le gâteau, soutenir A. Wade de manière désintéressée. Nous serions également outrés et scandalisés, si ces attaques étaient dirigées contre l'une quelconque des personnalités de cette nouvelle race d'hommes politiques qui n’ont pas que la politique comme métier. L'éminent juge qui s'en est allé récemment, ne mettait-il pas en garde contre la tentation de faire de la politique un métier ? Cette nouvelle génération d'hommes politiques, ces jeunes loups aux dents longues et dures, résolument engagés à faire les choses autrement, à nous affranchir des schéma de pensées obsolètes, décidés à rompre d'avec ces politiques politiciennes qui créent le désordre inégalitaire, l'injustice sociale et la misère sans nom, sont une menace pour la vieille garde chatouilleuse de ses prérogatives, incapable de s'effacer en faveur du destin. Ils sont à la recherche de solutions concrètes aux problèmes concrets, sans verbalisme politicien ou discours creux et abscons, qui donnent davantage le tournis qu'une claire visibilité de l'action publique.
Dans ces quartiers difficiles de Dakar, en totale déshérence, oubliés des politiques sociales de la République, les opportunités d'emplois offertes par les chantiers de l'Anoci constituent une bouffée d'oxygène pour beaucoup de familles asphyxiées par le chômage et l'extrême pauvreté, celle-là même qui fait commettre des infamies. Ici aux Hlm Fass, plus d'une dizaine de jeunes ont pu échapper à l'enfer du chômage humiliant, de l'oisiveté honteuse et même de la déviance criminelle. Le concret dans ce Sénégal relativement jeune, ce sont les jeunes. Il faut absolument leur trouver les moyens de s'épanouir dans la dignité. Le job est, sans nul doute, le remède souverain pour désamorcer la bombe à retardement que constitue le chômage des jeunes.
Ces discours captieux, truffés de promesses fallacieuses, miroir aux alouettes de nos parents, réduits pour toujours à leur fonctionnalité électorale, ne fait plus prendre la mayonnaise. Désormais, nous faisons bien la différence entre les pierres précieuses et la verroterie.
Karim ne peut pas prétendre au fauteuil de son père simplement parce qu’il porte le nom Wade. Par contre, il a parfaitement le droit de descendre dans l’arène politique, de se construire un network d’amis et de sympathisants, en vue de briguer le suffrage des Sénégalais. Naturellement, des politicards moins vertueux que lui, dont personne ne garantit l’honneur et la probité, tant ils nous ont ébouriffés dans le passé par leur comportement ondoyant, peuvent prétendre aussi au fauteuil d'A. Wade.
Nous ne saurions cautionner cette espèce de consensus honteux et désespéré à liquider politiquement le fils du chef de l’Etat. La jeunesse de ce pays refuse de servir de manche à ce couteau de la haine. Aujourd’hui, c’est le fils du président ou d’une toubab, peu importe, demain ce sera le tour du fils de Libanais, alors qu’ils sont tous citoyens à part entière aux yeux de la loi. Ensuite, ce sera le tour du Mankagne, du Soninké, du Diola et pourquoi pas du Guéwel ou du Gnégno ? Si on veut plagier le concept honteux de l’ivoirité, on ne s’y prendrait pas autrement !
Le Sénégal est un énorme melting-pot, c’est une chance et non un handicap !
N’est-ce pas l’hétérogénéité qui fait la beauté de ce monde éphémère et ennuyeux ? Nous commettrions une grave erreur que de laisser des apprentis sorciers déclencher si imprudemment, si stupidement une telle haine. Tant d’hostilité nous semblait peu aisé à comprendre. C’est l’unique motif de notre intervention.
Nous terminons cette contribution avec une réflexion de Koffi Annan. Invité à animer la conférence annuelle de ‘Trinity Institute’ de New York, Nov. 2 May 2004, dont le thème était : ‘Naming Evil’, l’ex-secrétaire général des Nations Unies disait ceci : “Dans ce monde où nous vivons, l’un des plus grands dangers est que des politiques de peur, de haine et d’intolérance, nous précipitent dans un choc artificiel des civilisations où des gens de confessions différentes, de cultures différentes, se considèrent comme des ennemis[….]. Si nous voulons définir la perversité, c’est l’intolérance, c’est l’exclusion.’
Par Ass Malick NDOYE Résident des Hlm Fass
C'est vrai que notre pays va mal trés mal même :(
Ce matin on s'est reveillé en apprenant la grêve des boulangers, la miche de pain devient introuvable si ce n'etait le boycott de certains boulangers on se referait à la bouillie ou autre chose que notre miche de pain quotidien :eek:
Les boulangers disent que ça ne peut plus continuer, ils travaillent à perte depuis la hausse du prix de la farine, du carburant, en passant par l'electricité, où allons nous pauvres population senegalaise :confused:
Le pays va mal ... de mal en mal ...
Que disent les palabres ?
- Un grand-marabout de la communauté des Layène met en garde Abdoulaye Wade, car, il n'a pas choisi un membre de sa communauté dans le nouveau parlement qu'est le Sénat. Wade, on le sait, a nommé 65 sénateurs sur 100, les 35 autres ayant été élus par vote dans les départements. Parmi les 65 sénateurs qu'il a nommés, on se demande même ce que certains font au Sénat, car, n'ayant pas les compétences requises. Chaque confrerie est représentée. Certaines confreries ont même plusieurs sénateurs.
- Le marabout chaud-bouillant Moustapha Sy révèle qu'il a des informations qui pourraient faire voler en éclat la République. En guise de miettes, il dévoile que le ministre de la justice Cheikh Tidiane Sy est un adepte de la Franc-Maçonnerie. Ce dernier l'appelle pour le menacer en lui disant : "Je vais te détruire".
- Pendant ce temps-là, Wade somme son président du Conseil de la République pour les Affaires Economique et Sociales (Maître M'baye Jacques Diop) de démissionner de son poste. Ce dernier a l'air de s'accrocher.
- Pendant ce temps-là, «vingt paysans de Kébémer se sont vus exproprier leur terre pour y construire la maison de retraite de Me Wade».