Un jour tu vus mon front
Tu me supportas jours et nuits
De longues années durant
Mais supporte-moi encore
Car un jour ou l'autre
Tu verras ma nuque
(De Amylst)
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J'en ai dans mes notes ou dans mes fichiers, il faut que je les retrouve. Mais je pense qu'ils sont personnels, car ils sont dédiés à mes parents,à ma fratrie et à des personnes qui me sont ou qui m'ont été chères, pour diverses raisons. Je verrai s'il y a quelques uns que je peux partager avec vous, sinon désolé. Bien à tout le monde.
"SONNETS POUR HELENE"
Quand vous serez bien vielle, le soir à la chandelle
assise auprès du feu dévidant et filant
direz, chantant mes vers en vous émerveillant:
-Ronsard me célèbrait du temps que j'étais belle.
Lors, vous n'aurez servante, oyant telle nouvelle
déjà sous le labeur à demi someillant
qui au bruit de Ronsart ne s'aille réveillant,
bénissant votre nom de louanges immortelles.
N'attendez point demain, vivez dès à présent
Cueillez dès aujourd'hui les fleurs de la vie.
Oh! vous mes fréres et soeurs
Je ne peux qu'utiliser les mots les plus doux pour vous
Je ne peux que confirmer le bien de mon entourage
Macha allah vous êtes des personnes aux coeurs pures de douceur
J'essaye de partager mes fines connaissances
Avec vous chers fréres et soeurs qui souffrez de tolérance
Depuis que je me suis inscrite sur ce merveilleux forum
Mon coeur éprouve une joie inexpliquable
vous m'avez ouvert les yeux sur énormément de choses
vous êtes pour moi une lumiére qui éclaire mon coeur
Car quand je suis sur ce forum
Mon visage s'illumine d'un sourire éclatant
Quand je lis vos posts, vos réponses
Ma joie augmente de plus en plus
Ma ville natale me manque tout d'un coup
Le soninké que je parlais trés bien aussi
Merci chers fréres et soeurs pour toute votre attention
Je demande humblement à Allah ce qu'il ya de meillleur pour chacun de vous
Permettez moi de vous dire:
JE VOUS AIME :-*
Merci mon frére faire plaisir à mes fréres et soeurs était mon but.
A ton tour maintenant pour les poémes lol
Voilà, je viens de faire matinalement un qui n'est sans doute pas un poème génial, mais qui, cependant, exprime d'une certaine façon ce que j'ai vecu.
Le chemin vers le savoir !
Depuis plus d’une décennie, me voilà errer entre deux continents, loin de ma famille
Loin du regard protecteur et de la tendresse d’une mère adorable
Loin de la rigueur morale et des paroles sages d’un père vénérable
Loin de l’union sacrée et inouïe d’une fratrie soudée et incassable
A la recherche du bien immortel que sont la science et la sagesse
Je me suis ainsi retrouvé dans la solitude de l’exil, confronté au mal du pays
Tel une chèvre chétive dans la nature, tel un bélier égaré dans la pâture
L’amour d’une famille soudée est devenue pour moi un cruel manque,
L’absence de la silhouette d’une mère protectrice et attentionnée exprime ma peine
L’absence de la rigueur scientifique d’un père érudit dénote ma tristesse
L’absence d’une fratrie soudée et entreprenante me condamne à la solitude
L'absence de l'environnement d'une ville hospitalière me prive des jolis souvenirs
Science, ô science, ta quête, exige sacrifice, tristesse, solitude et manque d’amour
Je ne me plains guère, ni ne me vante d'ailleurs, mais je me décris pour que les autres
Sachent que nul n’a été savant sans apprendre à ne pas être savant
Sans supporter, souffrir, car le chemin qui mène vers la science est plein d’embûches.
Bien à tout le monde.