La tentation qu'ALLAH nous en préserve
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La tentation qu'ALLAH nous en préserve
waou défend bien les FOFANAmais les faits sont la, j' interviens une dernière fois, la femme a dit ça version après est ce que c' est vrai ont sait pas, et même si c' étais le cas de toute manière elle commis un péché grave, car il y a des sages quans même, pourqu' oi n' a telle pas adopter le choix d' aller les voir, dans cette situation la, elle pouvait divorcer, sans commettre d' adultère, si ce qu' elle dit est vrai bé me mari à tout faux il n' a rien respecter de la charia, et cet ouvrier aussi a yaxé nkhroté nia ni, il savait qu' elle était mariée et il a abuser d' elle, elle aussi a céder, trois pecheurs, ou peut être même que lae mari nada, qu' il assure, mais que
c' est la femme qui est frivole et n' a pas la patience
cette femme avait tout les moyens de se rapprochée des parents pour faire connaître sa situation au lieu d' aller se vendre, elle aurait évité,
l' adultère
brawo à eux d' assumer tous est louche dans tout ça
Bravo l'ouvrier.
C'est bien fait pour ces émigrés qui pensent que avec leur argent ils peuvent disposer de toutes les filles du village.
Ils viennent avec leur air hautains, un français à trouiller l'oreille et croient tout permis en profitant de la vulnérabilté des filles;
Meme, quand certaines filles ont des copins, ces émigrès n'hesitent pas à sortir les gros moyens pour acheter, "non le mot est fort" pour corrompre les parents et la fille en leur promettant la france pour cette dernière et makka pour les futurs beau- parents, alors que tout monde sait qu'il n'est meme pas légale sur le sol français.
Combien de marriage ont été scellé par force parce que seulement le monsieur est est à l'étranger et meme quand la fille veut divorcer ses parents l'en empechent.
I BÉÉ GANNI YAXÉ TOOXO I FALLÉ SIINON FILI AN MARI
O GÉRÉ NA SIRIXA MÉNÉ.
MBILL BATH.http://www.soninkara.com/forums/images/icons/icon14.gif
Comment, tu peux dire bravo à un ouvrier qui fait des choses pareilles. Je ne doute pas un instant qu'il y a des immigrés qui reviennent au pays pour semer du trouble avec leurs euros, mais dis-toi que ces derniers ne sèment le trouble que chez les parents et les filles qui n'ont aucun honneur à défendre, qui ne voient que l'argent. Ils ne sont jamais arrivés à avoir raison des gens qui défendent leur honneur et leur dignité. Il n'y a que les filles et leurs parents fripouilles qui succombent devant l'argent.
Je tiens aussi à te dire que tous les immigrés ne se reconnaissent pas dans ton discours haineux qui ne provient souvent que des gens qui n'aiment pas voir un émigré réussir ou faire des réalisations au pays. Le hasidaaxu à l'encontre des émigrés existe aussi, ce que ton discours tend à occulter. Arrêtez de prendre les émigrés comme des imbéciles. S'il y a un émigré imbécile, c'est qu'il y a aussi un sédentaire imbécile qui ne cherche que de façon imbécile son argent et ses autres libéralités. Soyons justes quand on écrit.
FromKelba, tu tégares là...
Tu as raison quand tu dis que certains hommes (autant émigrés que européens) usent de leur argent pour s'acheter des femmes à qui ils promettent monts et merveilles; mais là n'etait pas le débat.
N'oublie pas que dans ce genre d'histoire chacun y trouve son compte, autant la femme et sa famille que l'homme.
C'est vraie qu'il existe des hassidu comme tu le dis et que ce ne sont pas pas tous les immigrès qui se reconnaissent dans mes propos, n'empeche que ces comportement, ces hatitudes que je viens de cités sont specifiques aux immigrès.
On parle d'un fait divers et ça na rien n'avoir avec la reussite d'un tel ou de son developpement.
je mets juste en relief les causes voire les responsablités qui sont à l'origine des ces situations dramatiques. Et la plus part d'entre elles proviennent du coté du monsieur qui pensent plus à son nouveau statut d'émigrès qu'aux réalités de la vie quotidienne.
Oui ces choses arrivent aux parents et aux filles qui ne pensent qu'à l'argent et VOUS? vous ne pense pas à l'argent. Refuserez-vous de donner votre fille à un monsieur qui attenuerait vos difficultés, a un monsieur qui vous prédit autant de bonne choses que vous n'avez jamais révé de toute votre existence. Vous moi et toutes ces personnes donneraient volontier en mariage leur fille à ce monsieur s'il est musulmans et de surcroit si on connait sa famille.
J'ai rien contre l'emigrè et si je suis là c'est grace à l'emigration.
En revanche sur ce fait et j'aimerais vrement qu'on s'atarde sur ça, parce traiter les immigrès comme des imbélice "ké ma ko déé" on cherche ensembles les raisons, les facteurs explicatifs de l'acte de la femme et non sur l'émigration;
MBILL BATHhttp://www.soninkara.com/forums/images/icons/icon14.gif
Je ne suis pas sûr d'avoir compris la trame de ton discours. Mais s'il s'agit de faire le bilan négatif de l'immigration, un sujet ad hoc que voici : http://www.soninkara.com/forums/migr...atifs-883.html est ouvert pour cela. Tu peux y mettre tes idées. See you soon.
Salam,
Source : Rue89 | Site d'information et de débat sur l'actualité, indépendant et participatifCitation:
(De Dakar) Mariées à des hommes partis émigrer en Occident, des milliers de Sénégalaises passent des années sans voir leur mari. Elle doivent gérer la pression familiale, le manque d'argent et l'absence d'amour.
Assise sur un canapé en cuir beige, ses longues jambes se balancent sur l'accoudoir. C'est dans son salon qu'Awa (les prénoms ont été changés) déroule sa vie de femme mariée à un « modou-modou », comme on appelle les émigrés au Sénégal.
Le couple a un garçon de 3 ans. Son père ne l'a jamais vu. Jusqu'à présent, faute de papiers, il n'a pas pu revenir au Sénégal. Ce serait prendre le risque de ne plus pouvoir repartir. En attendant, coup de téléphone quotidien et envois de vidéos de la vie d'ici maintiennent le lien. Awa s'interroge :
« En dix ans de mariage, nous n'avons vécu que quatre mois ensemble. Sans cette séparation, combien d'enfants aurions-nous pu avoir ? Combien de choses aurions-nous pu faire ? »
L'indignation l'emporte quand elle raconte combien il est dur et humiliant d'obtenir un visa de tourisme pour rendre visite à son époux. Awa a attendu trois ans avant de pouvoir partir pendant ses vacances.
Elles n'ont pas vu leur mari depuis deux, quatre… voire dix ans
Son histoire est celle de la plupart des femmes de Louga, à 200 km au nord de Dakar, la capitale. C'est dans cette ville de 200 000 habitants que les émigrés sont les plus nombreux.
Poussées par la famille, par les amies, beaucoup de jeunes filles croient qu'en épousant un modou-modou elles n'auront pas de souci matériel. Et si la crise économique mondiale a compliqué ce schéma, les idéaux restent tenaces. Awa relate :
« Entres elles, les filles se disent : “Si ce n'est pas un émigré, ne te marie pas avec lui”. Certaines quittent même leurs petits copains pour un modou-modou qu'elles connaissent à peine. »
Le modèle est si fortement ancré dans la société que dans la région du Fouta (nord du Sénégal), « les hommes se plaignent de ne pas trouver de femmes car ils ne sont pas émigrés », explique Fatou Sarr Sow, sociologue spécialiste du genre et des migrations.
Au bord des routes, de grandes villas poussent, les derniers modèles de 4x4 se pavanent dans les rues de cette ville aux allures de gros village. Les émigrés ayant fait fortune sont loin d'être majoritaires, mais ils entretiennent le fantasme.
15 000 à 20 000 hommes de la région de Louga sont en Europe (Espagne, Italie et France principalement) et 5 000 à 6 000 aux Etats-Unis, selon Amadou Fall, adjoint au maire de Louga, chargé des Lougatois de l'extérieur. Les jeunes fuient un taux de chômage de 60%.
Comme en Occident au temps des guerres, une grande majorité de la population de la ville est composée de femmes qui n'ont pas vu leur mari depuis deux, quatre, six voire dix ans.
« Je lui ai demandé : “Qui s'est marié ? ” Elle m'a répondu : “toi” »
Awa est une exception, car son union est un mariage d'amour. A 13 ans, Fatimata a été mariée de force par sa tante, persuadée qu'une alliance à un modou-modou permettrait des revenus financiers assurés.
Selon le capitaine Moustapha Ndour, commandant de la compagnie de gendarmerie de la région de Louga, de 2008 à juillet 2010, les trois quarts des mariages scellés avec des émigrés sont des mariages forcés.
Aujourd'hui, Fatimata a 20 ans. Elle n'a cessé de réclamer le divorce à un mari qui l'ignore. Droite et fière, installée en tailleur sur le lit de sa patronne, elle raconte son mariage :
« Un jour, je discutais avec mes copines sur la terrasse. Ma tante arrive avec des noix de kola, qu'on distribue traditionnellement pour célébrer un mariage. Je lui ai demandé : “Qui s'est marié ? ” Elle m'a répondu : “toi”. »
Dans la religion musulmane, pas besoin de la présence des deux époux pour célébrer le mariage. L'adolescente voit son mari une fois, puis celui-ci repart en Europe. Envoyée manu militari dans la maison de sa belle-famille, personne ne la soutient. Pendant six mois, son mari ne lui enverra pas d'argent et ne lui téléphonera pas. Trois ans plus tard, elle lui arrache enfin un divorce, plus facile à obtenir car ils n'ont pas eu d'enfants.
Un taux d'infanticide élevé
Conséquences de ces mariages précoces et forcés : un taux d'infanticide élevé lié à des grossesses extra-conjugales.
« Ces cas sont liés aux questions d'émigration. Les maris laissent leurs femmes très jeunes, pendant des temps très longs », souligne le capitaine Moustapha Ndour.
Depuis 2008, six cas connus d'infanticides ont été répertoriés dans la région, et les journaux sénégalais font régulièrement écho de ces faits divers. Au Sénégal, concevoir un enfant hors-mariage est considéré comme une honte. La sociologue Fatou Sarr Sow précise :
« Les infanticides ont souvent lieu dans le milieu rural. Ces femmes sont dans des états de dépression tels qu'on ne peut pas parler d'acte choc. »
« De temps en temps, l'infanticide est camouflé par la famille. Le plus souvent, ces femmes enterrent leurs nouveaux-nés, les jettent dans un puits ou les abandonnent dans la rue », rapporte le capitaine.
A Louga, il n'existe pas d'associations ou de services d'assistance sociale pour leur venir en aide. Touty Dieng est la seule personne à avoir canalisé toutes les angoisses de ces épouses d'émigrés. Pendant dix ans, la vieille dame a animé une émission radio, Confidences, qui leur est dédiée. Deux fois par semaine, elle lisait quelques lettres envoyées anonymement par ces femmes.
Et Touty Dieng en a reçu des centaines et des centaines. On y abordait tous les sujets. Comme ces femmes choisies à distance par les hommes. En Europe, des Sénégalais les ont trouvé jolies sur une vidéo ou une photographie, envoyées pour montrer le dernier baptême de la famille. S'ensuivent des demandes en mariage, dont peu de refus.
Awa ajoute :
« Pour les hommes, c'est plus pratique. Quand ils reviennent pendant leurs deux mois de vacances, ils peuvent consommer directement le mariage. Ils ne perdent pas de temps à chercher une femme à Louga et à préparer la cérémonie ».
C'est un vrai problème dans nos sociétés, comment y faire face ?
Un homme a-t-il le droit "d'abandonner" son épouse pendant des mois, voire des années ?
Salam alékoum
J'ai justement lu cet article au taff, ça tombe bien qu'il y ait un sujet la dessus.
Je trouve cela anormale que des hommes mariés se maintiennent 5 ou 10 ans avant de retourner au pays. En même temps les régularisations diminuent et obtenir une carte de séjour devient très difficile.C'est une souffrance pour les femmes,elles doivent attendre des années avant de voir leur mari qui ne restera que peu de temps au pays.Je n'aurais pas le courage d'attendre un homme des années. Et si on se base sur l'islam,je ne suis pas sûre que laisser sa femme des années au pays soit licite.