Mauritanie: Biram Ould Dah Ould Abeid échappe de très peu à un assassinat prémédité

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Mercredi 4 Janvier 2011 dans l’après midi entre 14h et 16h, nous avons échappé de peu au début de cette nouvelle année 2012, à un drame national qui allait sombrer certainement  la Mauritanie dans un spirale de violence sans précédente. Lors d’une manifestation de soutien à l’opposant Moustapha Ould Limam Chafi qui est frappé par un mandat d’arrêt international injustement, organisée par son comité de soutien à l’intérieur, un policier armé en civil reconnu par plusieurs témoins selon nos informations, un maure blanc qui  exerçait dans la très contestée brigade de mineure, haut lieu de contestation des militants abolitionnistes pour introduire les dossiers  de plaintes sur la pratique d’esclavage des enfants mineurs.
 
Le policier s’est faufilé en douceur au milieu de la foule pour tenter d’atteindre sa cible Biram Ould Dah Ould Abeid président IRA-Mauritanie, au moment où il s'apprête à vider son arme sur Biram, la garde rapprochée  le maitrise très rapidement  et la foule se jette à son tour sur l’individu pour le lyncher. La police qui semble être au courant du macabre projet vient très rapidement à la rescousse de l’individu et le fait disparaître avec son arme. Les militants abolitionnistes insistent  auprès de la police en se moment pour retrouver l'homme et une forte tension persiste entre les deux parties.
Malgré tous les efforts consentis par la police pour libérer un homme qui a tenté de commettre un assassinat en public, ils ont laissé l’étui de l’arme à la foule en colère.
 
Le danger de l’assassinat du président IRA-Mauritanie  guette et disons que ce n’est qu’une partie remise de ces assassins officiels de la république islamique des généraux Maures. Il est du devoir de chaque Mauritanien de veiller à la sécurité de Biram Ould Dah Ould Abeid et de tous les opposants qui sont dans la ligne des couloirs de la mort du pouvoir dictatorial du général Assassin Mohamed Ould Abdel Aziz. Il y a urgence, le danger est là sérieux, n’attendons pas la dernière minute pour pleurer avec un si grand risque de guerre civile qui menace le pays d’éclater. Sachez chers compatriotes, ces faux généraux assassins cherchent à prolonger  la longévité de leur pouvoir en installant la peur, le terrorisme, et une criminalité officielle coûte que coûte en divisant le peuple donc voila une belle occasion de les  dire non, non, non, non et niet.
 
Source: Haratine.blogspot.com
Les images de la scène :